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vendredi, 08 novembre 2013

193. Les mutants

Ils ont le même âge que moi, les frères Bogdanov, à savoir 64 ans. C'est un âge où les rides sont de plus en plus apparentes, où les taches brunes envahissent les mains, où la peau se flétrit à vitesse grand V, bref toute une série de transformations sur lesquelles on ne peut pas grand chose, si ce n'est de les accepter. Pour se consoler, on peut penser qu'on gagne en sagesse (quoique ...).

Il y a quelques jours les deux frères étaient invités dans une émission à la télé. Sur le coup j'ai eu un choc -il y avait plusieurs années que je ne les avais vus-. Certes ils n'ont aucune ride, mais quelle métamorphose de leur visage ! C'est assez effrayant quand même.

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On peut se demander ce qui leur est arrivé. Selon le magazine Marianne, ils auraient ingéré de la déhydroépandrostérone (une hormone stéroïdienne réputée pour ses effets antivieillissement) ou bien de l'hormone de croissance (qui peut provoquer une déformation du visage au fil des ans).

Ce qui m'a toujours épatée, c'est le succès qu'ils rencontrent à chaque fois qu'ils publient un livre. Car, soyons quand même logiques, on ne comprend rien à ce qu'ils racontent ! Et gare à ceux qui viendraient les critiquer. Les procès sont chez eux monnaie courante ...

Mais eux, qu'en pensent-ils vraiment ?

 

192. Maman les p'tits bateaux

Au mois d’août, au retour de la croisière sur le Danube qui s’était achevée par un circuit en car, le niveau d’eau du Danube étant trop bas, j’avais envoyé un courrier à Croisieurope leur faisant part de ma déception. Une lettre tout en nuances afin de ne pas heurter les susceptibilités… Et j’ai bien fait car, en retour, j’ai obtenu le remboursement de deux excursions – soit 80 euros- puis un avoir de 340 euros pour une prochaine croisière.

Hier je décide donc de réserver une place pour la croisière sur la Volga, d’Astrakhan à Moscou. Comme je n’arrivais pas à ouvrir le site, j’ai appelé par téléphone. Il restait seulement deux places disponibles, une en mai et l’autre en septembre, mais plus de cabines individuelles. Il fallait compter un supplément de 900 euros pour une cabine double, ce qui me parait exorbitant ! Donc pas de croisière sur la Volga pour cette fois-ci.

Je me suis alors rabattue sur l’Andalousie. Plus aucune disponibilité pour avril … Tant pis, je partirai en mai. J’ai donc réservé cette croisière – à la fois fluviale et maritime-  qui va me faire découvrir successivement Séville, Cadix, Vila Real au Portugal – où j’espère pouvoir rencontrer mon copain Jo et sa femme Olimpe – et enfin une excursion jusqu’au rocher de Gibraltar.

croisiere, andalousie

J’ai opté pour un départ depuis Nantes, ce qui me permettra de laisser ma voiture sur place.  

C'est le moment de chanter :


Luis MARIANO La belle de Cadix par fgomez54

07:13 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : croisiere, andalousie

jeudi, 07 novembre 2013

191. Les prochains invités -4-



podcast

Revenons un instant au Vietnam pour ces quelques portraits de marchandes pris en 2007 :

 

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Et maintenant en route vers l'Afrique, plus précisément au Cameroun. Après trois heures de route sur une piste défoncée, nous stoppons les trois véhicules près d'une maison où attendent quelques hommes. Ce sont les porteurs qui vont prendre en charge nos valises et toute l'intendance ( tentes, matériel de cuisine, la bouffe, etc).

Nous retournons sur la piste rouge et là, sortant des broussailles, surgit un homme qui nous attendait : c'est un Pygmée qui va nous conduire jusqu'à son village. Village n'est pas le mot qui correspond exactement, disons plutôt le campement car le groupe de Pygmées ne dépasse pas la cinquantaine de personnes.

Et c'est parti pour trois heures de marche dans la forêt équatoriale. Bertrand et Daniel ouvrent la marche et nous suivons relativement bien. De temps à autre ils se servent de leur coupe-coupe pour faciliter le passage. À mi-chemin nous sommes doublés par les porteurs qui avancent à une rapidité époustouflante.

Il fait une chaleur moite et nous sommes dans la pénombre, entourés d'arbres gigantesques qui laissent à peine la lumière du soleil éclairer le sol ... Ma pire crainte est de me trouver nez à nez avec un serpent, aussi je scrute le sol avec attention.

Au bout de trois heures nous apercevons au loin une clairière d'où monte de la fumée. Dernier effort à fournir : traverser le petit ruisseau sur un tronc d'arbre et nous voici arrivés ! 

Nous sommes restés trois jours avec les Pygmées ; Nous les avons suivis à la chasse, nous les avons regardés fabriquer et poser des pièges et enfin nous avons dansé avec eux, le soir, autour d'un feu.

Nous avons ainsi vécu trois jours coupés du reste du monde.  Nous étions six en tout à avoir partagé ces instants inoubliables. 

Les photos étaient très sombres, aussi il a fallu que je les éclaircisse énormément. 

 

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Puis ce fut le retour à la prétendue "civilisation". Chacun s'est alors précipité sur son portable pour donner des nouvelles à la famille :

— Allo, Peggy ? Oui, je suis toujours en vie ... Ah si tu savais, si tu savais !

Suite demain. 

190. Cherchez l'erreur

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Il y a quelque chose d'insolite dans cette photo. Qu'est -ce donc ? 

189. Retour à Lisbonne

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Suivez le guide ...