vendredi, 23 décembre 2011
285. Du côté de chez Papadom
03:48 Publié dans Bô Zar, Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : papadom, modelage
284. Le timbre de décembre
Ce mois-ci, Thierry nous présente un arbre situé à Fondettes. L'arbre mort s'est écroulé et a plaqué au sol une branche qui, depuis, s'est enracinée et redressée... Renaissance de l'arbre !
03:41 Publié dans Thierry | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 20 décembre 2011
283. Bilan d'une décennie -77-
6 et 7 septembre 2008 :
« J’irai revoir ma Normandie ! »
Escapade, en Normandie donc, avec Julie et Olivier. Ce furent deux journées bien remplies durant lesquelles nous avons visité le Mémorial de Caen, puis longé la côte où eurent lieu les débarquements, visité Bayeux, Deauville où se tenait au même moment le Festival du cinéma, enfin Honfleur et Étretat.
13 septembre 2008 :
Une semaine plus tard, je connais un petit coup de blues comme ça m’arrive parfois. Pour y remédier, je pars sur un coup de tête au volant de ma voiture ! Départ de Tours vers 3h du matin : Angers, Nantes, Vannes, Lorient et … Audierne où j’embarque à bord de l’Enez Sun pour l’île de Sein. Un temps splendide m’y attend après une traversée légèrement houleuse. Je reprends le bateau en fin d’après-midi et je rentre à la maison, tout à fait requinquée mais le retour en voiture est un peu laborieux. J’arrive à la maison dans la nuit.
11 octobre 2008 : en route pour un safari avec Julie et Olivier. Pas besoin d’aller bien loin pour se croire en plein cœur de l’Afrique. Il suffit de se rendre à Port Saint-Père, au sud de Nantes.
Après cette agréable visite, nous retournons à Nantes pour voir les machines de l’île. Et la journée se termine par une balade à dos d’éléphant !
Et l’année 2008 arrive à son terme. Je ressors la valise car dans 15 jours je pars au …
À suivre
18:39 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 18 décembre 2011
282. Tout fout l'camp, ma bonne dame !
Il n'y a pas à dire, mais les traditions se perdent peu à peu. Ou plutôt non, les traditions perdurent mais se mettent au goût du jour. Autrefois, on se représentait le père Noël dans son traîneau, tiré par des rennes piaffant d'impatience. Et je passais des heures à la fenêtre en scrutant le ciel pour le voir apparaître (pas du tout, mais j'aime bien l'image de la petite fille naïve).
Les choses ont bien changé : aujourd'hui, le père Noël se la joue "branché", il joue le play-boy en voiture de sport C'est même étonnant qu'il n'y ait pas à côté de lui une nana à moitié dévêtue. Bon, il faut dire aussi que la température ne s'y prêtait pas beaucoup aujourd'hui dans les rues de Tours !
17:56 Publié dans Les insolites | Lien permanent | Commentaires (0)
281. Bilan d'une décennie -76-
Nous voici en août 2008.
5 août 2008 :
Je vais visiter la maison de Robert Tatin à Cossé-le-Vivien, dans la Mayenne. Cet artiste insolite a créé un lieu à son image, plein de symbolisme. Ce lieu est tout à fait particulier : après avoir traversé l’allée des Géants, vous arriverez à la maison et à des temples.
Si vous ne connaissez pas encore, en voici un petit aperçu en photos :
Lundi 25 août 2008 : IL vient en Touraine ! IL, c’est le président de la République, en l’occurrence Nicolas Sarkozy. Je ne peux louper un tel évènement, non que je sois une inconditionnelle, mais je suis curieuse de voir les préparatifs d’une telle visite.
Aussi, le matin de très bonne heure, je prends la route en direction de Maillé, le petit village où l’évènement doit se produire. Le président vient inaugurer le musée de ce village où, à la fin de la guerre, des soldats de l’armée allemande reproduisirent ce qui s’était passé peu de temps auparavant à Oradour-sur-Glane.
L’entrée dans le village s’avère difficile, toutes les routes y menant étant sous contrôle policier. Il faut montrer patte blanche pour pouvoir passer les barrages. J’y suis donc allée au culot et ça a marché ! Arrivée sur place, je me suis empressée de trouver une place tout près du podium installé et où le président devait faire son discours. Ensuite, il ne me restait plus qu’à attendre et observer tous les préparatifs : passage des chiens renifleurs sur les lieux, arrivée progressive des officiels du département (députés, sénateurs, préfet, archevêque, etc), arrivée en car des différents corps d’armée et leur positionnement, installation des caméras de la télévision, arrivée des porte-drapeaux, puis des familles des victimes du massacre. Puis, environ quatre heures plus tard :
À la fin du discours, le président est allé serrer les mains des membres des familles, puis il s’est ensuite dirigé vers la foule qui s’était agglutinée derrière les barrières. Comme j’étais au premier rang, j’eus soudain l’impression de finir étouffée par la forte pression des gens qui, derrière moi, tenaient absolument à serrer la main de Sarkozy. Et quand il est arrivé à ma hauteur, il s’est arrêté un instant et tout en me serrant chaleureusement la main (alors que je ne la lui tendais pas), il s’est écrié :
— Ah Tinou, quel plaisir de vous voir !
Tous les regards se sont alors dirigés vers moi. Que voulez-vous, c’est ça la célébrité ! Et comme je suis modeste, j’ai dû demander à la presse de ne pas divulguer cet instant dans leur dépêche.
06:14 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (0)