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mercredi, 14 décembre 2011

276. C'était comment avant ? -4-

« Moi, chétif et malingre, à cinq ans, je fus envoyé comme externe dans une pension de la ville, conduit le matin et ramené le soir par le valet de chambre de mon père. Je partais en emportant un panier peu fourni, tandis que mes camarades apprtaient d'abondantes provisions. Ce contraste entre mon dénuement et leur richesse engendra mille souffrances.»

Honoré de Balzac, Le lys dans la vallée.

pension, le guay, balzac

Ainsi donc, voici l'emplacement de la pension Le Guay où séjourna Balzac de 1804 à 1807. Une inscription est peinte au sol devant le numéro 71 de la rue de la Scellerie.

Mais c'était comment avant ?

Voici une gravure de la pension : 

pension, le guay, balzac

Commentaires

Ah merci Tinou... :-))

Écrit par : Jean Louis | mercredi, 14 décembre 2011

J'ai bien arpenté dans les années 70 (non ... après la guerre de 70 si ça ne vous fais rien !)et visiter souvent du regard les vitrines des antiquaires de cette rue de la scellerie (vers la rue nationale il y avait une minuscule creperie hum !), bref je ne savais pas que le quartier avait été honoré de Balzac enfant @+

Écrit par : dominique | mercredi, 14 décembre 2011

Euh je repasserais pour l'ortho, que voulez vous depuis 70 on faiblit

Écrit par : dominique | mercredi, 14 décembre 2011

@ dominique : moi je me souviens surtout d'un restaurant marocain où l'on pouvait manger assis sur des poufs !

Écrit par : tinou | jeudi, 15 décembre 2011

Les commentaires sont fermés.