dimanche, 30 septembre 2012
211. Carnet de voyage au Brésil, épilogue
Vendredi 14 septembre : visite de Rio
Aujourd’hui nous allons découvrir le centre de Rio en compagnie de Carmen. Nos valises sont bouclées et stockées à l’hôtel jusqu’à ce soir.
Nous prenons tout d’abord la ligne du bus, puis le métro. Premier arrêt devant l’escalier tout en mosaïque créé par l’artiste chilien Selaron. Cela ne manquera pas d’intéresser tous les amateurs d’art urbain.
Un peu plus loin, à l’entrée d’une église en réfection, Carmen nous montre une série de gravures qui montrent l’évolution de la ville au cours des siècles :
Nous reprenons la balade dans les rues, avec toujours une mise en garde :
— Faites attention à vos sacs et appareils photographiques !
C’est là qu’on se dit qu’un tout petit appareil est quand même bien pratique !
Arrêt déjeuner en terrasse, puis l’après-midi, nous traversons la baie en bateau. Visite extérieure du musée d’art contemporain. L’architecture très épurée n’est pas sans rappeler celle de Brasilia. Normal puisque le bâtiment est l'œuvre d'Oscar Niemeyer !
Vous noterez le parallélisme des lignes entre l’édifice et le pain de sucre.
La balade s’achève par la dégustation de l’açai dans un boui-boui, comme dit Carmen :
— J’aime bien venir ici pour me ressourcer quand j’ai un petit coup de blues ! Cela me rappelle ma région, l’Amazonie.
Nous récupérons nos valises et avant de quitter définitivement Rio, nous allons déguster une dernière caïpirinha au bord de la piscine située au 22e étage.
Adieu Carmen, merci pour ta gentillesse et ta patience. Je garderai un excellent souvenir de ce voyage grâce à toi.
La suite, vous la connaissez : un long voyage en avion, une arrivée en milieu de journée à Roissy, puis l’arrivée en gare de Saint-Pierre-des-Corps :
— Salut Tinou ! Oh, il est rigolo ton chapeau !
FIN
Complément d’informations :
07:31 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : voyage, bresil, rio
Commentaires
Oh bah zut, c'est terminé ! Snif...
Beau voyage où tu as vu beaucoup de choses différentes je trouve.
Un pays plein de contrastes aussi, comme on a pu le voir via tes récits et photos.
J'adore la modestie de Selaron ! Hihi...
Bon et bien vivement ton prochain voyage pour que je m'évade un peu (et sûrement les autres lecteurs, bien que peu causants)
Bises dame Tinou reporter !
PS : ouai j'adore ton chapeau !!!!!
Écrit par : Christine | dimanche, 30 septembre 2012
Bonjour Tinou,
Quel beau voyage tu as fait, tes photos sont magnifiques et le récit aussi. Quelle ville as-tu préferer dans ton voyage au Brésil?
Bises à une prochaine
Écrit par : veronique/Bérenice | dimanche, 30 septembre 2012
je confirme tu as fait un beau voyage et tu as su saisir comme d'hab ce qu'il fallait bien voir autant sur la vie locale que sur la géographie des lieux (botanique et faune incluses)...
En dépit d'une évidente et trop importante pauvreté - genératrice des forts contrastes comme tu les decris - cette Amérique Latine refuse le fatalisme de l'endormissement, de la plupart des pays ex-coloniaux. Survivances d'obscures traditions de sangs mêlés et courants de modernité font de cette partie du continent sud-américain, un pays qui compte. Pauvre ou nanti, le foot et la formule 1 sont à l'image des situations extremes de ce pays qui veut une place parmi les Grands. Pour cela j'aime le Brésil... que je ne connais que par echos
Écrit par : dominique | dimanche, 30 septembre 2012
@ Véronique : c'est difficile de te répondre ! Mais si c'était pour y vivre, je crois que mon choix se porterait sur Parati, petite ville paisible au bord de la mer, avec une belle architecture.
@ Dominique : oui, tu as raison, c'est un grand pays qui va compter ! Et le mélange des populations diverses (Portugais, Indiens, Africains, Européens) y est sûrement pour beaucoup.
Pendant que j'y pense,donne-moi ton adresse perso par mail afin que je puisse t'envoyer un exemplaire du livre.
Écrit par : tinou | dimanche, 30 septembre 2012
@ Christine : pour ce qui est des lecteurs, j'ai fait mon deuil depuis longtemps maintenant !
Écrit par : tinou | dimanche, 30 septembre 2012
enfin un pays qui ne pleure pas sur son sort et son histoire, un pays qui AVANCE. Et en plus un peuple joyeux non ?
Ici trop d'états d'âme "c'est de la faute à Voltaire si je suis tombé le nez par terre..." et d'immobilisme. ok je t'envoie mon adresse
Écrit par : dominique | dimanche, 30 septembre 2012
Les commentaires sont fermés.