lundi, 09 juillet 2012
139. Nouvelle énigme
Tiens, tiens, voici une maison qui demande à être restaurée. Mais où se situe-t-elle ?
03:47 Publié dans Tours, ma ville | Lien permanent | Commentaires (6)
dimanche, 08 juillet 2012
138. Croisière sur le Danube -9-
Mardi 26 juin : Au revoir Budapest !
Dernier jour du voyage ! Je suis réveillée très tôt –comme d’habitude- et je constate avec bonheur que le ciel est dégagé et que la matinée s’annonce ensoleillée. Tant mieux, je vais pouvoir en profiter et dès six heures, je suis déjà dans les rues à la recherche d’une boîte à lettres afin de poster les enveloppes de Thierry. Ah, justement, en voilà une :
Je reviens au bateau pour le petit déjeuner, à 7h30, puis le temps de boucler la valise, de la sortir dans le couloir et me voici de nouveau repartie.
Nous devons quitter le bateau à 11h30 pour prendre la direction de l’aéroport. Il me reste donc plus de trois heures de libre que je mets à profit pour faire des photos. Et je mitraille ! Je ferai le tri ensuite.
L'entrée des halles couvertes
La sinagogue, la plus grande en Europe
Des façades Art nouveau, des magasins, des statues … Bref, tout y passe.
Quand je reviens au bateau, les valises sont en train d’être chargées dans les cars. Direction l’aéroport :
La suite, vous la connaissez : un retour qui s’éternise par ma faute.
Et maintenant ?
Il est temps de faire le bilan : ce fut un voyage agréable, enrichissant sur le plan culturel et physiquement reposant.
— Alors ?
Eh bien je compte poursuivre ce voyage car je ne suis pas arrivée à l’embouchure. Il reste encore plusieurs étapes : Belgrade, le passage des Portes de Fer, excursion à Bucarest et enfin le delta en Bulgarie, soit trois pays à découvrir : la Serbie, La Roumanie et la Bulgarie. Ce sera donc l’objet d’un prochain voyage.
— Quand ?
— Va savoir Armand !
18:39 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : croisiere, danube, croisieurope
samedi, 07 juillet 2012
137. Disparition inquiétante
Depuis mon retour de voyage, je scrute désespérément le ciel, du matin jusqu'au soir. Hélas en vain !
Pourtant la saison avait bien commencé : fin avril, un soir que j'étais couchée très tôt, la fenêtre grande ouverte, j'ai entendu les stridulations caractéristiques de leurs chants. Je veux parler des hirondelles. Oh, elles ne sont pas en très grand nombre, une vingtaine peut-être, mais assez cependant pour mettre de la vie.
L'arrivée des hirondelles est toujours une grande source de bonheur. On se dit que tout fonctionne normalement encore sur cette planète et leur présence égaie les ciels d'été. Un été sans hirondelles c'est un peu comme un arbre sans feuilles ou un jardin sans arbres. Bref, tout était normal.
Pourtant, peu avant mon départ, j'ai constaté un grand silence dans le ciel. J'ai mis ça sur le fait que le temps était pluvieux.
Depuis mon retour, j'ai donc repris l'observation et il faut se rendre à l'évidence :
LES HIRONDELLES ONT BRUSQUEMENT DISPARU !
Que s'est-il passé ? Sont-elles parties chercher la chaleur ailleurs ? Ont-elles été tuées ?
De votre côté, avez-vous également noté cet étrange phénomène ?
Tout cela me rend infiniment triste ...
08:39 Publié dans Planète en danger | Lien permanent | Commentaires (4)
vendredi, 06 juillet 2012
136. Le Gulyásleves
Tout, tout, tout ... Vous saurez tout sur le Goulash en cliquant ICI.
L'ingrédient INDISPENSABLE pour bien réussir ce plat est le paprika
Cette épice est obtenue à partir du piment doux, séché puis moulu. C'est ce qui donne ensuite la couleur rouge au plat.
Voici donc la recette que j'ai obtenue lors de mon passage à Budapest :
Pour 4 personnes :
- 1 kilo de viande de bœuf
- 2 ou 3 oignons
- 1 douzaine de petites pommes de terre
- 2 poivrons verts
- sel, poivre, cumin, paprika, huile d’olive
- 1 à 2c de crème fraîche (pour ceux qui aiment).
Faites revenir dans un peu d’huile d’olive les oignons hachés finement, puis le bœuf coupé en morceaux. Saupoudrez de paprika et versez 1,5l d’eau.
Ajoutez les poivrons coupés en fines lamelles et portez à ébullition. Assaisonnez avec le sel, le poivre, un peu de cumin et laissez cuire à feu doux pendant 1h30 à 2h.
Environ 20minutes avant la fin de la cuisson, rajoutez les pommes de terre coupées en quatre.
Au moment de servir, vous pouvez rajouter 1 à 2 cuillerées de crème fraiche.
Et maintenant ... Jo étvagyat !
10:44 Publié dans Côté cuisine | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : recette, goulash, paprika, hongrie
135. Croisière sur le Danube -8-
Lundi 25 juin : Budapest
Il est huit heures du matin :
— Ça y est, nous arrivons à Budapest !
Tout le monde se précipite sur le pont, appareil photo en main. L’entrée dans la ville est impressionnante surtout avec le Parlement construit au ras du fleuve.
Le bateau accoste bientôt sur la rive gauche, à Pest. L’autre versant, Buda, est une colline boisée au sommet de laquelle se dresse l’imposant château, la cathédrale et le Bastion des pêcheurs.
La visite commence par un tour de ville (côté Pest) en autocar et il se met à pleuvoir légèrement. Arrêt sur la place des Héros
puis nous traversons le Danube, passons par le tunnel et accédons en haut de la colline de Buda. Jean-Claude, Monique et moi-même laissons alors le groupe et partons de notre côté.
Vue remarquable sur le Danube depuis la terrasse du château. Je finis bientôt par me retrouver toute seule car je ne peux suivre le rythme accéléré de mes deux acolytes (ils ne marchent pas, ils courent !).
Je change un peu d’argent (la monnaie locale est le Forint) pour pouvoir acheter des timbres, puis je musarde dans les rues de la cité royale. Je trouve cette partie de la ville particulièrement agréable et bien restaurée.
L’église Matthias, avec ses tuiles vernissées, est en cours de restauration.
Je retrouve le groupe vers 11h30 et nous retournons déjeuner sur le bateau.
C’est à ce moment-là que le temps change du tout au tout ; la pluie fine du matin fait bientôt place à des trombes d’eau qui ne cesseront qu’à la fin de la journée. Ça tombe plutôt mal car nous avions quartier libre pour l’après-midi ! Néanmoins, nous nous équipons et nous partons en expédition.
D’abord un arrêt sous les halles couvertes (à gauche sur la photo). Là au moins, nous sommes à l’abri. J’en profite pour acheter du paprika.Et qui dit paprika, dit ... Goulash ! Je vais vous donner la recette ultérieurement.
Comme il est impossible d’utiliser l’appareil photo, je décide de retourner sur le bateau. Une fois à bord, je me change car je suis trempée comme une soupe, je m’allonge et … Je m’endors !
À suivre
09:34 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : croisiere, danube, croisieurope, budapest