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samedi, 13 avril 2013

67. Cityville

Finalement, le mauvais temps ne me gêne pas trop car j'en profite pour jouer à Cityville  (sur Facebook). Le jeu a considérablement évolué depuis trois ans : plus de rapidité dans l'exécution des tâches, beaucoup de choix dans les bâtiments. Le principe reste le même : réussir des challenges, étendre la ville et la faire prospérer. Récemment le jeu s'est considérablement agrandi avec une ouverture vers des montagnes.

Je gère donc mes huit villes (ben oui, j'aime les complications) et je peux m'entraider. Pour un peu, je pourrais presque me passer des autres voisins.  

Je plante, j'envoie des avions, des bateaux, des trains. Il y avait même des fusées, mais j'ai supprimé car ça prenait trop de place ! Et puis, un centre spatial en pleine ville, ça ne le fait pas.  

Voici la ville de Célestine : vous remarquerez qu'elle fait la g... Manque de bâtiments officiels dans la ville !

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Chez Adèle, ça se passe mieux. Vue de la ville de nuit :

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SI DES FOIS VOUS JOUEZ AUSSI  A CE JEU, FAITES-LE MOI SAVOIR ; NOUS POURRONS DEVENIR VOISINS.

vendredi, 12 avril 2013

66. Le mystère reste entier

cheminee2.jpg

Revoici donc la fameuse cheminée -aujourd'hui disparue- qui n'a toujours pas été identifiée. Paul a retrouvé son emplacement précis sur un plan. Elle se situait dans un rectangle délimité par :

La rue de la grille, au nord.

la rue du Petit-Saint-Martin, à l'est.

La rue du Grand Marché, au sud.

La rue des Quatre-Vents, à l'ouest.

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Maintenant, il faut trouver quelqu'un susceptible d'apporter des informations supplémentaires. Pour cela, rien de mieux que de se rendre sur les lieux ! L'enquête commence !

À suivre ... 

mercredi, 10 avril 2013

65. La boucle est bouclée

podcast

Depuis une semaine, j’ai ressorti mes dossiers de généalogie et actuellement je recopie toutes mes informations dans un très gros cahier. Je fais partir l’arbre de ma fille Peggy qui porte donc le numéro 1, le 2 étant mon mari, je suis le numéro 3 et ainsi de suite.

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Actuellement je suis en train de recopier la onzième génération qui débute avec le numéro 1024, un certain Jacques Ligier (le patronyme se transformera en  Léger un peu plus tard). Il est dit substitut, nait  le 11 septembre 1634 et demeure à Fains-les-Sources dans l'actuel département de la Meuse où il décède en 1687. Pour cette famille, je remonte encore une génération avec son père, François, né vers 1608, décédé le 8 octobre 1647 à Fains-les-Sources et marié avec Anne Morel. Je ne pourrai pas aller plus loin.

À la fin du XVIIIe siècle, on retrouve la famille Léger à Paris, paroisse Saint-Paul. Puis les recherches m’emmènent ensuite à Liège, en Belgique où l’un des ancêtres décède en 1816. La famille s’allie avec une famille du Pas-de-Calais, les Perkin de Lille, elle-même alliée à la famille de Bonnières. C’est ainsi que, de fil en aiguille, je remonte loin, je dirai même très loin puisque l’arbre s’achève avec le numéro 9.602.009.155.858.535.840 à la soixante-quatrième génération ! Non, ce n’est pas le résultat du loto mais le numéro correspondant à Marcomir de Toxandrie, chef franc, né probablement vers 220 et décédé en 281.

Les recherches me conduisent en Allemagne, en Norvège, en Grande-Bretagne, en Italie, en Espagne et même en Tunisie. Bref un brassage extraordinaire, l’Europe dans toute sa splendeur avant même son institution. 

Du côté de mon nom de jeune fille, c’est nettement plus modeste. C’est une famille originaire de Vignol, petit village situé dans la Nièvre. Mes ancêtres étaient laboureurs, vignerons. Mon ancêtre quitte son village au milieu du XIXe siècle pour Paris. J’ai d’ailleurs des cousins –que je ne connais pas- qui habitent toujours dans la capitale.

Une fois que j’en aurai fini la copie, je donnerai ce cahier à Peggy puisque c’est un peu pour elle que j’avais fait toutes ces recherches qui m’ont pris énormément de temps (plus d’une vingtaine d’années) ; des centaines d’heures passées aux archives à déchiffrer les vieux registres, puis les microfilms ; des moments de grande joie quand je parvenais à remonter toute une branche ; des moments de lassitude aussi quand je ne trouvais rien.

Cet arbre est à peu près complet pour les mille premiers ancêtres, à l’exception de trois ou quatre familles introuvables à ce jour.

Quelque part, ça fait du bien de savoir d’où l’on vient, ça rassure. Quant à savoir où l’on va, la question ne se pose pas, n’est-ce pas ? 

mardi, 09 avril 2013

64. La pensée camusienne

livre, onfray, camus, philosophieActuellement je lis l’ordre libertaire, ouvrage écrit par Michel Onfray sur la vie et les engagements d’Albert Camus.

C’est un gros pavé d’environ huit cents pages, mais la lecture est fort intéressante pour qui –comme moi- sait peu de choses sur ce philosophe existentiel. Bien sûr dans ma jeunesse,  j’ai parcouru L’étranger ou encore La peste, mais je suis passée à côté de bien des choses, faute de compréhension.

Onfray met en relation la pensée de Camus et ses engagements. Tout se tient, on est face à quelqu’un qui vit en parfait accord avec ses idées. Ça change évidemment d’un Sartre qui était loin de mettre en pratique ce qu’il disait ! Les exemples ne manquent pas dans ce livre et ça me ravit.

Michel Onfray n’en a pas fini avec ses détracteurs …

Si le sujet vous intéresse, voici la présentation du livre :

19:04 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livre, onfray, camus, philosophie

dimanche, 07 avril 2013

63. Rêvons un peu

Le beau temps tarde à venir ; ras le bol du manteau et de l'écharpe, des chaussettes et des chaussures d'hiver. Alors, pour se consoler comme on peut, je vous propose une balade au jardin botanique ; c'était en avril 2010 !


Printemps 2010-2- par cheztinou