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jeudi, 04 août 2011

162. Bilan d'une décennie -15-


podcast

Août 2002 :

Il n’y a même pas une semaine que je suis revenue de Cuba et voilà le mal au dos qui refait son apparition ! Je suis coincée de chez coincée, incapable de me tenir droite et, le pire, c’est que j’ai horriblement mal dès que je fais le moindre mouvement. Je passe donc une semaine au lit, Peggy venant me ravitailler. Mais la situation ne s’améliore pas et après s’être renseignée, Peggy me trouve un médecin ostéopathe. Aller du lit à la voiture et de la voiture à la salle d’attente fut un véritable calvaire. Une heure plus tard je ressortais aussi droite qu’une pousse de bambou et avec un sourire radieux !

 Septembre 2002 : c’est la rentrée des classes. Je travaille maintenant dans un RASED. Nous sommes une équipe de cinq personnes (la psychologue scolaire et trois autres rééducateurs). Durant la semaine j’interviens dans plusieurs écoles où je prends en charge des petits groupes d’élèves pendant un temps limité (une demi-heure environ).

 

Maison 016.JPG

Octobre 2002 : à la maison, le chat Popy devient insupportable. Chaque nuit, il vient me réveiller pour sortir dans le jardin. Il miaule jusqu’à ce  que, excédée, je me lève pour aller lui ouvrir la porte du salon. Finalement je fais venir mon petit bricoleur qui installe une chatière dans la porte du garage. Mais le problème n’est pas résolu pour autant car ce que Monsieur veut, c’est aller dehors ! Il faudra attendre quelques mois, l’arrivée de Michel dans ma vie, qui mettra une autre chatière donnant directement du garage à la rue. Ensuite je fais un trou dans le grillage pour accéder au jardin… Avec tout cet agencement, je pensais pouvoir me passer d’une litière. Mais c’était mal connaître le Popy ! Alors que Théo prit rapidement  l’habitude de faire ses besoins dans le jardin, le chat Popy continua à réclamer Sa litière dans le garage. Il avait aussi une autre manie très désagréable : lorsque je rentrais de vacances, dès que j’ouvrais ma valise, il allait faire pipi sur mes vêtements. Il m’a fait le coup deux fois, mais pas trois !

 

peg2002.jpg

9 octobre 2002 : Peggy a 30 ans ! Pour cette occasion, elle loue une salle et organise une fête où elle invite tous les gens qu’elle aime. Nous étions environ une quarantaine de personnes (enfin il me semble). C’est là une des grandes différences entre elle et moi : autant elle est avenante et ouverte vers les autres, autant je suis renfermée et peu encline à ce genre de manifestation. La soirée fut très cordiale. 

 du 23 octobre au 3 novembre 2002 : ce sont les vacances de la Toussaint. Je pars deux jours à Paris avec Peggy. Son amie Nathalie nous a prêté son appartement. Durant cette petite virée dans la capitale, nous allons voir l’exposition Modigliani au Sénat, puis une autre exposition à Beaubourg dédiée au peintre allemand Max Beckmann. C’est pendant ce court séjour que je découvre la musique de la chanteuse Dido. ( extrait en haut de la note).

 22 novembre 2002 : ce soir-là j’ai fixé rendez-vous à un homme que je ne connais pas encore. Nous avons juste eu l’occasion de parler au téléphone. Il me semble intéressant :

— Qu’entends-tu par « intéressant » ?

— J’entends par là qu’il est capable d’écrire trois mots sans faire de fautes d’orthographe, qu’il est très cultivé.

— Et physiquement ?

— Ah ça, je ne sais pas encore, ce sera la surprise du chef !

Nous allons dîner au restaurant l’Odéon, place de la gare. Il n’habite pas à Tours, et travaille à Paris. Nous nous sommes fixés rendez-vous dans le parking du Vinci, tout près du restaurant. Je vois alors apparaître un barbu d’environ 2m, pesant bien son quintal. C’est ainsi que Michel entre dans ma vie pour une période non définie encore.

À cette époque, j’ai un petit groupe d’amies (trois) que je vois régulièrement et qui sont mes confidentes. Aujourd’hui, je n’ai plus de nouvelles … Chacune mène sa barque dans son coin. Il faut dire à leur décharge qu’elles ne reçoivent pas non plus de mes nouvelles et puis, elles ont leur travail, les enfants à élever.

 Décembre 2002 :  

Ce sont les retrouvailles avec Julie, dite Juju, une ancienne élève avec qui je suis toujours restée en relation épistolaire. Le 18 décembre, je l’emmène déjeuner à la brasserie de l’Univers. Peggy nous accompagne.

 Et puis les vacances de Noël arrivent. Et le 22 décembre …

 À suivre

Commentaires

coucou Tinou
meme si je fais peu de commentaires ! je suis attentivement et lis assidument ton blog !
trés intérressante cette biographie !
je t'appel demain
bises
juju

Écrit par : juju | jeudi, 04 août 2011

@ Juju : ok, bises Juju.

Écrit par : tinou | vendredi, 05 août 2011

Dis donc, il s'en est passé des choses à cette période !
J'attends la suite, comme toujours.......

Écrit par : Christine | vendredi, 05 août 2011

Les commentaires sont fermés.