samedi, 27 décembre 2008
A l'assaut !
J’étais dans une vaste salle de château, un château datant probablement du Moyen Age et dont la hauteur était impressionnante, aussi haut qu’un immeuble de 12 étages.
Nous étions nombreux dans cette pièce entourée de chaque côté par de larges fenêtres à petits carreaux et nous devions, munis de grandes lances, piquer sur des Chinois en costume d’apparat comme à l’époque des empereurs et qui grimpaient le long de la muraille pour atteindre la salle. Nous les piquions méchamment sur la tête au moyen de nos lances de façon à les faire tomber dans le vide. Pendant ce temps, un homme très fort, ressemblant étrangement à l’Ogre du Petit Poucet, montait des plats de nourriture depuis le rez-de-chaussée en empruntant l’escalier.
Nous ( je suis incapable de vous dire qui était avec moi)nous nous étions débarrassés de tous les Chinois et avions refermé toutes les fenêtres. L’ogre arrivait justement avec un chargement phénoménal de bouteilles.
C’est quand même impensable qu’il n’y ait pas de monte-charge. On devrait pouvoir installer un système de poulies ! m’écriai-je alors.
Au même moment, on sonnait à la porte d’entrée. Sonneries répétitives, la personne semblait s’impatienter.
C’est pour moi ! Je descends !
Et j’empruntais alors une sorte de boyau dans la muraille où l’on se glissait et qui permettait d’arriver plus vite en bas. Par endroit, ça coinçait un peu, mais fort heureusement car la chute aurait été vertigineuse sans cela.
Ah, je reconnais la porte d’entrée de chez mes parents. Derrière le judas, j’aperçois une dame accompagnée de sa petite fille. Elle vient me voir car j’ai promis de lui montrer des tableaux de … ( ? une femme peintre dont j’ignore le nom) et je dois également lui montrer quelques réalisations que j’ai faites en m’inspirant de cette femme.
Nous montons l’escalier (familial cette fois). Je recherche des tableaux sur les murs, je sais qu’il y en a deux, mais impossible de me souvenir de l’endroit où ils sont accrochés.
Au premier étage, nous entrons dans ma chambre. Je la reconnais aussitôt, même si quelques meubles ont disparu. Au passage j’ai décroché du mur un sous-verre sur lequel on aperçoit trois voiliers dans un port et il est écrit La Bourboule.
Je cherche des sièges pour leur proposer de s’asseoir mais…
Une violente douleur dans la hanche vient de me réveiller. Il fait très clair, les jours rallongent et c’est tant mieux !
Depuis hier j’ai un souci. La fille de l’agence m’a envoyé par internet les documents de voyage, mais je ne peux pas tous les ouvrir. Sur l’un d’eux j’ai ainsi appris que c’est moi qui dois m’occuper des démarches pour l’obtention du visa.
En principe elle m’expédie tout par la poste lundi…
16:56 Publié dans Onirisme | Lien permanent | Commentaires (0)
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