samedi, 19 mai 2007
Recherches fructueuses
Hier matin s'ouvrait donc le XIXe congrès national de généalogie à Tours. J'y suis allée vers 11 heures et il y avait déjà beaucoup de monde. Voici quelques images prises par Christophe qui se trouve au stand de Généanet.
J'étais partie avec quelques fiches familiales incomplètes mais je n'espérais pas tellement trouver des renseignements complémentaires. Grossière erreur de ma part ! Au stand de l'Hérault, j'ai trouvé quelques dates de mariage, de nouveaux patronymes ( ROUCAIROL, PUISSARGUES, RIVASSERIE, CALAGES...) demeurant à Lunel. Des noms chantant comme la langue d'oc.
Je n'ai malheureusement pas trouvé de renseignements sur le département des Landes. Mes familles landaises sont originaires de Mugron.
Un peu plus loin, je me suis arrêtée au stand du Nivernais, région d'origine de mes ancêtres. Après une attente relativement longue, j'ai pu enfin obtenir les registres de dépouillement d'une commune ( Teigny) dans laquelle j'ai retrouvé trois générations supplémentaires.
Au stand de la Meuse, j'ai obtenu la date de mariage de François LIGIER avec Anne MOREL, le 12 juillet 1633 à Fain-les-Sources.On ne peut remonter au-delà de cette date. Cette commune s'appelle désormais Fains-Véel et elle est située dans la proche banlieue de Bar-le-Duc. Ainsi donc, cela fait 11 générations de LEGER. Le patronyme est passé de LIGIER à LEGIER puis enfin LEGER. J'ai eu beaucoup de difficultés à retrouver la trace de ces ancêtres car ils se sont beaucoup déplacés en raison sans doute de leurs professions. L'ancêtre le plus éloigné est dit " substitut".A la fin du XVIIIe on les retrouve à Paris. Puis au début du XIXe, je découvre une naissance en Touraine, à Beaumont-la-Ronce, où l'ancêtre Leger est instituteur. On repart à Angers pour finalement revenir à Chinon et à Ligré. Aujourd'hui encore une cousine LEGER vit à Chinon. Le reste de la famille ( enfin ceux que je connais), vit à Paris et dans la proche banlieue. Une autre branche s'est installée en Normandie. Il m'aura fallu quand même plus de vingt ans pour achever cette recherche. Maintenant il serait intéressant de retrouver d'autres cousins...
Mes recherches m'ont ensuite emmenée dans le Bas-Berry où, là aussi j'ai retrouvé des ancêtres à Montipouret, village dont je n'avais jamais entendu parler auparavant.
Une fois de retour à la maison, j'ai mis à jour toutes mes fiches et repertorié les nouveaux patronymes. J'en suis maintenant à un total d'environ 1000 patronymes différents repartis dans toute la France.
Ce matin je vais retourner à la pêche. Mes fiches sont prêtes ! Cette fois-ci je vais tâcher de remonter les branches dans les départements du Gard, du Maine et Loire, de l'Indre et de la Seine et Oise.
Sur une carte de France, j'ai coloré les différents départements d'où sont originaires nos ancêtres ( en rouge de mon côté et en bleu du côté de mon mari). Jusqu'à présent, je n'ai pas trouvé d'ancêtres venus d'un autre pays. Je suis donc ce que l'on appelle " une Française de souche ", espèce en voie de disparition...
06:10 Publié dans Généalogie | Lien permanent | Commentaires (10)
Commentaires
Peut-être ne le sais-tu pas, mais je suis né à Dax et j'ai grandi tout près. Je passe l'essentiel de mes vacances dans les Landes. Le grand-père paternel de C., ma compagne, était de Mugron, et nous y passons très souvent. Quels sont les patronymes des différents membres de tes "familles landaises" ?
Écrit par : Guillaume | samedi, 19 mai 2007
Hé hé, amusant ! On va peut-être se retrouver cousins par alliance ? Ces ancêtres landais sont du côté de mon mari :familles BREMON (une famille de charpentiers) , LABORDE, DARBAREL et DULOUT. Pour l'instant je suis bloquée en 1767. Hélas, le département des Landes n'était pas représenté au congrès.
Écrit par : tinou | samedi, 19 mai 2007
Voilà donc d'où venait l'accent...
Écrit par : Chloé | samedi, 19 mai 2007
Beau travail Tinou, quelle opiniatreté et quel courage... Mais ce sont les deux qualités primordiales des généalogistes...
Un de mes neveux, nantis de ses qualités intrinsèques, a fait des recherches fructueuses, il a pu remonter jusqu'en 1640, et savoir que nos ancètres à cette époque s'appelaient Nicollan et Marie... Pour me distraire j'ai fabriqué un petit site, mais pas trop sérieux au sens des généalogistes purs et durs : http://dubost-genealogie.ifrance.com/dubost-genealogie/
Bonne semaine Tinou
Écrit par : mauridub | mercredi, 23 mai 2007
Merci pour le lien mauridub et bonne semaine à toi aussi !
Écrit par : tinou | mercredi, 23 mai 2007
@ mauridub : la bannière sur le site de ton neveu ne représente t-elle pas le pont de Langeais sur la Loire ?
Écrit par : tinou | mercredi, 23 mai 2007
Exact Tinou,il s'agit bien du pont de Langeais !
Mais si mon neveu Christian a été l'artisan besogneux de dix ans de recherches généalogiques, de centaines de consultations de grimoires dans les archives municipales, de moultes déplacements à travers la France, de recoupements de fichiers avec des homonymes, et je lui en suis gré, la fabrication de site est MON oeuvre ...
Le sieur Christian, grand bouffeur d'archives devant l'éternel, a entrepris de rechercher les ancêtres du côté de sa mère, et il a fait une découverte assez ébourrifante : sa mère avait un demi-frère inconnu depuis 70 ans, fruit des amours du grand-père au temps de son " Tour de France " chez les Compagnons ...
Écrit par : mauridub | mercredi, 23 mai 2007
Ah ! tu parles d'une découverte ! Ils se sont rencontrés ?
La généalogie est une recherche passionnante. Il faut avoir l'esprit curieux, aimer fouiner... J'ai commencé il y a 25 ans et je n'ai toujours pas terminé mes recherches. Mais durant ce WE, j'ai eu la chance de trouver une centaine de nouveaux ancêtres dans le sud de la France. La numérisation des actes facilite énormément la tâche. Donc je suis toute contente !
Écrit par : tinou | mercredi, 23 mai 2007
Oui, oui, Tinou... Ils ont même sympathisés, et maintenant, les " cousins " se voient régulièrement...
A l'époque cette mésaventure m'avait inspiré une histoire, qui a bien fait rire ma belle-soeur, la petite soeur du frère inconnu ... Le dénommé " Opa " dans l'histoire est le fameux grand-pére coureur, la " Many " son épouse légitime... La fin est complètement inventée, mais il est vrai que le grand-père n'a jamais trahi son secret...
La Many se fâche
Opâ venait à peine de tourner au coin de la petite rue, quand le facteur arriva de l’autre extrémité de la ruelle et sonna chez la Many,
- « J’ai une lettre recommandée pour Joseph »
- « Il vient de sortir prendre l’air, il ne rentrera pas avant midi.. Bah, vous pouvez me la remettre, si on ne se fait pas confiance au bout de cinquante cinq ans de mariage …. »
La Many rentra chez elle, alla soulever le couvercle de la cocotte ou cuisait doucement un navarin, le plat préféré de Opâ, puis elle se dirigea vers son petit salon, récupéra ses lunettes au passage, et alla s’asseoir confortablement dans son fauteuil afin de voir d’ou venait cette mystérieuse missive… Maître Costadon, notaire à Avignon….
La Many allait déchirer l’enveloppe quand elle entendit la porte s’ouvrir et , comme ça, sans trop savoir pourquoi, elle glissa l’enveloppe dans sa poche. Elle alla aider Opâ à retirer son manteau, puis comme on approchait de midi, elle posa deux assiettes sur la table, les verres et les couverts, appela Opâ et posa la cocotte sur la table. Pendant tout le repas elle fut obsédée par la lettre mystérieuse , elle ne répondit aux propos de Opâ que par monosyllabes, et ils finirent leur repas en silence . Que voulait ce notaire ? Leur seul gros héritage avait été cette grande bastide, la-haut, dans un hameau de la Montagne de Lure, une grand’tante leur avait légué cette vieille bâtisse fortifiée témoin de la peur des parpaillots, elle leur servait l’été pour réunir toute la tribu. Avec ça un livret de Caisse d’Epargne, et puis la maison ou ils habitaient dans la vieille ville, achetée sou par sou, et ou l’on était si bien, surtout l’été ou elle conservait la fraîcheur derrière ses murs de forteresse.
Depuis longtemps, Opâ avait pris l’habitude de faire une petite sieste dés la dernière goutte de café avalée, et dés que la Many entendit le ronflement du dormeur, elle déchira l’enveloppe et sortit le lettre à en-tête, elle eut une dernière hésitation avant de prendre connaissance du contenu et calcula qu’elle dirait à Opâ qu’elle n’avait pas vu que la lettre lui était adressée….. Ses doigts tremblèrent un peu en dépliant la missive…. Maître Costadon, Notaire à Avignon à Monsieur Joseph Regotaz… agissant au nom de Monsieur Paul Regotaz, notre client…., fils unique de Madame Marguerite Viola, décédée. Je vous informe que monsieur Paul Regotaz, atteint d’un cancer en phase terminale, désirerait , avant sa mort, faire la connaissance de Joseph Regotaz, son père, qui l’a reconnu en mairie d’Avignon le 27 avril 1924 … » Les lettres se brouillèrent dans le regard de la Many, un tremblement la secoua de la tête aux pieds, et elle s’affala plutôt qu’elle ne s’assit dans son fauteuil… ha le menteur s’écria-t-elle, lou pirato, lou vieio messourguié… L’émotion qui la terrassait l’empêcha de continuer, la colère et le ressentiment l’étouffaient « voilà cinquante cinq ans qu’il me ment, cinquante cinq ans qu’il me ridiculise le vieux brigand, car tout le monde doit le savoir, sauf moi » « mais je vais me venger, je vais lui faire avouer son forfait »
Il n’était plus question de lui remettre la lettre, la Many la cacha au fond de son armoire, derrière une pile de draps, ou Opâ n’allait jamais mettre son nez. Et dans sa tête la farandole des idées noires et des idées de vengeance reprirent leur ronde … « Tu vas me le payer, vieux cochon, tu as été faire ce bâtard alors que nous étions déjà fiancés et que tu jouais le jeune homme effarouché pour accepter le mariage au temple protestant prétextant ta foi catholique » La Many se souvenait très bien, la date du mariage avait été retardée, car Opâ était parti en 1923 à Avignon faire ce stage de compagnon du Tour de France : au début, pendant les premiers mois, Joseph profitait de toutes les occasions pour venir lui rendre visite, puis ses voyages s’étaient espacés …La belle Many, à l’époque, avait bien senti que son Joseph était moins empressé, moins entreprenant, et elle, qui poussait les hauts cris dés que les mains impatientes de Joseph s’égaraient vers un sein ou vers l’entre cuisses, était toute déconfite de n’obtenir que des baisers chastes et des caresses anodines….
Mais tout s’était arrangé, ils s’étaient mariés en 1925 et ils avaient été heureux Opâ et Many , ils avaient fait cinq enfants, qui étaient encore tous vivants et qui venaient souvent les voir, et douze petits enfants, et maintenant cinq arrières petits enfants…. Opâ avait toujours eu du travail, il avait même crée sa petite entreprise de bâtiment.
Souvent la Many avait été taraudé par le soupçon, car elle avait bien épousé son Joseph, mais il avait beaucoup changé après son stage, il était un peu absent, il avait l’air de rêver, quelque fois il se laissait aller à parler de la fameuse « mère » de la maison d’Avignon, une femme admirable paraît-il …Mais jamais plus, le passage à Avignon semblait être devenu un moment à part, et même quand il avait déliré plusieurs jours à la suite d’une intoxication, il n’avait jamais lâché le moindre renseignement …
Dans les jours qui suivirent, Many examina et fixa Opâ sous toutes les coutures, remâchant la félonie de son vieux compagnon, elle tenta d’amener la conversation sur le stage d’Avignon, de lui poser des questions anodines, mais Opâ restait sur ses gardes et répondait toujours évasivement….Nous étions jeudi et le dimanche suivant toute la famille devait se réunir dans la vieille bastide de la montagne de Lure, pour fêter leur cinquante cinq ans de mariage… La Many ne se faisait pas trop de soucis car ses filles lui avaient promis de s’occuper de tout. Ses seuls soucis étaient d’aller se faire coiffer et d’emmener Opâ chez le marchand de chaussures, mais ce qui obsédait la Many, c’était de trouver un moyen de se venger de la trahison de Opâ, lui faire avouer sa tromperie devant toute la famille réunie, lui faire demander pardon de l’humiliation qu’elle avait subi pendant un demi-siècle… Mais comment ?
Toute la journée du vendredi, la Many rumina ses arrières pensées, et même Opâ, qui ne s’occupait plus guère des états d’âme de sa dulcinée, fut inquiet de la voir comme ça et lui demanda si quelque chose n’allait pas …. Le vendredi soir, alors que la Many était en train de préparer la petite valise pour le voyage, son visage s’éclaira et elle s’écria, à la grande surprise de Opâ : « ça y est, j’ai trouvé ». Elle avait trouvé le moyen de faire avouer Opâ , à coup sur le vieux menteur serait obligé de passer aux aveux devant toute l’assemblée, et la Many se sentirait vengée. De plus, le vieux pasteur du village avait accepté l’invitation, il serait là pour écouter la confession et servir de témoin, elle tenait sa revanche la Many, elle pourrait respirer librement et faire payer à Opâ sa trahison.
Le samedi vers treize heures, Firmin vint les chercher, les filles étaient montées au village pour préparer le festin du soir, elles avaient tout acheté avant de grimper la-haut, et de commander au seul commerçant du village, le boulanger, le pain et les gâteaux.
Dés qu’elle fut arrivée et que Opâ se fut allongé pour la sieste, la Many s’échappa dans la montagnette voisine, elle la connaissait par cœur sa montagne et aussi le maquis environnant : petite fille, elle courait par monts et par vaux, avec la vieille tante Agathe, « la sorcière », qui lui avait appris à connaître toutes les plantes médicinales, celles qui guérissaient, celles qui endormaient et celles qui droguaient ….. La Many était partie avec un sac et un Opinel pour pouvoir couper les simples qui l’intéressait, elle était presque sur de trouver ce qu’elle cherchait dans un vallon, à une petite heure de marche. En avançant, elle essayait de bien se rappeler comment il fallait les préparer, et surtout les doses à administrer pour obtenir le résultat qu’elle voulait, il fallait surtout qu’elle arrive à préparer une décoction assez forte, mais pas trop, afin de la glisser dans le potage de Opâ sans qu’il se rende compte de rien…. Voilà, c’est là, la Many exultait en coupant les pieds de ce qu’on appelait autrefois « l’herbe aux sorciers », une variété de stramoine aux vertus hallucinogènes assez puissantes, un véritable sérum de vérité ……
Quand la Many rentra en fin d’après midi, elle prétexta un mal de tête pour s’isoler dans l’ancienne cuisine pour y préparer dit-elle une « bonne tisane » …. A partir de dix huit heures ce fut des concerts de klaxon permanents pour l’arrivée de tous les enfants, petits-enfants, cousins et cousines, des tables avaient été dressées dans la grande cour pour y présenter les apéritifs et les amuse-gueules.
Vers vingt heures trente, on sonna le branle bas de combat pour inviter les convives à passer à table, ce qui se fit dans un joyeux brouhaha, les héros de la fête, Opâ et Many prirent les places d’honneur au milieu de l’immense table dressée dans les anciennes écuries de la battisse. Vers dix neuf heures trente, la Many avait servi à Opâ le potage qu’il avait pris l’habitude de manger le soir, un mélange de légumes écrasés à la fourchette, avec le jus cuisson et une cuillère d’huile d’olive.
Vers vingt trois heures la fête battait son plein, les petits enfants couraient en tous sens dans la grande salle pavée de tommettes anciennes, le rosé du Lubéron avait fait son effet, les chansonnettes fleurissaient et les refrains repris en chœur, les histoires cocasses et fort lestes faisaient pouffer les femmes et les filles, la Many jugea le moment propice pour entreprendre Opâ et commencer à lui tirer les verres du nez. Opâ qui d’habitude était assez discret et peu bavard, semblait un peu enflammé et enclin à s’épancher… La Many, habilement, orienta la discussion sur le temps jadis et plus précisément sur l’époque de leur mariage, de leurs amours, des premiers temps de leur vie en ménage, et Opâ marchait, il en avait même la larme à l’œil. Quand la Many lui reparla de son émotion quand elle avait assisté à la remise de son diplôme de Compagnon et des félicitations du jury pour son magnifique escalier de pierres, Opâ avait presque fondu, il était épanoui et commentait allègrement ses succès d’antan….
C’est à ce moment précis que la petite Louise vint tirer la manche de la Many et lui demanda de l’emmener faire « pipi », la Many ne sut pas résister et conduisit sa mignonne arrière petite fille à la salle de bains. Quand elle revint s’asseoir à la table des agapes, Opâ souriait aux anges, épanoui, il avait même fermé les yeux pour mieux jouir de la sérénité ambiante. Autour d’eux il y avait un bruit de salle de café, tout le monde riait, s’apostrophait, se lançait des plaisanteries, et la Many réfléchissait à la bonne façon de faire taire toute l’assemblée afin d’écouter la confession de Opâ, car elle ne doutait pas, dans l’état d’euphorie ou il était tout à l’heure, qu’il n’hésiterait pas à se vanter de ses exploits amoureux d’antan…La Many prit la main de Opâ afin de la secouer un peu, mais celui-ci ne bougea pas d’un pli, il continuait à sourire béatement, et même extatiquement, il souriait même pour toujours car il avait quitté le monde : plus jamais Opâ ne livrerait son secret….
Quatre jours plus tard toute la famille était de nouveau réunie dans le petit cimetière balayé par un vent glacé, Opâ était très connu dans la région et une très nombreuse assistance entourait la Many afin d’accompagner le défunt dans son dernier voyage… Quand le cercueil de Opâ descendit doucement dans la tombe fraîchement creusée, la Many, cachée derrière une voilette noire, s’approcha du trou béant et lança en plusieurs fois des petites formes blanches….. Tout le monde crut que la Many lançait des pétales de rose blanche pour un dernier adieu à Opâ, mais il s’agissait en fait des bribes d’un courrier notarial obsolète….
Maurice le : samedi 17 janvier 2004
Écrit par : mauridub | mercredi, 23 mai 2007
Quelle belle histoire mauridub ! J'ai l'impression d'être en train de lire une histoire de Maupassant. Finalement a t-on su avec qui il avait fauté ? La " mère" des Compagnons d'Avignon ? La chute de ton histoire est bien car on ne s'y attend pas du tout ! Je suppose que tu as déjà mis cette histoire sur ton blog. A ce propos, je repense à l'histoire de ta cousine Claudine qui m'a profondément émue...
Au plaisir de te lire bientôt !
Écrit par : tinou | jeudi, 24 mai 2007
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