mardi, 27 novembre 2007
Toc toc toc
Le chat Popy : Oui ? Qu'est-ce que c'est ?
Le visiteur : Je voudrais parler à Tinou.
Le chat Popy: Ah c'est pas de chance, M'ame Tinou n'est pas là ce matin.
Ah ? ... (Le visiteur attend un complément d'informations)
Le chat Popy : M'ame Tinou est très demandée en ce moment. Ce matin elle est partie donner une interview sur « FRANCE BLEU TOURAINE».
Le visiteur (apparemment très surpris) : Ah bon ? Et à propos de quoi ?
Le chat Popy (blasé et un brin narquois) : Une émission conscacrée aux passionnés. Parait-il que c'est une passionnée de la blogosphère.
Le visiteur : Oh je suis heureux de l'apprendre ! A quelle heure peut-on l'entendre ?
Le chat Popy (très au courant du programme) : à 10 heures très précises. J'en profite pour vous donner la fréquence :98.7... D'après le peu que j'en sais, elle va parler de ses lecteurs. Vous en faites partie ?
Le visiteur : Euh... occasionnellement.
Le chat Popy( riant derrière ses longues moustaches) : Heureusement pour vous car elle risque d'envoyer quelques vannes sur certains lecteurs de son blog. Elle a même préparé un papier pour ne pas oublier ce qu'elle a à dire. Voulez-vous que je lui laisse un message ?
Le visiteur (la mine dépitée de ne pas avoir pu rencontrer M'ame Tinou) : Non, non, ce n'est pas la peine... Je repasserai une autre fois.
Le chat Popy : Hola je vous arrête tout de suite. Pas avant l'année prochaine maintenant.
Le visiteur : Eh bien tant pis, je la contacterai par mail. »
Et il remonte tout déçu dans sa petite auto bleue tandis que le chat reprend sa place à la fenêtre.
05:22 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (9)
dimanche, 25 novembre 2007
J'ai la haine, j'ai la rage
Non, non, rassurez-vous, il ne s'agit pas de moi. Mais alors de qui ?
Eh bien de notre Alain national, celui qui ne parle de lui qu'en employant la troisième personne du singulier. La colère devait être assez forte sans doute car il en a totalement oublié d'employer le IL. Pour un peu il en serait devenu vulgaire !
Allez Alain, console-toi, Sarkozy emmènera probablement Steevie... Il est plus représentatif de la France actuelle !
Aux dernières nouvelles, notre président serait accompagné par sa mère.
04:45 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (8)
samedi, 24 novembre 2007
Retour du marché
vers treize heures. Cette balade dans la campagne était fort sympathique, le soleil s'étant joint à nous. La ferme se situe à quelques kilomètres après Le Louroux, il suffit de suivre la direction de l'aérodrome (?). Sur le coup j'étais un peu surprise de trouver là un aérodrome, mais il s'agit d'une piste pour le vol à voile.
C'est bien agréable ce marché dans la grange. En plus, on a eu droit à un café ( pas de refus, il fait froid !) et des gâteaux.
Nous ne sommes pas reparties les mains vides : ma fille a acheté de la viande de bœuf, puis un jarret de porc frais et un chou pour faire une potée.
Quant à moi, j'ai pris un fromage de chèvre demi sec, des légumes ( chou rouge, salade, potimarron), un poulet, de la viande de bœuf.
A la sortie, je suis tombée en arrêt devant le stand du boulanger : kuglhof, bretzels et petits gâteaux sucrés faits pour les fêtes de fin d'année en Alsace. J'ai compris pourquoi : le nouveau boulanger qui s'est installé à Draché est alsacien. J'ai donc acheté un kuglhof !
La prochaine vente se tiendra le 23 décembre à Chambray-les-Tours, devant la chambre d'Agriculture. Avis aux amateurs !
15:45 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 20 novembre 2007
Quand la famille s'en mêle
On peut supposer que la ministre de la justice, Rachida Dati, se serait volontiers passée de cette publicité. Etrangement aucun journal télévisé n'a relaté l'affaire !
04:39 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (2)
jeudi, 15 novembre 2007
Une page se tourne
Hier matin, la jolie petite église de C. était remplie de gens venus rendre un dernier adieu à Elisabeth. Ce fut une cérémonie très sobre et très émouvante. Parmi la foule, il y avait un bénéficiaire des restos qui avait fait le déplacement. Elisabeth avait tout planifié : nous, ses amis des restos, nous étions regroupés sur le côté. Louise a lu un texte, la voix entrecoupée de sanglots mal contenus. Marie Françoise, Annick et Marie Madeleine ont lu un poème.
Le jeune curé ne s’est pas perdu dans des discours trop larmoyants. Par un moment un rayon de soleil est entré par la fenêtre et il est venu finir sa course sur le cercueil. Certains y ont certainement vu un signe de la présence d’un dieu. Les cloches sonnent, la messe est terminée, chacun se recueille quelques instants devant le cercueil… Un signe de croix, ou tout simplement une main qui se pose sur le bois.
Nous avons tous ressenti une grande émotion en constatant que le mari d’Elisabeth fut tout seul devant durant la cérémonie, la famille s’étant regroupée à l’opposé. Ne peut-on pas en de telle circonstance passer outre les dissensions ?
La cérémonie finale eut lieu au crématorium. Puis les cendres furent dispersées dans le jardin du souvenir.
Ce matin nous avons rouvert les restos. Quelques personnes qui avaient connu Elisabeth nous ont fait part de leur peine. Et puis la vie a repris son cours habituel.
On se retrouvera peut-être, qui sait ?
19:15 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (1)