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jeudi, 22 juillet 2010

285. Festival des jardins de Chaumont-sur-Loire -2-


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"Bon thé, bon genre"

Et si nous allions au jardin prendre une tasse de thé ou de tisane, ou même encore de café ? Voilà ce que propose ce jardin. Alors, qui m'aime me suive !

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05:10 Publié dans Zoom sur ... | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : festival, jardins

284. Une semaine en forêt, septième jour

vendredi 9 juillet

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Bonjour
Ce matin nous sommes un de moins, Côme est parti hier soir en laissant sa sculpture qu'il installera plus tard à la sortie de sa source. Il ne reste donc plus que Pat ,Djé, Julien, Teg et Ür.

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Les formes se précisent, le public plus nombreux ne nous demande plus ce que nous sculptons.
Une machine de plus a rendu l'âme, elle avait 22 ans.

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La chaleur est présente même dans le sous bois , les bouteilles d'eau se vident à grandes goulées.
Les corps accumulent la fatigue des jours passés mais le rythme est toujours là.

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Les lits de copeaux s'épaississent encore,  le cèdre exhale son odeur si particulière et le séquoia, une fois poncé, prend sa couleur rose qui tranche avec le vert des alentours.

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La journée se décline au fil des différentes luminosités qui mettent en scène tour à tour chacune des sculptures,  sauf celle de Redg qui reste dans l'ombre.

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Le soir la lumière est la plus douce et met en valeur le travail de cette journée.

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À demain

mercredi, 21 juillet 2010

283. Appelez-moi George


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portrait[1].jpgAppelez-moi George, George Sand.

Amantine Aurore Lucile Dupin est née à Paris le 1er juillet 1804, fille de Maurice François Dupin de Francueil et de Sophie Victoire Delaborde.

À la mort de son père elle n’a que quatre ans et elle est alors recueillie par sa grand-mère paternelle à Nohant, dans le département de l’Indre. Pour sa biographie, reportez-vous au lien suivant, ICI.

 

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Samedi dernier, Christine avait organisé une sortie dans l’Indre à la découverte des deux endroits où vécut l’écrivain.

Premier arrêt à Gargilesse, ce très beau village bordé par la Creuse et où Alexandre Manceau, le jeune amant de George Sand avait acheté une modeste maison :

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« Deux petite chambres blanchies à la chaux, plafonnées en bois brut, meublées de lits de merisier et de grosses chaises tressées de paille ».

Cette petite maison fut restaurée et ouverte à la visite par la petite fille de George Sand, Aurore Lauth-Sand. Elle renferme une multitude d’objets, d’écrits, de gravures  ayant appartenu à l’écrivain et à son fils, Maurice Sand.

Pique-nique au bord de l’eau, puis deuxième arrêt à Nohant pour visiter la maison familiale. C’est là que George Sand grandit, puis résida jusqu’à sa mort en 1876. C’est là aussi qu’elle recevait. Parmi ses illustres convives citons Musset, Balzac, Flaubert, Delacroix, Liszt, et Chopin avec qui elle aura une liaison tumultueuse.

 

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Son œuvre littéraire est considérable, et, à ma grande honte, je m’aperçois que je n’ai pratiquement rien lu de ses écrits, mis à part La mare au diable et La petite Fadette.

Une lacune qu’il va falloir que je comble au plus vite !

 

mardi, 20 juillet 2010

282. Pour le plaisir des yeux

Ce matin dans mon jardin ...

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281. Une semaine en forêt, sixième jour


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Jeudi 8 juillet

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Un joli papillon dont nul ne connait le nom, nous souhaite le bonjour
Il ressemble vraiment à un copeau...Il fait déjà chaud, la journée va être torride.
Dans la forêt c'est plus doux

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Les sculptures nous attendent au milieu de leurs disques de sciure qui s'épaississent au quotidien,
disques clairs sur le sol sombre,
Les œuvres sont éclairées par en bas.

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Les hommes s'agitent, grimpent sur leurs escabeaux, tronçonnent, descendent, prennent du recul,
reviennent, se juchent à nouveaux pour couper une galette , qui vole à quelques mètres, ou trancher un fin croissant de bois pour parfaire la courbe ou encore pour gratter du nez du guide un coin quasi inaccessible.

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L'escabeau est déplacé de peu et  les gestes s'enchainent à nouveau.
La sueur perle, la soif est encore plus là avec les gaz d'échappement des machines.

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Une petite pause pour jeter un coup d'œil au travail des copains et puis vroum, vroum, vroum,  jusqu'au dernier plein de la journée et de nouveau le silence.

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À demain