249. Le lac des cygnes

Une fois n'est pas coutume, je vais vous parler de musique. Actuellement je classe mes photos par thème et je me suis aperçue que j'avais suffisamment de photos de cygnes pour en faire un diaporama. Aussitôt, l'idée m'est venue d'y associer la musique du ballet écrit par Tchaïkovsky en 1876, "Le lac des cygnes" Vous trouverez l'histoire de ce ballet en quatre actes ICI.

Le passage choisi se situe au début de l'acte II :

L'action se situe sur les rives d'un lac entouré de montagnes escarpées, près des ruines d'un château. Sur le lac nagent des cygnes conduits par l'un d'eux qui porte une couronne en or sur la tête. Siegfried arrive sur la rive, guette les animaux et les met en joue. Mais les cygnes disparaissent et dans les ruines du château apparait une jeune femme coiffée d'une couronne. Elle explique à Siegfried qu'elle est le cygne qu'il voulait tuer. Elle s'appelle Odette et elle est la fille d'une fée et d'un chevalier qui, pour une autre femme, trahit l'amour de la fée, sa mère, qui en mourut. De chagrin, son grand-père se retira dans la forêt et il versa tant de larmes que ce lac en naquit. Seule la protection de la couronne permet à Odette d'échapper aux persécutions de sa marâtre (on pense à Blanche-Neige). Le jour, elle prend l'apparence d'un cygne et la nuit celle d'une créature humaine.

Le prince Siegfried a jeté ses armes à terre. Un groupe de jeunes filles, les amies d'Odette, s'approchent de lui. Siegfried tombe amoureux d'Odette et lui jure une fidélité éternelle. Odette l'avertit que si jamais il brise son serment, il devra payer de sa vie sa trahison.

L'aurore pointe, les jeunes filles disparaissent. Sur le lac un groupe de cygnes s'éloigne, suivi du vol menaçant d'une énorme chouette.

182. Pause musicale

Quand la chanteuse brésilienne Mônica Passos rencontre le saxophoniste américain Archie Shepp, ça donne un duo plein de charme et de nostalgie avec une interprétation originale des "Feuilles mortes".

Mônica Passos et Archie Shepp
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181. La guinguette a rouvert ses volets

Ce fut une journée bien remplie que celle d’hier. Le temps était exceptionnellement très chaud et on se serait cru en plein mois d’août.

La guinguette des quais de la Loire a rouvert ses volets. Petite pause avant d’aller découvrir la toute dernière galerie marchande qui vient de s’ouvrir à Tours, plus précisément aux Deux-Lions.

Un ensemble gigantesque où l’on entre par des portes en fer forgé pour aboutir à une place centrale orné d’un grand bassin d’où fusent des jets d’eau. Ce nouveau lieu s’appelle « l’heure tranquille ». Pour l’instant tous les magasins ne sont pas ouverts. Il y avait pas mal de monde qui étaient venu découvrir ce nouvel antre de la consommation. Des escalators conduisent aux parkings souterrains –en voie d’achèvement-.

La longue allée centrale est recouverte tout du long d’une sorte de verrière qui laisse passer la lumière et l’air sur les côtés. Une terrasse permet d’accéder au niveau supérieur d’où l’on a une vue d’ensemble.  Côté alimentation, c’est un Monoprix..

Je me demande si, en hiver, les gens auront autant de plaisir à déambuler dans la galerie ouverte à tous les courants d’air ! Remarquez, je m’en fous un peu, n’ayant pas à priori d’intérêt à fréquenter ce genre d’endroit. Sauf, peut-être, pour aller grignoter un p’tit quelque chose à la sortie des cinémas situés juste en face. Auparavant, on n’avait comme choix que le MacDo ou le café du bowling.

Bref, retour à la maison vers 18h. J’aurais bien fait une petite sieste à ce moment-là… Mais une heure plus tard, Julie et Olivier viennent me reprendre et nous allons assister à la symphonie mécanique, place de la Résistance. Peggy nous avait réservé des billets d’entrée.

Le centre de la place était ceint de barrières et on pouvait ainsi déambuler à notre guise dans le milieu et regarder les curieuses machines auprès desquelles s’affairaient des commandos de petits hommes rouges qui resserraient les derniers boulons, raccordaient les fils etc.

Le spectacle commence à 20h30. Surprenant, déroutant, original. Sur l’estrade, le chef d’orchestre avait fort à faire à diriger d’un côté les musiciens classiques et de l’autre les hommes aux commandes des machines.

Tout l’ensemble fut en fait harmonieux, troublant par la sonorité inconnue provenant des machines.

Ce qui m’a fortement impressionnée ce sont les sorties de flammes et les détonations produites par le gaz … Bref, une création originale qui mérite d’être vue et entendue au moins une fois !

Après le spectacle Julie avait un petit creux. Aussi nous sommes allés manger une crêpe rue du Commerce. Retour à la maison vers 23h30.   

 

91. J'ai retrouvé les étoiles

Hier soir je dînais en compagnie de Peggy et Thierry. Durant la conversation, on en est venu à parler musique. De fil en aiguille, Thierry nous a alors parlé de deux chanteurs qu'il avait connus à la Réunion. Ils formaient un duo qui s'appelait "Les étoiles". 

Les étoiles ? Inconnues au bataillon !

D'après la description qu'il nous fit de ces deux artistes, on s'attendait au pire... J'entends par-là à un groupe de travestis assez ringards. Une petite recherche sur Google et hop ! 

Pas mal, non ?  

86. Connaissez-vous Madeleine Peyroux ?

 

Comme son nom ne l’indique pas, Madeleine Peyroux est américaine, d’un père Acadien (ah, on comprend mieux !).

Elle est connue pour ses frasques – oui, à ce qu’il parait- mais surtout pour ses talents de chanteuse. C’est une artiste que j'apprécie et j’aimerais vous la faire découvrir si vous ne la connaissez pas encore.

Elle vient de sortir un nouveau CD dont vous pouvez écouter des extraits sur le lien qui suit, ICI.

 

Enfin, une petite vidéo sympa pour la voir vraiment.

Elle sera à l’Olympia à Paris le 4 et 5 mai prochain, qu’on se le dise.

Et si vous avez cliqué sur le podcast au début de la note, c'est elle que vous entendez chanter !