mercredi, 05 décembre 2007
Ça prend forme
... peu à peu. Chacun a mis la main à la pâte pour que tout soit en place pour lundi prochain. Jean Louis a même failli en perdre un doigt en sciant une porte. Mais plus de peur que de mal !
Tous les aliments ont été stockés. Il ne manque plus que les surgelés que le camion nous livrera vendredi prochain. Cette année nous attendons au moins 300 familles et les inscriptions sont loin d'être closes !
12:09 Publié dans Restos du cœur | Lien permanent | Commentaires (6)
mardi, 04 décembre 2007
Le père Noël est déjà passé !
Ça y est, je vous annonce que j'ai eu la visite du père Noël ! Non, non, ce n'est pas une blague. En fait, j'ai décidé de jouer au père Noël et je me suis donc fait un cadeau. Comme on dit, "on n'est jamais mieux servi que par soi même".
Eh bien voilà, j'ai un appareil photo numérique reflex Pentax depuis quelques heures et il me reste une petite semaine pour m'entraîner avant mon départ.
Qu'est-ce qu'on dit ? MERCI PERE NOEL !
18:50 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (4)
lundi, 03 décembre 2007
Où l'on reparle de Turpenay
Voici donc un texte qui s'adapte parfaitement aux photos de l'abbaye.
« ...qui est - ce donc qui garde les pourceaux ?c'est l'Abbé de Turpenay, qui fut celui qui
eut la venue par mon compere Tristan
que voila, qui en fait des reproches au
Roy Louys'unziesme, lequel avoit donné
l'Abbaye de Turpenay, à un gentil homme
qui jouyssant du revenu, se faisoit
nommer monsieur de Turpenay, il avint
que le Roy estant au Plessis'lez'Tours, le
vrai Abbé qui estoit moine; et comme
ceux qui deuëment prouveus ont esté appelez
antiques, d'autant que c'estoit à
l'antique mode, qu'il n'y avoit point de
commentaires, foin je cuidois dire de
commendataires. Cet Abbé se vint presenter
au Roy, et lui fit sa requeste, lui remonstrant
que canoniquement et monastiquement
il estoit prouveu de l'Abbaye,
et que le gentil homme usurpateur lui faisoit
tort contre toute raison, et partant
qu'il invoquoit sa Majesté, pour lui estre
fait droict, en secouant sa perruque, lui
promit de le rendre contant. Ce moine
importun comme tous animaux portant
cuculle, venoit souvent aux issuës des repas
du Roy, pour lui ramentevoir son affaire;
un jour le Roy ennuyé de l'eau beniste
de Convent, appela mon compere
Tristan, et lui dit, compere il y a icy un
Turpenay qui me fasche, ostez le moi du
monde; Tristan n'y faillit non plus, qui lui
eut failli, ainsi qu'il se trouve es florides,
quand sous le nom de Stratin il eut la teste
trenchee à Sanserre, tourné en Rancrese;
tesmoin Verville qui me l'a dit, ainsi qu'il
l'a escrit. Tristan prenant un froc pour un
moine, ou un moine pour un froc, vint à
ce gentil homme que toute la Court nommoit
monsieur de Turpenay, et l'ayant
accosté, fit tant qu'il le destourna, puis le
tenant lui fit entendre que le Roy vouloit
qu'il mourut, partant qu'il fit son testament,
comme font les enfans de Lion au
pied d'une eschelle, la teste couverte par
privilege notable. Il vouloit resister en
suppliant, et supplier en resistant, comme
dit nostre amy Chastillon en son bien dire:
mais il n'y eut aucun moyen d'estre ouy.
Il fut delicatement estranglé entre la teste
et les espaules, si qu'il expira; et trois
heures apres le compere dit au Roy qu'il
estoit distilé. Il advint cinq jours apres,
qui est le terme que les ames reviennent si
elles doivent revenir, ainsi que dit sainct'Foubrequin,
que le moine vint à la salle
où estoit le Roy, lequel le voyant demeura
fort estonné, et lui sembloit avoir devant
lui le spectacle hideeux de l'ame monacale
estrangee de son triste corps. Tristan
estoit present, le Roy l'appele et lui
dit en l'oreille, vous n'avez pas fait ce que
je vous ay dit ? Ne vous desplaise Sire, dit
il, je l'ay fait, Turpenay est mort: he je disois
et entendois de ce moine. J'ay ouy et
entendu du gentil homme. Quoi c'est donc
fait ? ouy Sire. Or bien, se tournant vers le
moine, venez icy moine; le moine s'approche,
le Roy lui dit, mettez vous à genoux;
le pauvre moine avoit bien peur, et
le Roy lui dit, remerciez Dieu qui n'a pas
voulu que vous fussiez pendu, comme je
l'avois commandé; celui qui prenoit vostre
bien l'a esté, allez Dieu vous a fait justice,
allez prier Dieu pour moi, et ne bougez
de vostre Convent. »
11:05 Publié dans Balades tourangelles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Turpenay
La caverne d'Ali Baba
C'est ainsi que l'on pourrait surnommer le « musée Dufresne » à Marnay en Indre et Loire. Situé dans un ancien moulin sur les bords de l'Indre, cet endroit réunit des milliers d'objets hétéroclites provenant de récupérations diverses en France et à l'étranger. Le propriétaire, Maurice Dufresne, est un ancien ferrailleur.
J'y suis donc allée vendredi dernier avec la ferme intention de rapporter un lot conséquent de photos. Je dois dire que les fois précédentes mes clichés étaient pratiquement tous ratés. Cette fois-ci j'ai pris mon temps, j'ai mis le flash et, ma foi, le résultat n'est pas trop mauvais dans l'ensemble.
Il est évident que je ne pouvais pas tout photographier ( il y a des milliers d'objets), j'ai donc opéré une sélection ; je me suis intéressée aux voitures de collection, aux anciennes affiches publicitaires, aux manéges d'enfants ( il y en a deux), et aux métiers à tisser. Lors d'une prochaine visite, je choisirai d'autres thèmes.
« Bon, c'est bien beau tout ça, mais elles sont où tes photos Tinou ? »
- Sûrement pas sur ce blog car l'affichage est trop petit ! Donc, je vous conseille de cliquer ICI pour les voitures. Pour voir les affiches, il suffit d'aller sur mon blog photo et de cliquer sur la catégorie "affiches". Tant pis pour ceux qui n'aiment pas cliquer sur les liens. Mais tout n'est pas encore en ligne, un peu de patience !05:10 Publié dans Balades tourangelles | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : musée Dufresne
dimanche, 02 décembre 2007
Où Camille invente...
... une nouvelle utilisation de la couche-culotte ! Je n'aime pas particulièrement les enfants, mais là j'ai craqué devant cette petite fille de 14 mois qui est restée avec nous tout le long du repas sans un cri, sans pleurs. Elle a goûté à tout et apparemment, elle s'est bien régalée.
Julie avait invité un couple d'amis (les heureux parents de Camille) et nous avons passé un agréable moment autour d'une raclette. Ce qui explique ma petite sieste au retour !
17:51 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (1)