Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 25 juin 2010

238. de Moscou à Pékin-20-

Vendredi 4 juin : poursuite du voyage en train.

 Le train avait repris son trajet vers 1h30 mais je m’étais endormie avant. À mon réveil je me précipite donc hors du compartiment pour regarder le paysage comme si le simple fait de passer la frontière allait tout changer radicalement. Et pourtant, on observe bien des changements, non pas tant sur le décor, mais sur la population !  On peut remarquer qu’ici il y a du monde qui s’active. Les villages sont plus nombreux, on observe les paysans qui effectuent les travaux des champs.

Youri vient nous annoncer la BONNE NOUVELLE du jour : durant la nuit, lors de la recomposition du train, le wagon-restaurant a été oublié ! Pas de petit-déjeuner, pas de déjeuner … Par comble de malchance les arrêts sont rares et on ne trouve rien à acheter. Alors, à la guerre comme à la guerre, on se partage les restants, c'est-à-dire un paquet de pruneaux et quelques bonbons Ricola. Pour la boisson on est plus gâté car on a encore des sachets de thé et de café.

Au fur et à mesure que l’on s’approche de Pékin, la population se fait plus dense. La culture maraîchère occupe une grande partie des terres. On croise également quelques usines qui crachent leur fumée par de hautes cheminées. Le ciel reste désespérément gris, comme voilé par un nuage de brouillard et même si le soleil se fait sentir (30° OUTSIDE) on ne le voit pas. Il en sera ainsi durant ces trois jours passés en Chine …

À suivre

 

Commentaires

Je vois que leurs murs aussi sont tagués...

Écrit par : Cigale | vendredi, 25 juin 2010

@ Cigale : hi hi hi... Je crois que ce sont les noms des villages qui sont ainsi écrits sur les murs !

Écrit par : tinou | samedi, 26 juin 2010

Les commentaires sont fermés.