vendredi, 19 avril 2013
70. L'autre visage de Frigide Barjot
Elle a bien fait d'abandonner la chanson. Et quand on pense qu'elle se présente comme l'attachée de presse de Jésus !
10:21 Publié dans Les insolites | Lien permanent | Commentaires (3)
mercredi, 17 avril 2013
69. Cent quatre-vingt douze
C'est le nombre exact de marches que compte l'escalier d'Odessa, en Ukraine. Il fut rendu célèbre par le film de Sergeï Eisenstein, Le cuirassé Potemkine, qui raconte l'insurrection des marins sur le bateau. Ce film muet en noir et blanc fut tourné en 1925 et reste un chef-d'œuvre du cinéma. Il s'inspire de la véritable insurrection des marins du cuirassé Potemkine Tavritchesky, en 1905, qui se révoltèrent parce qu'on leur donnait de la nourriture avariée.
Cette mutinerie se tranforma en révolution. Les habitants d'Odessa vinrent sur les berges du Dniepr pour acclamer et soutenir les marins ; mais les troupes tsaristes intervinrent et tirèrent sur la foule.
En réalité la foule fut abattue dans les rues de la ville et non dans l'escalier comme le montre le film. Cela n'enlève rien à l'horreur.
Cet escalier fut conçu par l'Italien Franz Boffo et la dernière marche fut posée en 1841. Les marches inférieures sont plus larges que celles du haut ce qui crée une illusion d'optique, l'escalier paraissant beaucoup plus grand qu'il n'est en réalité.
Voici une vue prise en 1905, au moment de la révolution.
Notre bateau doit être en principe amarré au pied de l'escalier, si j'en crois le plan de la ville.
Extrait du film :
09:35 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ukraine, odessa, film, potemkine, eisenstein, escalier
dimanche, 14 avril 2013
68. Un dimanche ensoleillé
19:43 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 13 avril 2013
67. Cityville
Finalement, le mauvais temps ne me gêne pas trop car j'en profite pour jouer à Cityville (sur Facebook). Le jeu a considérablement évolué depuis trois ans : plus de rapidité dans l'exécution des tâches, beaucoup de choix dans les bâtiments. Le principe reste le même : réussir des challenges, étendre la ville et la faire prospérer. Récemment le jeu s'est considérablement agrandi avec une ouverture vers des montagnes.
Je gère donc mes huit villes (ben oui, j'aime les complications) et je peux m'entraider. Pour un peu, je pourrais presque me passer des autres voisins.
Je plante, j'envoie des avions, des bateaux, des trains. Il y avait même des fusées, mais j'ai supprimé car ça prenait trop de place ! Et puis, un centre spatial en pleine ville, ça ne le fait pas.
Voici la ville de Célestine : vous remarquerez qu'elle fait la g... Manque de bâtiments officiels dans la ville !
Chez Adèle, ça se passe mieux. Vue de la ville de nuit :
SI DES FOIS VOUS JOUEZ AUSSI A CE JEU, FAITES-LE MOI SAVOIR ; NOUS POURRONS DEVENIR VOISINS.
18:05 Publié dans Bienvenue chez moi | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : jeu, cityville
vendredi, 12 avril 2013
66. Le mystère reste entier
Revoici donc la fameuse cheminée -aujourd'hui disparue- qui n'a toujours pas été identifiée. Paul a retrouvé son emplacement précis sur un plan. Elle se situait dans un rectangle délimité par :
La rue de la grille, au nord.
la rue du Petit-Saint-Martin, à l'est.
La rue du Grand Marché, au sud.
La rue des Quatre-Vents, à l'ouest.
Maintenant, il faut trouver quelqu'un susceptible d'apporter des informations supplémentaires. Pour cela, rien de mieux que de se rendre sur les lieux ! L'enquête commence !
À suivre ...
09:53 Publié dans Tours, ma ville | Lien permanent | Commentaires (2)