mercredi, 18 juillet 2012
148. Le timbre de juillet
Tiens, un décor peu habituel ! Serions-nous sur un hippodrome ? Ça m'en a tout l'air.
— Deauville peut-être ?
— Ah, non, c'est à Combrée, dans le Maine et Loire, pour une course de steeple chase.
Ces dames semblent bien attentives. Il leur manque quand même un chapeau, non ?
11:52 Publié dans Thierry | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : course, chevaux, combree
mardi, 17 juillet 2012
147. Toute la musique que j'aime -14-
Un petit clin d'œil en passant à Jon Lord qui est décédé hier à Londres d'une embolie pulmonaire.
Il est à l'origine du groupe Deep Purple...
Ça va chauffer en Enfer !
18:31 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
146. La page est définitivement tournée
Je vous avais parlé, il y a presque six mois maintenant, de ma maison d’enfance dont j’ai hérité à la mort de mon père.
Cette maison date du début des années 1900. Le premier à s’y installer fut mon arrière grand-père Louis qui tenait le café situé au rez-de-chaussée. Il y avait une salle de bal attenant au café. Dans les années trente, cette maison revint à ma grand-mère qui reprit le commerce avec son mari. Puis, au décès de mon grand-père, en 1960, ce fut au tour de mon père de reprendre le flambeau.
Je suis donc née et j’ai passé toute mon enfance et mon adolescence dans ces lieux.
Le temps passa, la maison vieillit, tout comme moi, et à la fin de l’année dernière, des travaux d’envergure durent être entrepris. N’ayant pas la fortune de Rotschild, il ne me restait qu’une solution : mettre en vente.
Les tractations s’engagèrent donc avec mes actuels locataires et nous somme finalement tombés d’accord sur un prix. Ils sont gagnants sur toute la ligne et, de mon côté, j’estime que je m’en sors pas trop mal.
Bref, il a donc fallu que je retourne sur les lieux plusieurs fois. Ces visites ont été particulièrement pénibles sentimentalement. À chaque fois, je revoyais le passé surgir :
Dans le jardin
À la caisse
À la fin de la signature de l’acte de vente, la notaire rajoute, en se tournant vers moi :
— Ça doit vous faire quelque chose ?
Dans un effort quasi surhumain, j’ai retenu mes larmes et lui ai répondu :
— Bof, c’est la vie, la roue continue de tourner …
Une chose est certaine : chaque fois que je passerai dans le quartier, je n’aurai plus l’angoisse de me dire en regardant la maison : comment est la toiture ? Combien de temps encore va tenir la grille du jardin ?
Adieu papa, adieu maman, nous avons tout de même été heureux dans cette maison !
04:29 Publié dans Nostalgie | Lien permanent | Commentaires (10)
lundi, 16 juillet 2012
145. Mais où est-elle ?
18:44 Publié dans Enigmes | Lien permanent | Commentaires (3)
dimanche, 15 juillet 2012
144. Si vous êtes sages
— Si vous êtes sages, disait alors le père à ses enfants, nous irons le voir dimanche.
— Youpie ! s'écriaient les enfants, battant des mains et sautant de joie.
Et vous, lecteurs, avez-vous été bien sages ? Hum ...Pas si sûr ! Enfin, je vous accorde le bénéfice du doute.
Allez, qui m'aime me suive !
03:10 | Lien permanent | Commentaires (0)