282. Pour le plaisir des yeux

Ce matin dans mon jardin ...

197. À la recherche des p'tites bêtes

N'ayant rien de particulier à faire, je suis partie à la recherche des petites bêtes dans le jardin.

Commençons par les fourmis et leur élevage de pucerons : elles traient les pucerons qui sécrètent un liquide sucré, le miellat, dont elles se nourrissent. Ce sont leurs vaches à lait en quelque sorte !

Un peu plus loin, je suis tombée sur une salticide prête à attaquer un insecte deux fois plus gros qu'elle. Sans complexe la bestiole ! Il faut savoir qu'elle possède 4 paires d'yeux et qu'elle bondit soudainement sur sa proie en un saut à couper le souffle. Au moment où je prenais la photo elle s'est mise à sauter et, dans le coup, je me suis retrouvée les fesses dans l'herbe !

Quand on pense qu'elle ne fait pas plus de 7 millimètres de longueur ...

173. Et vive les vivaces !

Je lis sur le carton adjoint à la plante : "Rustiques et faciles, les vivaces renaissent chaque année au jardin."

Cette année, je n'avais pas envie d'investir dans des plantes annuelles ( pélargoniums, pétunias et j'en passe), mis à part quleques graines de capucines et de cosmos. Les soucis de l'année dernière repoussent tout seuls, donc je vais en avoir un peu.

Ce matin je suis donc allée faire un tour à la jardinerie près de chez moi.  Le choix est si vaste que j'ai hésité un long moment, puis, finalement, j'ai acheté :

1 agapanthe bleue, 1 lobelia speciosa, 1 hellébore rose, 1 sedum telephium, 1 bergenia hybride et enfin 1 leptospermum scoparium Martini. J'ai placé des étiquettes au pied des plantes pour me souvenir des noms ! Voilà, tout est en place, il n'y a plus qu'à attendre que ça pousse... J'ai le temps de faire plusieurs siestes.

170. Que s'est-il donc passé ?

Vendredi soir, je suis allée goûter le cidre que Peggy et Thierry ont acheté en Bretagne. Très bon ! Durant le repas, nous avons évoqué un jardin créé en 2004 à Cinq-Mars-la-Pile. Il s'agit des jardins de La Farinière.

En juin 2005, j'avais eu l'occasion d'aller visiter ce lieu où nature et mosaïques se confondaient et l'endroit m'avait beaucoup plu, on peut même dire que j'avais eu un véritable coup de cœur ! Par la suite j'y étais retournée deux ou trois fois pour faire des photos. D'ailleurs les photos intégrées sur le site sont les miennes pour la plupart d'entre elles.

En 2006, alors que je comptais bien revisiter les lieux, en perpétuelles transformations, j'ai découvert sur le site que c'était momentanément fermé, voir ICI.

Thierry est allé constater les dégâts (si l'on peut dire). Le portail est cassé, on peut entrer comme dans un moulin et tout est à l'abandon. Quel dommage ! Que s'est-il donc passé ? Les propriétaires n'ont sans doute pas pu faire face aux énormes dépenses engendrées par les travaux ou un problème personnel ? Allez savoir...

Je pense que, dans les jours prochains, je vais aller jeter un œil sur place. En attendant, j'ai regroupé les photos qui me restaient pour faire revivre ce bel endroit qui fut bien éphémère : 

La Farinière
envoyé par cheztinou. - Evadez-vous en vidéo.

154. Première tonte de l'année

Comme tous les ans à pareille époque je suis prise d'une angoisse qui prend de plus en plus des allures obsessionnelles : ma tondeuse va-t-elle démarrer après un an passée dehors ?

Je n'ai pas la possibilité de la rentrer dans le garage, faute de place. Il a fallu choisir entre la voiture OU la tondeuse. Pauvre tondeuse, elle s'est donc retrouvée  sur la terrasse, dans le froid, le vent, la pluie et  la neige ! Je prends soin quand même de bien l'emmitoufler dans une protection en plastique.

Avant-hier matin, je vois passer le gardien sur sa tondeuse juste au ras de ma fenêtre de cuisine. C'est au moins la deuxième fois qu'il tond depuis le début de la saison. Bon, il faut que je me décide à en faire autant dans le jardin...

Ce n'est pas sans une certaine appréhension que je sors pour aller constater l'état de la mienne. Des plaques de peinture rouge se sont encore écaillées. Je vérifie le niveau de l'huile, puis je rajoute de l'essence. Au passage, je réussis à m'en asperger sur les pieds... Voici le moment le plus délicat : celui où il faut tirer le cordon pour la mettre en branle !   Une fois, deux fois... Rien. Nouvel essai : dans un bruit d'explosion et en toussotant tout ce qu'elle sait, la tondeuse se réveille subitement dans un nuage de fumée. Me voici tranquille pour toute la saison !

Vingt minutes plus tard, le petit bout de terrain était devenu tout propre et c'est avec la satisfaction du devoir accompli que je me suis ensuite affalée sur le canapé sous l'œil parfaitement indifférent du chat Popy (vous remarquerez mes chaussons !).