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jeudi, 28 juin 2012

125. Croisière sur le Danube -1-


podcast

Mardi 19 juin 2012 : départ pour Strasbourg.

 Je quitte la maison à 7h50 et j’attends le taxi qui doit- en principe- être là pour 8h.

À 8h10 je reçois un appel sur mon portable : c’est le chauffeur qui me précise qu’il est en route et qu’il ne va plus tarder.

Il est quand même 8h20 lorsqu’il apparaît – ENFIN- au bout de la rue. Ceux qui me connaissent imaginent sans aucun doute dans quel état je me trouve, je fais partie en effet de ces gens qui ont toujours peur de rater le train et sont sur le quai au moins trente minutes avant le départ. Mon anxiété ne fait qu’empirer lorsque j’aperçois soudain le bouchon dans la plaine de la Gloriette !

À 8h45 nous sommes devant la caserne des pompiers. Il est finalement 8h55 lorsque le taxi me dépose devant la gare. J’ai juste le temps de composter le billet, de me diriger sur le bon quai et de vérifier la composition du train que ce dernier apparaît bientôt.   

Ouf, ça y est, je suis dans le train ! Le stress retombe bientôt.

9h01 : en route pour Strasbourg où j’arrive à 13h.

J’ai réservé une chambre dans un hôtel situé sur la place de la gare, l’hôtel « Nid de cigogne ». Là, je dépose la valise, je me change car il fait très chaud, même si le ciel est chargé de nuages gris, puis je ressors peu après pour aller me balader.

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Je passe tout l’après-midi à flâner dans Strasbourg, le nez au vent, l’œil rivé sur le viseur de mon appareil photo. Mon dernier passage dans cette ville remonte déjà à dix ans. Depuis la gare a subi des transformations : une grande verrière a été installée à l’avant de l’édifice et la place a été aménagée  en jardin avec plein de verdure. Il y a beaucoup de touristes qui-comme moi- s’émerveillent à la vue des anciennes maisons à colombages.

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Le temps devient de plus en plus orageux. Je m’arrête prendre un pot sur la place de la cathédrale puis je rentre à l’hôtel.

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 Mercredi 20 juin : de Strasbourg à Passau.

J’ai mis le réveil à sonner pour 3h30. Durant la nuit la pluie a fait son apparition et il pleut toujours lorsque le taxi vient me prendre à 4h pour me conduire jusqu’à la gare fluviale, près des bords du Rhin. Peu à peu les gens arrivent au lieu de rendez-vous, certains laissent leur voiture sur place. Ils la reprendront à la fin du voyage.

Les deux cars qui vont nous conduire jusqu’à Passau viennent juste de se garer et j’assiste alors à la ruée des touristes. Malheur à celui qui se trouverait par hasard sur leur passage ! À ce moment précis, j’avoue avoir eu un doute quant au choix du voyage. Mais bon, laissons faire les choses …J’attends donc que le gros de la troupe se soit installé pour prendre enfin place dans le deuxième car. Comme toujours, il y a des retardataires et notre bus doit attendre quinze bonnes minutes avant que de s’ébranler.

En route pour Passau ! La pluie est toujours présente et ne nous lâchera qu’à l’arrivée. Durant le trajet, nous faisons deux haltes sur l’autoroute et nous atteignons Passau vers midi trente.

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À table !

À suivre

Petite balade dans les rues de Strasbourg :

 


Strasbourg 2012 par Tinoulamutti

jeudi, 11 août 2011

169. Bilan d'une décennie -21-


podcast

Vous vous souvenez peut-être de la chanson de Sheila : c’est ma première surprise- partie, c’est ma première surprise- partie …

Eh bien, en ce début septembre 2003, je me plais à chantonner sur le même air : c’est ma dernière rentrée scolaire, c’est ma dernière rentrée scolaire !

Je vais enfin quitter les bancs de l’école. Si l’on récapitule, en supprimant les deux années de fac, j’aurai passé près de quarante ans à l’école. Ça laisse obligatoirement des séquelles sur la personnalité. Mon mari me faisait souvent remarquer que j’avais une fâcheuse tendance à prendre les gens pour des élèves.

— Tu n’as pas besoin de m’expliquer, je ne suis pas un de tes élèves !

C’est l’année dernière que j’ai eu ma décision à prendre : soit je continuais afin d’obtenir une pension de retraite complète (soit 75% du salaire des dix dernières années), soit je m’arrêtais l’année de mes 55 ans, c'est-à-dire en juin 2004 et dans ce cas-là, je touchais 71% du salaire.

La décision fut vite prise : je m’arrête ! 

Au final, j’ai exercé ma profession durant 35 années, j’ai eu le privilège de faire un métier qui m’a toujours plu et je n’ai pas fait de dépression nerveuse, maladie fréquente chez les enseignants. Je m’en tire donc plutôt bien !

Mais revenons aux évènements de ma vie.

 

Vendredi 31 octobre 2003 : ce sont les vacances de la Toussaint et je vais à Paris avec Peggy voir l’exposition Gauguin qui se tient au Grand Palais. Ces grandes expos parisiennes attirent toujours un monde fou et la visite n’est pas toujours aisée. Nous allons ensuite à l’Institut du Monde Arabe pour voir une autre exposition de tableaux de peintres orientalistes. Déjeuner au Buffalo, situé juste à côté. L’après-midi, nous avons rendez-vous devant l’opéra avec une cousine par alliance que nous n’avons encore jamais rencontrée. À la soirée, Peggy rejoint son amie Nathalie et moi je retrouve Michel. Nous passons la soirée au cinéma puis nous dînons dans un restaurant marocain, boulevard Saint-Marcel.

 

Novembre 2003 :

Si en novembre il tonne, l’année sera bonne (Anjou)

Quand en novembre il a tonné, l’hiver est avorté (Calvados)

À la Saint Montan, l’olive va descendant.

 

Samedi 1er novembre 2003 : Balade dans Paris. Michel m’emmène voir le Forum des Halles. Je ne pensais pas que c’était si grand, il y a même une piscine. Il faut dire que j’en étais restée aux Halles d’avant la démolition.

 

Dimanche 2 novembre :

Opération balance ! J’ai commencé un régime en avril dernier, ayant quelques kilos à perdre. Je pesais en effet 72,5k et il était temps de prendre les choses en mains. Pour cela j’étais allée voir une gastro-entérologue qui m’avait déjà prescrit un régime quelques années auparavant. Je suis motivée et j’applique ses consignes à la lettre. Aussi suis-je ravie quand je constate que la balance indique 64 kilos !

(Depuis cette date, mon poids s’est stabilisé et oscille entre 63 et 65 kilos. Je ne suis pas une obsédée de la balance –comme une amie qui se pèse tous les jours et pousse des cris d’horreur quand elle constate qu’elle a pris 100 grammes !- mais je vérifie une fois par semaine afin d’éviter d’avoir à reprendre un régime. L’idéal, vue ma taille,  serait sans doute d’être à 58 kilos, mais bon …)

Et puis, les vacances de Noël arrivent :

Vendredi 19 décembre :

Juste après la classe, un taxi vient me prendre à la maison et me conduire à la gare de Saint-Pierre-des-Corps. Je retrouve Michel qui m’attend à la gare Montparnasse et nous filons gare de l’Est. Vers minuit, nous arrivons à Strasbourg ! J’ai réservé une chambre pour deux nuits.

 

Samedi 20 et dimanche 21 décembre 2003 :

 

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Nous passons deux jours à Strasbourg durant le marché de Noël. C’est une véritable féerie ! Les boutiques sont merveilleusement décorées, il règne une ambiance magique à cette période de l’année. Durant ces deux jours, nous n’avons pas chômé : balade en bateau sur l’Ill, flânerie dans les ruelles de la Petite France, le vieux quartier de Strasbourg, visite du musée alsacien, exposition de livres à la Chambre de Commerce. J’en profite pour acheter « Mon village », de Jean-Jacques Waltz (alias Hansi) et « À la guerre comme à la guerre », de Tomi Ungerer, tous deux dessinateurs et alsaciens.

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Nous dinons au restaurant Zum Strissel.. Ai-je besoin de vous dire le menu ? Choucroute évidemment !

C’est presque à regret que nous quittons Strasbourg en début d’après-midi, le dimanche.

(Cette année, j’ai eu envie d’y retourner, mais je m’y suis prise trop tard pour la réservation d’une chambre. Tout était complet).

 Mercredi 24 décembre 2003 :

Réveillon de Noël à la maison avec Peggy. Après le dîner, nous regardons une vidéo des Muppetts.

 Et l’année 2003 se termine en douceur. Comme d’habitude, je réveillonne avec mes chats, devant une compote de pommes et des petits fours ! Quand sonnent les douze coups de minuit, il y a belle lurette que je suis couchée et que je dors à poings fermés.

 À suivre

mardi, 02 décembre 2008

Il arrive !

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Julie, qui était en Alsace la semaine dernière, l’a aperçu à Strasbourg. Connaissez-vous « La petite France » à Strasbourg ? Au moment de Noël, c’est un des plus beaux endroits que je connaisse. Il y règne une ambiance magique, féerique même si la neige est de la partie. On se réchauffe en buvant un vin chaud aromatisé à l’orange et la cannelle, on déguste les fameux  petits bredele

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Tiens, à ce propos, Juju m’en a rapportés. Je vais les avoir demain ! Miam, miam…

Noël approche à grand pas. J’ai fait ma commande hier : un nouvel objectif pour mon Reflex. J’ai déjà un 18-55, l’objectif souvent vendu avec l’appareil. L’année dernière, ma fille m’a offert un Sigma 70-300, épatant pour photographier les animaux de loin. Le problème, c’est que je suis obligée de jongler d’un objectif à l’autre.

Donc, je viens de commander un Sigma 18-200. Je vais l’avoir vendredi.

Quant au 18-55, il ne me sert plus. Si des fois cela vous intéresse, écrivez-moi ! (marque Pentax).