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mardi, 05 janvier 2010

6. La maison Leveillault

Il est de plus en plus rare de trouver maintenant d'anciens magasins qui ont gardé un petit côté rétro qui, de fait, leur donne un certain charme. C'est le cas pour le magasin d'instruments de musique "Leveillault", situé rue Néricault-Destouches à Tours.

Ce magasin fut fondé en 1892 par un ancien négociant qui s'associa avec son fils Georges, facteur et accordeur de pianos. Le magasin était alors situé rue Nationale, n°74.

En 1920, devant l'essor considérable de la maison et le nombre de clients de plus en plus nombreux, la famille Leveillault s'installa dans les vastes locaux de l'ancien Hôtel des Ventes, 24 rue Nericault-Destouches.

Voici deux photos prises à plus de cent ans d'écart. J'ai déjà eu l'occasion de pénétrer à l'intérieur du magasin puisque c'est là que nous avions acheté le piano pour Peggy. Il serait dommage de voir disparaître un jour ce qui appartient au patrimoine local !

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jeudi, 31 décembre 2009

481. Les Atlantes de l'hôtel de ville

C'est bien connu : ce n'est pas parce que l'on habite depuis sa naissance dans une ville que l'on en connait parfaitement l'histoire. C'est même bien souvent le contraire ! J'en ai fait l'expérience cette semaine.

atlas.jpgIl a fallu que le soleil fasse son apparition tout à coup, que je passe au même moment devant l'hôtel de ville et que, tout à fait inopinément, je lève la tête. Je les ai soudain aperçus dans toute leur beauté et leur souffrance. Je parle bien sûr des Atlantes. Rien à voir avec le centre commercial du même nom où la foule excitée se presse en ce moment même pour faire les derniers achats en prévision de ripailles...

Il s'agit des quatre statues qui soutiennent le balcon de l'hôtel de ville et que l'on appelle des Atlantes, (en référence à Atlas soutenant le monde sur ses épaules).

Ces magnifiques sculptures sont l'œuvre du sculpteur tourangeau François Sicard. 

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jeudi, 26 novembre 2009

423. Le cèdre du musée


podcast

La hauteur approximative du cèdre est de 25 mètres. Voici quelques photos prises par Thierry au sommet de ce géant :

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mercredi, 25 novembre 2009

422. Le cèdre du musée

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Depuis lundi, le cèdre du musée de Tours est l"objet de soins particuliers : il s'agit de consolider la ramure en plaçant des haubans afin de retenir l'éventuelle chute des plus hautes branches. Un travail très délicat confié à une équipe d'élagueurs.

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Je suis allée les voir en pleine action, hier, dans le courant de la journée. Le ciel était bien gris et les photos sont assez sombres.

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Vous devez avoir une jolie vue d'en haut ?

Pour sûr, ma p'tite dame ! Vous voulez voir ? Mettez un casque et on va vous hisser jusqu'au sommet.

Aussitôt dit, aussitôt fait... Voici donc la vue sur le jardin du musée prise depuis la cime (ou presque) du cèdre.

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Comment ? Vous semblez sceptiques. Vous avez bien raison de l'être... C'est en effet Thierry qui a pris la photo !

Ohé, Thierry !

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dimanche, 31 mai 2009

181. La guinguette a rouvert ses volets


podcast

Ce fut une journée bien remplie que celle d’hier. Le temps était exceptionnellement très chaud et on se serait cru en plein mois d’août.

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La guinguette des quais de la Loire a rouvert ses volets. Petite pause avant d’aller découvrir la toute dernière galerie marchande qui vient de s’ouvrir à Tours, plus précisément aux Deux-Lions.

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Un ensemble gigantesque où l’on entre par des portes en fer forgé pour aboutir à une place centrale orné d’un grand bassin d’où fusent des jets d’eau. Ce nouveau lieu s’appelle « l’heure tranquille ». Pour l’instant tous les magasins ne sont pas ouverts. Il y avait pas mal de monde qui étaient venu découvrir ce nouvel antre de la consommation. Des escalators conduisent aux parkings souterrains –en voie d’achèvement-.

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La longue allée centrale est recouverte tout du long d’une sorte de verrière qui laisse passer la lumière et l’air sur les côtés. Une terrasse permet d’accéder au niveau supérieur d’où l’on a une vue d’ensemble.  Côté alimentation, c’est un Monoprix..

Je me demande si, en hiver, les gens auront autant de plaisir à déambuler dans la galerie ouverte à tous les courants d’air ! Remarquez, je m’en fous un peu, n’ayant pas à priori d’intérêt à fréquenter ce genre d’endroit. Sauf, peut-être, pour aller grignoter un p’tit quelque chose à la sortie des cinémas situés juste en face. Auparavant, on n’avait comme choix que le MacDo ou le café du bowling.

Bref, retour à la maison vers 18h. J’aurais bien fait une petite sieste à ce moment-là… Mais une heure plus tard, Julie et Olivier viennent me reprendre et nous allons assister à la symphonie mécanique, place de la Résistance. Peggy nous avait réservé des billets d’entrée.

Tours 057a.JPGLe centre de la place était ceint de barrières et on pouvait ainsi déambuler à notre guise dans le milieu et regarder les curieuses machines auprès desquelles s’affairaient des commandos de petits hommes rouges qui resserraient les derniers boulons, raccordaient les fils etc.

Le spectacle commence à 20h30. Surprenant, déroutant, original. Sur l’estrade, le chef d’orchestre avait fort à faire à diriger d’un côté les musiciens classiques et de l’autre les hommes aux commandes des machines. Tours 108a.JPG

Tout l’ensemble fut en fait harmonieux, troublant par la sonorité inconnue provenant des machines.

Tours 112a.JPGCe qui m’a fortement impressionnée ce sont les sorties de flammes et les détonations produites par le gaz … Bref, une création originale qui mérite d’être vue et entendue au moins une fois !

Après le spectacle Julie avait un petit creux. Aussi nous sommes allés manger une crêpe rue du Commerce. Retour à la maison vers 23h30.