139. Bel été !

C'est sur France 3 et je ne m'en lasse pas !

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138. Carnet de voyage en Norvège -12-

... Ou, si vous préférez, quand un Edvard peut en cacher un autre. En effet, on ne peut quitter la Norvège sans évoquer deux grands artistes :

Le premier est le compositeur Edvard Grieg, le second est le peintre Edvard Munch. 

Vous trouverez leur biographie en bas de cette note.

Je vous propose donc de découvrir (ou redécouvrir) quelques tableaux, parmi les plus connus du peintre, sur une musique de Grieg (Anitra’s Dance) :

L'enfant malade, 1885-86 :
 

Le printemps, 1889 :

Nuit d'été. Inger à la plage, 1889 :

 

La sœur de l'artiste, 1892 :

 

Autoportrait avec cigarette, 1895 :

 

Le jour d'après, 1895 :

 

Madone, 1894-95 :

 

Jeunes filles sur le pont, 1902 :

 

 La forêt enchantée, 1903 :

 

La danse de la vie :

 

Puberté :

 

Je terminerai par le tableau qui est considéré par beaucoup comme étant l’œuvre majeure du peintre, à savoir « Le cri ».

Je me promenais sur un sentier avec deux amis et le soleil se couchait. Tout à coup le ciel devint rouge sang. Je me suis arrêté, fatigué, et je me suis appuyé sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et sur la ville. Mes amis continuèrent leur chemin, et moi je suis resté sur place, immobile et tremblant d’anxiété. Je sentis alors un cri infini qui passa à travers l’univers. (Edvard Munch).

Munch peignit quatre versions de ce tableau. Deux d’entre elles sont à la Galerie nationale d’Oslo, la troisième est au musé Munch et la quatrième, qui appartint un temps au milliardaire norvégien Petter Olsen, fut vendue en mai 2012 à un anonyme pour la modique somme de … 119,92 millions de dollars. Vous me direz que, quand on aime, on ne compte pas !

Avouez quand même que c'est un peu morbide.

Pour en savoir davantage :

— Biographie d’Edvard Grieg

— Biographie d’Edvard Munch

 

Bonus :

Edvard Grieg : chanson de Solveig (Peer Gynt) par Alaek

Edvard Munch ou l'Anti-Cri > Marc Restellini par culturexpo

Edvard Munch ou l'"Anti-Cri" - DVD de l... par culturexpo

137. Carnet de voyage en Norvège -11-

Mardi 23 juillet : dernier jour à Oslo.

 

Hier soir, au moment du dîner, nous avons fait nos adieux au chauffeur, qui retournait chez lui en Suède, puis à notre guide Alain qui fut comme un père pour nous, toujours aux petits soins, veillant à nos moindres souhaits, bref … Une vraie perle ! Ça mérite d’être noté car ça ne court pas les rues. Grace à lui, nous avons appris plein de choses sur la Norvège et les Norvégiens, tant sur le plan politique que culturel ou économique.

Ce matin donc, nous avons fait nos valises. Certains membres du groupe partent dès 8h, d’autres en début d’après-midi. Je fais partie du groupe qui bénéficie encore d’une journée complète sur Oslo, notre départ étant fixé en fin de journée.

Les valises sont remisées dans un local et un car nous emmène dans le centre ville d’Oslo.

— Retour pour 15h45 au même endroit !

Cette fois-ci, je me suis organisée. Durant le circuit, j’ai sympathisé avec un couple et nous décidons d’aller visiter la Galerie nationale où se tient une partie de l’exposition consacrée au peintre norvégien Edvard Munch. J’y reviendrai ultérieurement.

Nous flânons ensuite dans le parc du palais royal. Ce parc, attenant au château où réside la famille royale, est libre d’accès et  les Norvégiens y viennent nombreux pour pique-niquer sur les pelouses où simplement se détendre …

 

Vous imaginez le parc de l’Élysée ouvert au public !

Nous nous séparons ensuite. Tandis que mes amis partent en direction de l’opéra, je retourne dans le quartier moderne pour aller visiter le musée d’art contemporain (Astrup Fearnley Museet).

Le musée est composé de deux bâtiments reliés entre eux par une passerelle. Dans le premier bâtiment se tient une exposition consacrée à la photographe  Cindy Sherman. Elle se met en scène dans divers accoutrements et diverses positions. Certains crieront au génie, mais je n’aime pas du tout ! Dans le coup, je zappe la suite, préférant flâner dans les rues et regarder les gens passer. Je déjeune face à la mer puis, sur le coup de 15h30, je me rends au point de rendez-vous.

La suite du voyage ne présente plus guère d’intérêt ; l’avion décolle vers 19h30 et atterrit à Nantes vers 21h30 :

— Au revoir Paul et Marie, bon retour et à bientôt !

Vers minuit nous arrivons à Roissy ; le temps de récupérer la valise et à 1h du matin je suis à l’hôtel.

Enfin, le lendemain matin, j’arrive à la maison vers 10h30 :

— Coucou Théo !

L’après-midi, j’ai rendez-vous chez le dentiste.

 

FIN

136. Carnet de voyage en Norvège -10-

Dimanche 21 juillet :

 Après cette magnifique balade en bateau, nous reprenons donc le car à Geiranger et empruntons la route d’or. Le paysage est toujours aussi grandiose.

 

 

Le soir nous couchons à Skeikampen, une petite station de ski.

 

Lundi 22 juillet : de Skeikampen à Oslo.

Le départ est prévu à 9h30 ce qui me laisse le temps d’aller me balader un peu tout autour de l’hôtel. Il y a de très jolis petits chalets traditionnels avec les toits herbus.

 

Dans la matinée, nous faisons un arrêt à Lillehammer. C’est là qu’eurent lieu, en 1994, les jeux olympiques d’hiver.

— À présent, nous allons descendre la piste de saut à ski. L’escalier qui longe la piste compte plus de neuf cents marches ! Nous retrouverons le car sur le parking, en bas de la piste. S’il y en a parmi vous qui préfèrent s’abstenir, ils peuvent rester dans le car !

Encore heureux ! Nous sommes donc quatre à retourner dans le car qui redescend bientôt la colline. Habib, le chauffeur croate, nous arrête un peu plus bas pour photographier la piste. Puis le car repart.

— Mais où va-t-il ? Il semble chercher l’endroit du rendez-vous et on se retrouve bientôt loin, mais très loin du parking où l’on doit en principe récupérer les autres. Et le temps passe … Comme nous sommes devant le hall d’entrée du musée olympique, on en profite pour aller jeter un œil à l’intérieur.

Et on attend … Une demie-heure, une heure. Toujours personne !

— Le plus simple serait de repartir d’où l’on vient et d’attendre que les autres remontent les neuf cents marches, dis-je alors avec le plus grand sérieux.

Enfin, le portable d’Habib se met à sonner et Alain lui explique la route à prendre.

Le car nous conduit ensuite à l’entrée de la rue piétonne qui traverse la ville. Nous faisons une halte, le temps de flâner un peu, de prendre quelques photos.

 

Nous repartons bientôt en direction de Maihaugen, un grand musée en plein air où ont été regroupés de très beaux édifices anciens. Après avoir déjeuné sur place, nous visitons quelques unes de ces bâtisses traditionnelles ( une ferme, une église en bois debout et une école), puis chacun part à la découverte des lieux. Il faudrait bien une journée complète pour tout voir, mais cette visite nous aura permis d’avoir une bonne vue d’ensemble de l’architecture norvégienne au cours des siècles.

 

 

 

 

Je m’attarde un peu plus longuement dans la partie représentant une rue dans les années cinquante, avec ses commerces.

 

Le soir, nous retrouvons l’hôtel du premier jour : la boucle est bouclée !

 

À suivre   

135. Carnet de voyage en Norvège -9-

Et maintenant la cerise sur le gâteau ! Je vous propose de faire la traversée complète de l'hurtigruten  de Bergen à Kirkenes. Le voyage dure en principe 134 heures, mais là, vous allez pouvoir faire la route en 37 minutes car le film est pris en accéléré.

Un conseil : mettez la vidéo en plein écran !