mardi, 22 mai 2007
A l'attention du fan-club de Congrier
Suite à votre abondant courrier concernant les sculptures de Congrier - à vrai dire aucun, mais on peut toujours rêver ! - je tiens tout d'abord à m'excuser d'avoir supprimé l'album de photos. Mon blog est en effet trop chargé et il m'est impossible dorénavant d'y faire figurer le moindre album.
Mais j'ai trouvé une solution et vous n'allez pas y perdre au change. Je vous explique, c'est assez simple :
Sur le côté gauche, vous allez trouver le mot " Congrier " dans la rubrique : A découvrir. Il vous suffit de cliquer dessus et vous arrivez sur mon autre blog (ici ou là).
Sur ce blog peu rempli, j'ai créé une catégorie Congrier, ainsi qu'une catégorie pour chacun des sculpteurs. Il ne vous reste alors plus qu'à cliquer sur les noms pour visualiser les sculptures. Et les photos sont en plein écran ! Tout n'est pas encore en ligne, mais cela ne saurait tarder.
Qu'est-ce qu'on dit, hum ?
MERCI TINOU !
Pour y accéder directement cliquez ICI.
08:31 Publié dans Correspondance | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 21 mai 2007
La sieste
Chez les animaux aussi, l'heure de la sieste c'est sacré. Voyez plutôt :
Et pendant que tout ce petit monde dormait paisiblement, je photographiais. Un total d'environ 400 photos pour un résulat final d'une petite cinquantaine de photos moyennement réussies. C'est terrriblement difficile de prendre les animaux en photo!
« Allez, circulez, il n'y a plus rien à voir ! »
19:37 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (2)
dimanche, 20 mai 2007
Le calendrier républicain, quel casse-tête !
Hier, j'ai retrouvé un petit livret bien utile quand on fait des recherches généalogiques. Il s'agit de la correspondance des dates entre le calendrier républicain et le calendrier grégorien.
Le calendrier républicain a été institué le 24 novembre 1793 et faisait commencer l'année le 22 septembre, date de l'équinoxe d'automne et jour anniversaire de proclamation de la Première République.
Les douze mois de l'année prirent alors des noms poétiques ( floréal, vendémiaire, pluviôse messidor etc). Ils chevauchaient les anciens mois et comptaient tous 30 jours. Les 5 ou 6 jours complémentaires s'appelèrent les " sans-culottides".
La semaine de sept jours fut remplacée par la décade. L'ancien repos du dimanche, le décadi, était ainsi reporté tous les dix jours.
Ce calendrier fut employé pendant 13 ans, du 22 septembre 1792 ( 1er Vendémiaire de l'An I) jusqu'au 1er janvier 1806 ( 11 Nivôse de l'An XIV). On peut dire merci à Napoléon de l'avoir supprimé!
Ainsi, par exemple, en étudiant l'acte de mariage suivant qui a eu lieu le 2 Nivôse de l'An III, je peux tout de suite trouver qu'il s'agit du 22 décembre 1794.
Bon, je vous laisse, je retourne au Congrès !
07:30 Publié dans Généalogie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : genealogie, calendrier
samedi, 19 mai 2007
Chédigny-les-roses
Le soleil n'était pas au rendez-vous en ce jeudi après-midi. Qu'importe, cela ne nous a pas empêchées d'admirer les vieilles maisons dans la rue principale. La municipalité a fait planter des rosiers grimpants devant chacune d'entre elles et ils étaient tous en fleurs.
Dans ce joli village, même les chiens ont des bonnes têtes !
J'ai revu ma copine de l'année dernière, Lucette, toujours vaillante et attendant les touristes pour pouvoir parler un peu, histoire de passer le temps.
Le peintre Gérard Marchand habite en dehors de Chédigny, dans une maison moderne mais très bien conçue, avec de grandes baies vitrées. Ses œuvres étaient exposées dans quelques pièces de sa maison, en particulier dans la salle de bain, tout bleue avec de grandes ouvertures donnant sur un splendide jardin. J'ai pu discuter avec lui et il m'a expliqué sa technique pour les fonds de ses tableaux.
Au retour on a eu beaucoup de mal à trouver un bistrot ouvert pour boire un café. Il a fallu aller jusqu'à Cormery. Là, j'aurais bien voulu acheter des macarons mais, hélas, les deux boulangeries étaient également fermées... Cormery ressemble de plus en plus à un village fantôme.
21:20 Publié dans Balades tourangelles | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : chédigny, touraine, peinture
Recherches fructueuses
Hier matin s'ouvrait donc le XIXe congrès national de généalogie à Tours. J'y suis allée vers 11 heures et il y avait déjà beaucoup de monde. Voici quelques images prises par Christophe qui se trouve au stand de Généanet.
J'étais partie avec quelques fiches familiales incomplètes mais je n'espérais pas tellement trouver des renseignements complémentaires. Grossière erreur de ma part ! Au stand de l'Hérault, j'ai trouvé quelques dates de mariage, de nouveaux patronymes ( ROUCAIROL, PUISSARGUES, RIVASSERIE, CALAGES...) demeurant à Lunel. Des noms chantant comme la langue d'oc.
Je n'ai malheureusement pas trouvé de renseignements sur le département des Landes. Mes familles landaises sont originaires de Mugron.
Un peu plus loin, je me suis arrêtée au stand du Nivernais, région d'origine de mes ancêtres. Après une attente relativement longue, j'ai pu enfin obtenir les registres de dépouillement d'une commune ( Teigny) dans laquelle j'ai retrouvé trois générations supplémentaires.
Au stand de la Meuse, j'ai obtenu la date de mariage de François LIGIER avec Anne MOREL, le 12 juillet 1633 à Fain-les-Sources.On ne peut remonter au-delà de cette date. Cette commune s'appelle désormais Fains-Véel et elle est située dans la proche banlieue de Bar-le-Duc. Ainsi donc, cela fait 11 générations de LEGER. Le patronyme est passé de LIGIER à LEGIER puis enfin LEGER. J'ai eu beaucoup de difficultés à retrouver la trace de ces ancêtres car ils se sont beaucoup déplacés en raison sans doute de leurs professions. L'ancêtre le plus éloigné est dit " substitut".A la fin du XVIIIe on les retrouve à Paris. Puis au début du XIXe, je découvre une naissance en Touraine, à Beaumont-la-Ronce, où l'ancêtre Leger est instituteur. On repart à Angers pour finalement revenir à Chinon et à Ligré. Aujourd'hui encore une cousine LEGER vit à Chinon. Le reste de la famille ( enfin ceux que je connais), vit à Paris et dans la proche banlieue. Une autre branche s'est installée en Normandie. Il m'aura fallu quand même plus de vingt ans pour achever cette recherche. Maintenant il serait intéressant de retrouver d'autres cousins...
Mes recherches m'ont ensuite emmenée dans le Bas-Berry où, là aussi j'ai retrouvé des ancêtres à Montipouret, village dont je n'avais jamais entendu parler auparavant.
Une fois de retour à la maison, j'ai mis à jour toutes mes fiches et repertorié les nouveaux patronymes. J'en suis maintenant à un total d'environ 1000 patronymes différents repartis dans toute la France.
Ce matin je vais retourner à la pêche. Mes fiches sont prêtes ! Cette fois-ci je vais tâcher de remonter les branches dans les départements du Gard, du Maine et Loire, de l'Indre et de la Seine et Oise.
Sur une carte de France, j'ai coloré les différents départements d'où sont originaires nos ancêtres ( en rouge de mon côté et en bleu du côté de mon mari). Jusqu'à présent, je n'ai pas trouvé d'ancêtres venus d'un autre pays. Je suis donc ce que l'on appelle " une Française de souche ", espèce en voie de disparition...
06:10 Publié dans Généalogie | Lien permanent | Commentaires (10)