Sur le fleuve Sénégal -1-

En décembre 2007 je pars au Sénégal pour effectuer une croisière sur le fleuve — de Podor à Saint-Louis-du-Sénégal — à bord d'un ancien cargo commercial, le Bou-el-Mogdad, transformé depuis 2005 en bateau de croisière fluviale.

C'est en cherchant sur Internet un voyage loin des sentiers battus que j'avais découvert une agence parisienne qui proposait cette descente du fleuve pour le moins attrayante. 

Atterrissage à Dakar, puis direction Saint-Louis-du-Sénégal que nous atteignons en début de soirée. Nous sommes un petit groupe d'une dizaine de personnes. 

Nous passons une nuit à l'hôtel La Résidence, un établissement de charme situé dans une bâtisse de style colonial et dont je garde un excellent souvenir.

À quai, nul bateau ! Mais où est donc le Bou-el-Mogdad ? 

En fait, le bateau vient d'effectuer la remontée du fleuve jusqu'à Podor et c'est là que nous allons nous diriger le lendemain matin pour l'embarquement.

Premières impressions en cours de route :

Ah, le voilà enfin !

Bienvenue à bord :

Le Brésil en six étapes, fin

Voilà, le voyage arrive à son terme. Il me reste des souvenirs inoubliables et les photos bien sûr.

Avant de quitter ce pays, je vous propose quelques portraits 

ainsi qu'une balade dans les rues de Rio de Janeiro :

Demain, je vous emmène en Afrique.

 

 

Le Brésil en six étapes -6, suite -

Une journée marathon commence donc en compagnie de la guide qui a accepté de nous faire découvrir quelques lieux emblématiques de Rio.

Tout d'abord nous prenons le bus, puis le métro. Nous voici dans le centre historique de la ville.

Vue du célèbre escalier tout en mosaïque de l'artiste d'origine chilienne, Selaron.

Nous pénétrons dans la magnifique bibliothèque nationale, la Real Gabinete de Leitura, une des plus belles au monde, construite entre 1880 et 1887 et qui regroupe plus de 350 000 ouvrages en portugais.

Nous continuons nos pérégrinations, je ne me souviens plus où l'on avait déjeuné.

Dans l'après-midi, nous traversons la baie en bateau pour découvrir l'autre partie de la ville, face au Corcovado. 

Vue extérieure du musée d'art contemporain (œuvre d'Oscar Niemeyer).

Nous reprenons le bateau à la soirée et, avant de nous quitter, la guide nous conduit dans un petit restaurant spécialisé dans la cuisine d'Amazonie.

Dernier apéro sur la terrasse de l'hôtel. Demain, nous rentrons en France.

Pour le moment, je vous propose la montée de l'escalier Selaron :

 

Le Brésil en six étapes -6, début -

Nous voici donc revenus à la case départ, là où nous avons atterri au petit matin quinze jours plus tôt : Rio de Janeiro.

À notre arrivée vers 4h du matin, nous avions aussitôt commencé les visites de la ville ; d'abord la guide nous avait conduit dans un restaurant prendre un petit déjeuner -quand même !-, puis les visites s'étaient enchaînées à une allure vertigineuse. Autant vous dire qu'à la fin de la journée, nous étions très vaseux.

D'abord la cathédrale, ensuite le jardin botanique

Montée du Corcovado en funiculaire jusqu'aux pieds du Christ-Rédempteur

Un arrêt rapide devant le stade Maracana en chantier en vue du championnat du monde de football de 2014 

L'endroit où se déroule le carnaval avec- en arrière plan -les favelas

Pause déjeuner, puis montée en téléphérique au sommet du plus haut pain de sucre d'où l'on aperçoit le Corcovado dans le brouillard

Tiens, un ouistiti !

Ensuite, je ne sais plus trop... 

Quinze jours plus tard, nous retrouvons donc notre guide, une femme épatante. L'entrée dans Rio s'avère très difficile !

Il est tard et nous allons directement à l'hôtel. Demain, notre programme indique une journée libre. C'est un peu se foutre de la gueule du monde quand on sait que notre hôtel est très loin du centre, que la ville est immense, que la circulation y est très difficile ... Par chance, la guide va venir nous chercher tôt le matin pour nous montrer différents lieux. Mais elle nous prévient par avance :

— Surtout, ne portez pas de bijoux apparents, vérifiez bien vos sacs à dos, évitez de garder l'appareil photo à la main.

Ça promet ! 

En attendant, allons faire un tour au jardin botanique : 

 

La panne

Hier matin, les premiers signes de faiblesse de mon ordinateur sont apparus : d'abord, à l'ouverture, j'ai eu un signal m'annonçant un problème sur le disque dur et me conseillant vivement de sauvegarder au plus vite mes données. Bon, ça, c'était déjà fait !

Pour continuer, je devais appuyer sur F2, ce que j'ai fait et l'ordinateur a fonctionné normalement pendant un certain temps, me laissant supposer que tout allait bien dans le meilleur des mondes.

Hélas ça n'a pas duré, le signal est revenu à plusieurs reprises jusqu'à ce que je n'ai plus aucune possibilité.

Bon, voilà, il a fait son temps -dix ans environ- , il est mort de sa belle mort.

Reste le délicat problème de lui trouver un remplaçant. Ça encore, ce n'est pas trop difficile, il suffit d'aller dans un magasin. C'est la suite qui me stresse, à savoir l'installation de mes données dans un nouvel appareil.

Chez trouvé mon bonheur chez Darty vers 11h30 du matin. À 18h, Olivier est passé à la maison pour la mise en route de l'engin.

Premier souci : le câble de mon écran n'est pas compatible. Nous voici donc partis en vitesse, à l'heure de pointe, dans un magasin. Rien ! Deuxième essai dans un autre magasin. Il y avait bien ce qu'Olivier recherchait, seulement une des entrées du câble n'était pas totalement identique (il avait heureusement eu la bonne idée de photographier l'entrée de la prise de l'ordinateur). Le vendeur nous explique alors que mon écran étant un modèle ancien, ces câbles n'existent plus (ou alors il faut rechercher chez des installateurs). Bref la galère !

Conclusion : j'achète un nouvel écran. La note commence à s'élever. Pour me consoler, je me dis que c'est mon cadeau d'anniversaire -j'ai eu 70 ans la semaine dernière-.

Retour à la maison ; entre temps, Julie est arrivée et le temps que nous papotons, Olivier,très concentré,  continue l'installation... 20h30.

— On irait bien manger quelque chose ? Où en es-tu, Olivier ?

— Il ne reste plus qu'à télécharger tous tes dossiers. Il y en a pour environ 4 heures.

Nous sommes donc partis dîner au Courte Paille. Nous étions les derniers clients -c'est calme le lundi-.

Quand nous sommes rentrés à la maison, le téléchargement se continait, tranquillement ... J'en ai profité pour aller sur Facebook et rattraper Peggy dans un jeu de cartes.

Ce matin, j'ai commencé l'apprentissage de ce nouvel ordinateur. Il faut que je m'habitue aux nouveaux changements, cela va demander un certain temps ! Soyez patients.

Il faut quand même reconnaître que nous sommes devenus les esclaves des machines. Cette idée ne me plait pas du tout mais comment faire autrement (en particulier pour les photos) ?