lundi, 14 janvier 2008
Mais que venaient faire les templiers ...
dans mon rêve de cette nuit ? Aucune idée…
Tout commença par un portable qui sonne : une jeune femme qui ressemblait étrangement à l’actrice espagnole Victoria Abril saisit alors l'appareil et répondit. J’étais juste à côté d’elle et j’entendis très nettement une voix d’homme qui soudain se mit à hurler. A cet instant j’entraînai l’actrice vers une sorte de café à colonnes, avec de grandes ouvertures sans vitres. Nous n’étions pas en France, mais plutôt dans un pays d’Amérique latine, les gens étaient très typés. Quand elle entra, un homme s’approcha d’elle, l’air menaçant. Aucune parole ne fut échangée, je pénétrai alors dans une salle sur la gauche. Il y avait beaucoup de personnes, muettes, impassibles et soudain je les vis… Ils étaient quatre, habillés comme sur la photo et ils brandissaient leurs épées au-dessus de leur tête. Ils étaient vêtus d’or, tout était en or, même les armes et on ne pouvait distinguer leur visage. Bientôt les gens commencèrent à se disperser et j’aperçus dans un coin de la pièce un homme affalé dans une mare de sang. Un des templiers s’approcha alors de lui et enfonça à plusieurs reprises son épée dans la calotte crânienne. Le sang giclait, comme sortant d’un geyser. C’était absolument effrayant…Et il continuait d’enfoncer son épée, puis de la ressortir. J’eus très peur et retournai alors dans la pièce principale. Je me blottis dans un coin. Si j’avais pu me confondre avec les murs , je l’aurais fait sans aucun doute. Mais impossible ! J’entendais le templier qui peu à peu arrivait dans ma direction. Et ouf, je me suis réveillée !
Je commence à me poser de sérieuses questions : où ai-je pu aller chercher toute cette histoire ? Le décor était très net et pourtant je ne connais pas du tout cet endroit. Je vais finir par croire que l’on vit plusieurs fois… Remise de mes émotions ( il m’a fallu quand même plusieurs minutes), j’eus soudain envie de manger des œufs à la coque. Vous savez, tremper les mouillettes dans l’œuf décalotté !
Enfin je précise, pour ceux qui éventuellement liraient cette note, que je ne bois pas, je ne me drogue pas, je ne suis pas sous l’emprise de médicaments, je ne regarde jamais de films d’épouvante.
17:40 Publié dans Onirisme | Lien permanent | Commentaires (6)
jeudi, 17 mai 2007
Catastrophes en série
« Je grimpe à pied la montée vers le Menneton. Arrivée en haut, je m’aperçois avec frayeur que le Cher ( rivière ) arrive au ras de la levée ! Moins d’un centimètre manque avant qu’il ne sorte de son lit et déferle sur tout le quartier.
Je redescends en courant le chemin, criant à tue-tête « Au secours ! Le Cher va déborder, au secours !» Mais les premiers immeubles sont assez loin et les gens que je vois ne m’entendent pas. Je reviens sur mes pas et j’entre alors dans la maison de la garde-barrière. Je lui explique la situation et lui demande d’activer la sirène pour prévenir la population. Elle reste complètement indifférente et c’est moi qui appuie sur le bouton. Un son semblable à celui d’une sonnette de vélo se met alors à retentir deux ou trois fois de suite. Je ressors et là, je vois un filet d’eau qui commence à dévaler la pente. Au loin, des enfants quittent leur maison tranquillement pour se rendre au jardin botanique juste en face. Personne ne semble se douter du drame qui va se produire.
Changement brutal de décor : j’ai bifurqué sur la gauche, et je suis entrée dans un entrepôt qui stocke du bois. Je ne suis plus seule, il me semble que c’est une copine d'école qui m’accompagne, mais je ne vois pas son visage. Deux hommes s’affairent à l’intérieur. Le premier, un blond, travaille sur une grande plaque de bois, tandis que le second, plus âgé est en train de pousser d’énormes tas de bois qu’un camion, ayant relevé sa benne, vide dans l’entrepôt. La porte de sortie est ainsi totalement bloquée par ce camion et pour sortir il faut que j’escalade tout le camion. Epreuve difficile ! Mais je réussis à émerger comme si je sortais d’une bouche d’égout… Me voici donc de nouveau sur la route. De l’autre côté passe un train. On voit très distinctement le conducteur qui est ivre et qui semble faire n’importe quoi. Quand il nous aperçoit il dévie le train et fonce dans notre direction ! ( ce que j’aime dans les rêves c’est le côté irrationnel qui s’en dégage, apparemment les rails ici ne servent à rien ). Afin de l’éviter, nous retournons dans l’entrepôt ( l’entrée est à présent dégagée, le camion ayant pénétré à l’intérieur). Mais le train nous suit toujours, le voici maintenant à l’intérieur, le chauffeur ne nous quitte pas des yeux… Nous obliquons alors par une petite porte au fond, en courant à toutes jambes, attendant le bruit - je devrais dire l’explosion - qui va immanquablement se produire lorsque le train heurtera le camion. Nous voici de nouveau dehors et aucun bruit… Etrange !
Changement de décor, nous sommes maintenant au bord de la mer, là où je passais mes vacances lorsque j’étais plus jeune. En passant devant une maison dont la porte est ouverte, j’aperçois à l’intérieur des amies de ma vieille tante. ( Ma tante est décédée en 1974 à l’âge de 84 ans). Je suis étonnée de voir qu’elles sont toujours en vie et je rentre pour leur dire bonjour. Mon père est là aussi. Je lui raconte alors nos péripéties…
Changement de décor : je suis maintenant dans un wagon sur une voie ferrée avec des hommes qui semblent être des policiers en civil et qui font une enquête. Il y a plusieurs autres voies de chaque côté de notre wagon. Les hommes parlent entre eux et je jette un œil par la fenêtre située à l’arrière du wagon. Ce que je vois à cet instant précis me laisse sans voix !
Sur la voie de droite arrive une « Micheline » à très vive allure. Son passage si près du wagon va obligatoirement nous secouer violemment. Mais ce n’est rien par rapport à ce que je vois maintenant. Un énorme boeing 747 est en train de vouloir atterrir sur la voie de droite. L’image est très nette, les roues sont déjà sorties…. Avec son aile gauche, il coupe tous les poteaux électriques, les uns après les autres. S’en suit une série de sons terribles, d’images floues qui se superposent faisant penser à un ciel d’orage. Je suis ballottée de tous côtés. Je me réveille alors.»
Voilà ce que je viens de rêver. Un beau lot de catastrophes en série !
11:20 Publié dans Onirisme | Lien permanent | Commentaires (8)