181. L'art en troglo, visite

Après la visite nostalgique de La Farinière, nous retournons à Saint-Etienne de Chigny pour visiter quelques ateliers d'artistes. Comme nous n'avions pas de plan, nous n'avons pas tout découvert.

Ensuite nous avons pris le chemin du retour en empruntant des petites routes perdues en pleine campagne. À un moment, le bitume a même laissé place à un chemin poussiéreux, tout en haut du côteau de la Loire, à travers des prairies verdoyantes où paissaient de magnifiques vaches rousses. Au loin on pouvait apercevoir la cathédrale de Tours.

Puis nous nous sommes arrêtées à une terrasse de café à Luynes. Petite vue du château qui surplombe le village.

171. L'art en troglo

Ah, voilà le mois de mai avec son cortège de ponts. Le week-end prochain (1er et 2 mai) la municipalité de Saint-Etienne-de-Chigny organise une exposition réunissant plusieurs artistes locaux qui exposeront leurs œuvres dans des maisons troglodytiques. Ils sont 13 au total et parmi eux figure Papadom qui habite justement une habitation dans le côteau. Sa maison se situe sur la route principale.

J'ai déjà eu l'occasion de visiter son atelier. Vous ne connaissez pas ? Voici l'occasion rêvée de vous y rendre. Et pour ceux qui n'auraient pas vu le diaporama, pénétrons chez Papadom :

— Toc toc ! Il y a quelqu'un dans cette maison ?

55. Ça bouge à Joué -1-

Aujourd’hui, je vous emmène faire un tour dans le quartier de la Rabière à Joué-les-Tours et plus précisément rue Poirrier. La rue débute par un long immeuble de 4 étages en bon état. Mais, si l’on veut bien prendre le temps de regarder en détail cet immeuble, on s’aperçoit vite que les entrées sont murées, que les fenêtres des appartements ont perdu leurs rideaux de dentelle et que personne n’entre ou ne sort excepté à la première porte.

Que se passe t’il donc ?  Et où sont donc passés les habitants des lieux ?

 

Tramway oblige, ce bâtiment va être l’objet d’une démolition en mai prochain. Une partie de l’âme de ce quartier va disparaître à jamais. Ce n’est sans doute pas sans nostalgie que certains vont assister à la destruction d’un lieu où ils ont passé leur jeunesse. Je suis bien placée pour savoir ce qu’il en coûte de voir ainsi disparaître des pans entiers de vie (âge oblige).

L’association Terra-Céramica a donc élaboré un projet autour de cet évènement. Les appartements vides ont été mis à la disposition d’artistes, d’associations, d’écoles qui vont créer un musée éphémère. Le MEP est né : Musée Éphémère Poirrier. Vous en saurez davantage en cliquant sur le lien suivant, ICI.

Curieuse comme je suis, il fallait que j’aille voir. Grâce à mon copain Nico qui occupe un grand F5 au dernier étage j’ai été chaleureusement accueillie dans les bureaux de Terra-Céramica et j’ai pu visiter les différents appartements. Les projets en sont à leur tout début. Je vais donc photographier l’évolution des travaux au fur et à mesure, avant l’ouverture au public, en avril.

Les caves ont été transformées en caverne d’Ali Baba. Une exposition de photos est consacrée au football. On y revoit les anciens joueurs : Ah, tu te souviens … ?

 

Le vernissage de cette « Galerie souterraine » a lieu vendredi 12 février à 18h. 

Ce matin je vous propose donc le premier diaporama, MEP -1- :

MEP-1-
envoyé par cheztinou. - Regardez plus de courts métrages.

 Affaire à suivre…

29. Boltanski au Grand Palais

Actuellement se tient l'exposition de Christian Boltanski , intitulée "Personnes", dans le magnifique Grand Palais à Paris. Un cadre impressionnant pour cette œuvre éphémère qui suscite bien des questions ! À chacun d'y apporter une éventuelle réponse.

Si j'étais critique d'art, je dirais probablement que dans cette méta-installation, l'imaginaire virtuel conceptualise significativement le pensé signifiant à travers un discours très linéaire.

Ou bien encore, que dans cette structure, l'espace construit organise symboliquement une œuvre subjective par-delà une sensibilité exarcerbée.

Et enfin que, dans ce concept, le factuel hyperbolique dissèque spatialement l'imaginaire implicite au moyen d'une immense simplicité formelle.

Bon, mais je ne suis pas critique d'art contemporain, je vais donc me contenter de mes pauvres mots : en voyant cet amoncellement de vêtements, j'ai simplement songé aux tas de fripes que l'on voit régulièrement dans les entrepôts d'Emmaüs et où de pauvres bougres (rien de péjoratif dans mes mots) viennent se vêtir à moindre coût !

18. Les gens dans la rue

Quel cachotier quand même, ce Jean-Louis ! Ainsi il expose ses photos en noir et blanc et ne prévient même pas les copains... Heureusement que j'ai des antennes un peu partout. Je t'ai retrouvé Jean-Louis et j'ai même retrouvé ton nouveau site que voici !

L'exposition se tient actuellement au Centre Culturel de Saint-Pierre-des-Corps, du mardi au samedi et ce, jusqu'au 13 février. 

Avis aux amateurs de photos insolites !