dimanche, 13 septembre 2009
319. Chez le boulanger
Ce matin à la boulangerie :
Bonjour M'âme Tinou ! Qu'est-ce que vous prenez ce matin ?
Avez-vous encore des mains ensanglantées ?
Ah, désolé, je viens de vendre la dernière. Ça part comme des p'tits pains (hihihi !). Par contre il me reste quelques pieds sales ou encore des têtes.
Non, une tête c'est trop gros pour moi toute seule. Bon, tant pis, je vais prendre un pied, mais un petit s'il vous plait ...
Non, je ne délire pas. Ça se passe en Thaïlande.
08:43 Publié dans Ici ou là | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : boulanger, pains
samedi, 12 septembre 2009
318. Osez, osez Joséphine
Je n'écoute pas assez souvent la chanson de Bashung, c'est un tort, je rate pas mal d'occasions de m'amuser par manque de courage ou en raison d'une éducation stricte qui m'a profondément marquée tout au long de ma vie.
Je vous entends d'ici :" Un exemple, donne-nous un exemple !"
Soit : je devais m'envoyer en l'air avec Jacky, un copain de mon dentiste. Tiens, en parlant du dentiste, je l'ai revu ce matin et, toc, encore une dent de moins !... Mais revenons à nos moutons.
Je prends donc contact avec le dénommé Jacky. Il partait en vacances et nous avons donc remis le rendez-vous après le 15 août. Je devais le rappeler par téléphone.
J'ai donc eu amplement le temps de réfléchir à cette proposition. Et à l'évidence, plus le temps passait et moins j'avais envie... envie de quoi, dites-vous ? Eh bien envie de m'envoyer en l'air avec lui. Et vous savez pourquoi ? Non, bien sûr ! Eh bien, c'est à cause du vertige, oui, oui, parfaitement, le vertige. Oh, pas le vertige de l'amour, cela n'a rien à voir... Ah, mais c'est vrai, j'ai oublié de vous dire que Jacky possède un ULM et il devait m'emmener pour prendre des photos.
Ben, vous en faites une drôle de tête. Qu'est-ce que vous aviez compris ?
Ce sera tout pour ce soir, je reviens d'Angers et je suis fatiguée. Bonne nuit et à demain...
22:03 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (2)
jeudi, 10 septembre 2009
317. Réalité ou fiction ?
Il y a un petit moment que je n'ai pas vu ma fille. Je commençais à m'inquiéter de son silence quand brusquement j'ai repensé qu'elle était très prise actuellement : elle s'expose dans une galerie !
Julie est une petite cachotière. Elle aurait pu me dire qu'elle serait à la Une du dernier Vogue !
Quant à Catherine, elle se cache je ne sais où depuis que sa cousine lui a envoyé cet avis de recherche aux Etats Unis.
Pour ma part, enfin, j'ai trouvé un petit job un peu fatigant mais très intéressant. Je fais de la figuration dans des films d'action. Sportive comme je suis, cela ne vous étonnera nullement. Actuellement je tourne des scènes du futur "Rambo" ! C'est passionnant.
Bon, je vous vois tiquer. Qu'est-ce qu'il y a ? Vous ne me croyez pas ? Et pourquoi pas ? Après tout, nous ne sommes pas n'importe qui, la preuve :
18:17 Publié dans Les insolites | Lien permanent | Commentaires (6)
mercredi, 09 septembre 2009
316. Comment je me suis fait tirer le portrait
Durant les vacances, un matin du mois d'août, ma fille me téléphone :
Pourrais-tu m'envoyer une photo de toi, si possible un portrait !
Tu sais bien que je ne suis pas photogénique. D'ailleurs je n'ai pas de portrait.
Mais si, tu sais bien, la photo de toi en Provence, elle ferait tout à fait l'affaire !
Oui, boff, si tu veux, je te l'envoie.
C'est vrai que je ne me suis jamais plue en photo. Déjà que j'ai du mal à me supporter au naturel, je trouve que les photos accentuent tous mes défauts physiques. J'ai eu l'idée de lui envoyer les portraits suivants, mais ce sont toutes des photos truquées. Je m'étais d'ailleurs bien amusée à faire le montage et Peggy ainsi que Julie avaient été les premières à en faire les frais.
Au retour de vacances, Peggy m'a donc apporté le portrait achevé. Le voici :
Je vous joins la photo qui a servi de modèle. C'est bien ressemblant. Ce matin, je vais aller le faire encadrer.
07:20 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (3)
315. La métamorphose de l'autruche
05:54 Publié dans Créations personnelles | Lien permanent | Commentaires (0)