dimanche, 18 novembre 2012
264. Où l'on reparle du Vieux Tours
C'est avec étonnement que j'ai appris par Dadavidov -ce matin même- que La NR -journal local- avait fait paraître un article sur mon livre "L'âme du Vieux Tours" :
" Le Vieux-Tours n'a pas toujours été une addition de bars et de restaurants (la plus forte concentration en mètres carrés dans la région Centre !), faisant le bonheur des étudiants et des touristes, et un peu le malheur de ses habitants !
Avant l'application de la fameuse loi Malraux y vivaient beaucoup de gens aux revenus modestes, beaucoup de Portugais notamment, la première communauté à s'être installée à Tours. Le vieux quartier regroupé autour des Halles, pas encore modernes (!), était, comme dans la plupart de ceux de France, un quartier populaire où vivaient dans des habitations insalubres ceux qu'on a appelés « les petites gens » avant de les nommer « quart-monde » puis « les plus fragiles ». Beaucoup de petits commerces aussi et de bistrots, déjà. Une pensée pour « Le Putois », où le bar était aussi la salle à manger des patrons… : boîte à sucre en métal sur la toile cirée, cafetière sur la cuisinière et des chats dans tous les coins.
La Tourangelle Danielle Léger, s'appuyant sur les photos de Paul Martinaud, qui a séjourné à Tours de 1968 à 1976, vient de publier « L'Ame du Vieux Tours », petit livre qui fait revivre, essentiellement en photos, cette époque pas si lointaine. Avec le rémouleur place des Halles, le forgeron de la rue de la Scellerie, les femmes allant chercher l'eau à la pompe, les gamins jouant dans les ruelles, les clochards affalés contre les façades, les maisons et immeubles au tuffeau rongé par le temps avant leur restauration. Ce n'était pas forcément le bon temps, c'était quand le Vieux-Tours avait une âme ! "
L'Ame du Vieux-Tours, Paul Martinaud et Danielle Léger (éd. Sutton, 9,90 €).
Comme je n'ai pas été prévenue, je n'ai même pas la possibilité de découper l'article en souvenir car je n'achète pour ainsi dire jamais le journal ! Espérons que "mon attachée de presse" trouvera le moyen de se le procurer !
01:56 Publié dans Bienvenue chez moi | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Euh j'ai pourtant lu la NR chez maman hier, mais si vite, que je n'ai pas vu !
Mais comme je suis une petite futée, voici le lien avec l'article hihi
http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2012/11/17/Quand-le-Vieux-Tours-avait-une-ame
Sinon je vais voir si je peux récupérer la version papier chez maman. Je te tiens au courant !
Écrit par : Christine | dimanche, 18 novembre 2012
http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2012/11/17/Quand-le-Vieux-Tours-avait-une-ame
Je vais tenter de récupérer la version papier chez maman mais ne t'assure rien !
Écrit par : Christine | dimanche, 18 novembre 2012
Article vous concernant copié sur la NR
Un livre pour feuilleter le passé… pas si lointain. Chaque photo est un document !
Il y a 50 ans, le Vieux-Tours servait d'exemple à la France
Le Vieux-Tours n'a pas toujours été une addition de bars et de restaurants (la plus forte concentration en mètres carrés dans la région Centre !), faisant le bonheur des étudiants et des touristes, et un peu le malheur de ses habitants !
Avant l'application de la fameuse loi Malraux y vivaient beaucoup de gens aux revenus modestes, beaucoup de Portugais notamment, la première communauté à s'être installée à Tours. Le vieux quartier regroupé autour des Halles, pas encore modernes (!), était, comme dans la plupart de ceux de France, un quartier populaire où vivaient dans des habitations insalubres ceux qu'on a appelés « les petites gens » avant de les nommer « quart-monde » puis « les plus fragiles ». Beaucoup de petits commerces aussi et de bistrots, déjà. Une pensée pour « Le Putois », où le bar était aussi la salle à manger des patrons… : boîte à sucre en métal sur la toile cirée, cafetière sur la cuisinière et des chats dans tous les coins.
La Tourangelle Danielle Léger, s'appuyant sur les photos de Paul Martinaud, qui a séjourné à Tours de 1968 à 1976, vient de publier « L'Ame du Vieux Tours », petite livre qui fait revivre, essentiellement en photos, cette époque pas si lointaine. Avec le rémouleur place des Halles, le forgeron de la rue de la Scellerie, les femmes allant chercher l'eau à la pompe, les gamins jouant dans les ruelles, les clochards affalés contre les façades, les maisons et immeubles au tuffeau rongé par le temps avant leur restauration. Ce n'était pas forcément le bon temps, c'était quand le Vieux-Tours avait une âme !
L'Ame du Vieux-Tours, Paul Martinaud et Danielle Léger (éd. Sutton, 9,90 €).
Écrit par : DATHEE | dimanche, 18 novembre 2012
Cet article est paru le:17/11/2012
Écrit par : DATHEE | dimanche, 18 novembre 2012
@ Christine : ah, "l'attachée de presse" est réveillée !
@ DATHEE : Merci. J'ai conservé votre adresse mais je n'ai pas votre nom ! Envoyez-moi un mail.
Écrit par : tinou | dimanche, 18 novembre 2012
Bravo à HIHI (je pencherais plutôt pour HIHAN) pour sa grande perspicacité !
Écrit par : Caramel à la fleur de sel | lundi, 19 novembre 2012
Dites "caramel à la fleur de sel" vous n'en n'avez pas marre de vous planquer derrière des pseudos bidons ? Il y a longtemps que l'on sait qui vous êtes.
Alors soyez couillu, assumez votre identité !
Ca changera un peu et surtout, cela fera beaucoup moins "faux cul".... Parce que, mis à part nous démontrer que vous en êtes un sacré, vos interventions sont très stériles (sûrement à la hauteur de votre personnage) !!!
Écrit par : Christine | lundi, 19 novembre 2012
Un nom ! Un nom ! Un nom !!!
Écrit par : caramel à la fleur de sel | lundi, 19 novembre 2012
Et puis on ne reçoit plus non plus la NR au travail, sinon je te l'aurais scanné cet article... Et sur le site ? tu n'as pas la possibilité de faire une copie d'écran ou une impression ?
Je vais prendre rendez-vous pour faire dédicacer mon exemplaire ;-)
Écrit par : catherine | lundi, 19 novembre 2012
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