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dimanche, 27 janvier 2019

La Sérénissime -1-

C'est en juin 2015 que je suis allée à Venise. Le trajet se fit en plusieurs étapes : tout d'abord en train de Tours à Paris, puis de nouveau le train pour rejoindre l'aéroport Saint Exupéry à Lyon.

Arrivée à Venise, j'ai enfin pris un taxi qui m'a conduite jusqu'au bateau amarré le long du grand canal.

italie, venise

Sur la place Saint-Marc, les musiciens s'installent à la terrasse du café Florian.

italie, venise

Et les masques sont là pour nous rappeler qu'ici le Carnaval est toujours bien présent ! 

italie, venise

Je vous laisse découvrir la première partie :

09:55 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : italie, venise

samedi, 26 janvier 2019

De retour à Madère -2-

Suite et fin des portes peintes à Madère :

Demain, je vous proposerai une nouvelle destination.

06:44 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : madère, funchal

vendredi, 25 janvier 2019

De retour à Madère 1-

madère,funchal

Lors de mon séjour à Madère, en octobre 2017, j'avais découvert un endroit très insolite dans le vieux quartier de Funchal situé à l'est de la ville : toutes les portes des maisons et quelques fenêtres étaient recouvertes de dessins muraux ce qui redonnait aux maisons un petit coup de jeune.

Aussi, un après-midi où rien n'était prévu au programme, avec deux copines de voyage, nous avons pris un taxi et sommes parties à la découverte de ce quartier. Une fois sur place - vers 14h-  nous nous sommes fixées une heure et un lieu précis de rendez-vous. Ainsi sont-elles parties visiter les églises tandis que de mon côté j'arpentais les rues afin de prendre un maximum de photos. Une vraie chasse au trésor ! J'étais un peu comme les gamins tout excités partant à la recherche des œufs de Pâques dans le jardin.

 

madère,funchal

Bref, trois heures durant, j'ai arpenté ce quartier de la rue de Santa Maria, tout à mon bonheur. Au total, une bonne centaine de portes et fenêtres photographiées. À 17h, j'ai retrouvé les copines et nous sommes allées prendre un pot avant de repartir à l'hôtel en taxi.

Jusqu'à présent je n'avais pas exploité ce petit capital. J'ai bien préparé un album, mais vu le prix du tirage, j'attends un peu avant de le commander.

Comme j'ai réussi à récupérer mon logiciel de diaporamas, je viens donc de mettre les photos en ligne sur Youtube. 

Voici le premier diapo , le second suivra demain !

04:38 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : madère, funchal

jeudi, 24 janvier 2019

La misère au quotidien

La première fois que je l'ai remarqué, c'était il y a environ deux ou trois ans. A cette époque, je me ravitaillais en produits pour ma cigarette électronique dans le centre ville de Tours. Pour y aller, je prenais alors le périphérique et sortais au niveau de La Riche. À cet endroit précis, sous le pont du périphérique il y avait là un homme d'âge totalement indéterminé -je dirais la cinquantaine approximativement - qui faisait la manche quand les voitures attendaient au feu rouge. Apparemment il dormait sous le pont car il y avait tout un amoncellement de cartons et de sacs en plastique.

Je le revis le mois suivant mais le feu étant au vert, je ne pus pas m'arrêter. Son état physique semblait s'être nettement détérioré et il marchait difficilement avec une béquille.

La troisième fois, j'avais préparé un peu d'argent pour le lui donner, mais l'homme n'était plus là ! D'ailleurs les services municipaux étaient passés par-là car tout avait été nettoyé sous le pont. Avec tristesse je me suis dit que sans doute il était à l'hôpital ou -pire- qu'il était mort. Et puis le temps a passé ...

Quelle ne fut pas ma surprise il y a environ un mois lorsque je le revis de nouveau alors que j'allais faire mes courses dans un hyper. Il avait changé de place et se trouvait maintenant au carrefour situé à la sortie du périphérique en direction de Tours en longeant le Cher. C'est un endroit particulièrement dangereux où les piétons ne peuvent pas se déplacer par manque de trottoirs. Il était placé sur le terre-plein au pied du feu, assis sur un tabouret, son gobelet à la main. Il ne se levait même pas pour faire l'aumône. Il attendait dans le froid ...

Au retour j'eus la chance d'arriver au moment où le feu passait au rouge ce qui me permit de lui donner un billet.

Son large sourire fut pour moi un vrai rayon de soleil ! Dès lors, je prépare toujours quelque chose à lui donner. La dernière fois, nous avons eu le temps d'échanger quelques mots ; c'est ainsi que j'appris qu'il s'appelle Ilian et qu'il est Bulgare.