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lundi, 19 mars 2018

Cinq mille !

Lundi 19 mars 2018, 16h15 : je viens de trouver mon 5000e ancêtre. Honneur aux dames, puisqu'il s'agit d'une femme : Marguerite TURPIN de CRISSÉ. Allons à la pêche aux informations pour en savoir un peu plus sur elle :

Elle est née en 1300 à Crissé, dans la Sarthe. C'est la fille de Guy III TURPIN de CRISSÉ, sgr de Crissé et de Jeanne de BEAUÇAY.

Vers 1315 elle épouse un certain Eschivat, Eschivat IV de PREUILLY, baron de Preuilly-sur-Claise, village situé dans le sud de la Touraine, seigneur de la Roche Posay (dans la Vienne) et enfin vicomte de COMBORN. N'EN JETEZ PLUS ! Il est né vers 1280.

Bref, Eschivat qui doit être un vaillant chevalier, rejoint l'armée du roi Philippe le Bel et participe à la bataille des Éperons d'or qui se déroule à Courtrai, en Belgique le 11 juillet 1302. C'est un véritable massacre du côté français ! 

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Étude de Nicaise de Keyser,1836 "La bataille des éperons d'or".

On ne saura jamais dans quel état il en est revenu, mais en tout cas, cela ne l'a pas empêché d'épouser Marguerite et d'avoir des enfants. Il décède en 1349. Quant à Marguerite, elle décède à Preuilly-sur-Claise après 1320.

Pour en savoir davantage :

La bataille de Courtrai.

mardi, 23 août 2011

181. Bilan d'une décennie -32-


podcast
Samedi 18 septembre 2004 : Michel est venu me voir avec sa moto, toute neuve, achetée durant le mois d’août. J’appréhende un peu de monter sur cet engin dont je garde un très mauvais souvenir. En 1969, lors d’un séjour en Allemagne, un correspondant était venu me rendre visite en moto alors que j’étais à Greifswald. J’avais donc eu l’occasion de monter avec lui et cela s'avéra fort périlleux !

Deuxième tentative, trente-cinq ans plus tard ! En fait, ça se déroule très bien, je trouve même ça plutôt agréable et dans le coup, nous allons à Tours en moto.

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 Lundi 20 septembre 2004 :c’est le centenaire du lycée Balzac et, à l’occasion, je reçois une invitation pour aller visiter les lieux. Retour au bahut !   Je n’y étais pas allée depuis juin 1968, date à laquelle je l’avais quitté. Ça fait tout drôle de revoir l’endroit où j’ai passé quand même plus de dix ans de ma vie. Il y a pas mal de monde, mais je ne retrouve aucune ancienne élève connue.

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Dans la cour, un nouveau bâtiment a été construit à l’emplacement de l’ancien préau et cela rétrécit considérablement l’espace. Cette cour m’apparait bien petite soudainement. En parcourant les longs couloirs, je me revois encore, vêtue d’une blouse bleue ou rose selon la semaine, bien en rang devant l’entrée de la classe, à attendre l’arrivée du professeur, l’anxiété quand c’était les périodes de compositions trimestrielles. Dix longues années régies par une discipline très stricte, ça laisse forcément des traces. Il m’arrive encore fréquemment de rêver que je suis au lycée ou bien que je repasse les épreuves du bac !  Les fortes têtes ne restaient jamais très longtemps, soit elles se pliaient, soit elles étaient renvoyées.

Une époque complètement révolue …

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 Dimanche 26 septembre 2004 : avec Michel nous allons voir une manifestation qui se tient à Neuville-sur-Essonne. Durant le week-end, des passionnés se retrouvent et essaient de revivre comme autrefois : il y a les mordus du Moyen Age, d’autres qui font revivre des scènes de bataille  et qui jouent à la guerre avec leurs mousquets. Un mélange hétéroclite assez amusant ! Naturellement Michel trouve ça passionnant. Je le vois bien d’ailleurs déguisé en empereur romain, vautré sur un lit à déguster des grappes de raisins que de jolies esclaves lui tendraient. Bref, il trouve quand même le moyen d’acheter une cotte de maille (pratique pour aller au bureau !), puis un casque.

 Mercredi 20 octobre 2004 : première matinée aux restos du cœur en tant que bénévole. Je fais connaissance de l’équipe, composée essentiellement de retraités. Parallèlement, je  m’investis aussi dans une association qui lutte contre l’illettrisme. J’interviens dans le quartier du Sanitas, à Tours,  pour donner des cours de français à des étrangers.

C’est à cette période que je commence à ressentir une vive douleur dans l’épaule droite. Mon toubib me prescrit alors quelques séances chez le kiné.

 Novembre s’écoule tranquillement.

 Jeudi 16 décembre 2004 : dans l’après-midi je retrouve Michel à Paris et nous prenons le train gare du nord  en direction de Bruxelles pour une petite virée de trois jours en Belgique.

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Arrivés dans la capitale belge, nous dînons le soir sur la Grande Place, toute illuminée.

 Vendredi 17 décembre 2004 : il pleut comme vache qui pisse ! Après avoir visité le Centre de la B.D, nous optons pour une découverte de la ville en car, ainsi sommes-nous à l’abri pour un certain temps. L’Atomium est malheureusement fermé à la visite pour cause de travaux.

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En fin de matinée, nous prenons le train pour Bruges.

 Samedi 18 décembre 2004 : il fait un froid de canard mais le ciel est magnifiquement bleu ! Toute la journée est consacrée à la visite de la ville que nous arpentons vaillamment, en long, en large et en travers et même en hauteur : 

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Dimanche 19 décembre 2004 : nous quittons avec un peu de regret cette jolie ville de Bruges. J’arrive à Tours vers 20h.

Vendredi 24 décembre 2004 : je réveillonne chez Peggy cette année.

 Dimanche 26 décembre 2004 : les terribles images du tsunami qui a touché bon nombre de pays de l’océan indien viennent nous faire oublier pour un temps que nous sommes en période de fête.

L’année 2004 se termine donc dans la douleur. Que réserve l’année 2005 ?

À suivre

mercredi, 30 juillet 2008

Dentelle et Béguinage

ph109.jpgCes deux mots sont suffisants pour évoquer une ville. Voyez-vous laquelle ? Ce n'est pas en France, mais en Belgique... Enfin je devrais plutôt dire les Flandres car les gens de cette région font de moins en moins d'effort pour parler français, même s'ils comprennent ce que vous dites, ils vous répondront en flamand ! Et les choses ne se sont pas arrangées depuis décembre 2004. Il suffit de voir les difficultés que la Belgique rencontre pour mettre en place un gouvernement.

Je vous emmène faire un tour à Bruges, Brugge en flamand. J'avais déjà eu l'occasion d'y aller avec mes parents, dans ma jeunesse, mais le séjour avait été trop court et je n'en gardais aucun souvenir. ph42.jpg

Cette fois-ci, en 2004, j'étais avec Mimi. Nous sommes restés trois jours à visiter les différents musées, faire une promenade sur les canaux, flâner dans les vieilles ruelles, nous empiffrer de chocolat et de vin chaud ! C'était quelques jours avant Noël, il faisait froid mais nous avons eu un soleil magnifique.

La suite sera pour demain !  

09:30 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : belgique, bruges