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dimanche, 10 août 2014

144. Regards d'enfants, épilogue.


podcast

Nous arrivons au terme de cette série de clichés en noir et blanc avec ces quelques regards d'enfants cambodgiens :

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mercredi, 06 août 2014

142. Regards d'enfants -16-


podcast

Janvier 2013, je navigue à bord d'un bateau sur le Mékong depuis le Cambodge jusqu'à Saigon, au Vietnam :

Les petites danseuses :

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À l'école :

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Enfants des rues à Phnom Penh :

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À suivre

samedi, 16 février 2013

32. Sur les bancs de l'école

J'aime bien observer les enfants dans une classe. Il n'est pas rare de trouver :

des émerveillés

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ou encore des distraits

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et enfin d'autres qui aimeraient probablement se trouver ailleurs !

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Tout ça pour vous proposer toute une série de portraits d'enfants que j'ai prise au Cambodge :


Enfants du Cambodge par cheztinou

dimanche, 03 février 2013

27. Croisière sur le Mékong -14-

podcast

Lundi 14 et mardi 15 janvier : le retour en France.

 Et voilà, c’est fini. Nous avons fait nos adieux à Minh et maintenant nous changeons de tenue vestimentaire avant l’enregistrement de la valise.

Première bonne surprise : il n’y a personne à côté de moi sur le vol Saigon-Bangkok ! J’en profite donc pour faire un petit somme.

Deuxième très bonne surprise : je suis également seule sur le vol Bangkok-Paris ! C’est bien la première fois que ça m’arrive. Naturellement ça fait des envieux, mais très vite j’occupe les trois places et je finis par m’endormir pendant 9h … C’est génial, si seulement ça pouvait être comme ça à chaque voyage. Je me réveille juste au moment où l’hôtesse apporte le petit déjeuner.

L’avion atterrit vers 7h du matin à Roissy … sous la neige ! Pendant ces treize jours, j’avais complètement oublié que nous étions en hiver ici, le contraste est dur à supporter. Maintenant, il ne me reste plus qu’à attendre le TGV prévu –en principe- à 14h.

Sur le panneau d’affichage des départs, les retards s’accumulent bientôt. Trois flocons et la machine s’enraye !

Il fait froid dans le hall de gare car les portes sont souvent ouvertes et il n’y a aucune place disponible dans la salle d’attente, remplie de gens qui râlent après les retards.

Mon train n’a pas de retard. À l’annonce du quai, je m’empresse de descendre et de me poster sous le repère indiqué pour la voiture. Tout à coup le tableau d’affichage s’éteint pour se rallumer en indiquant un changement de repère. Me voilà donc, tirant péniblement mes deux valises, à courir sous le nouveau repère … Et rebelote ! Un nouveau changement s’affiche.

Flûte, me revoici au point de départ au moment où le train entre en gare. Et là, surprise, la voiture ne correspond pas du tout à ce qui était indiqué. Je me retrouve en bout de train alors que ma voiture était au tout début. Tant pis, je grimpe, on verra ensuite.

Trois minutes plus tard le train s’ébranle. Le contrôleur  me dit alors :

— Il y a un arrêt de 10 minutes à Massy. Vous aurez le temps de descendre du train et de vous diriger jusqu’à votre voiture.

— Vous plaisantez j’espère ! Vous ne pensez tout de même pas que je vais me coltiner mes bagages tout le long du quai. J’ai déjà eu assez de mal à les hisser jusqu’ici ! Je reste là.

Je le sens, j’ai le dos en compote. Dans la précipitation, j’ai un peu trop forcé et me voici pliée en deux.

Je téléphone à Christine pour lui indiquer le numéro de la voiture.

— Je vais avoir besoin de ton aide, je suis  incapable de soulever quoi que ce soit !

Il y a maintenant plus de quinze jours que je suis rentrée, quinze jours renfermée, couchée la plupart du temps, en attendant que ça se passe. La douleur a fini par disparaître et je peux de nouveau me tenir à peu près droite.

Mon voyage me parait déjà si loin … J’ai beaucoup aimé le Cambodge qui est encore authentique. Les gens y sont chaleureux, accueillants, toujours souriants malgré une vie bien rude souvent. Quant au Vietnam, il est en pleine mutation économique.

Je ferme donc ce carnet de voyage, il va rejoindre les autres dans mes souvenirs.

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Prochain rendez-vous en mai pour un départ au pays des Cosaques !   

mardi, 29 janvier 2013

21. Croisière sur le Mékong -10-

Samedi 12 janvier : de Caï Be à Saïgon

 Le petit déjeuner est servi dès 6h car nous partons ensuite sur les îles de My Tho ; elles sont au nombre de quatre et nous visitons la plus grande d’entre elles, à savoir Thoi Son.

Pour cette visite, nous sommes accompagnés par une guide locale qui connait bien la région.

Voici tout d’abord une ferme d’apiculture. En nous désignant la reine sur une plaque d’une ruche, la guide se fait piquer à la joue.

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Dégustation d’un thé au miel (avec un peu de gelée royale), puis installés devant des assiettes de fruits variés, nous avons droit à un récital de chants. Ce fut un moment particulièrement agréable car la chaleur n’était pas encore trop pesante.

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 Ensuite nous embarquons à bord de sampans pour une balade sur les différents petits canaux qui prolifèrent un peu partout. Imaginez le marais poitevin, mais en beaucoup plus vert et plus touffu :

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La matinée se poursuit par une balade à pied sur les chemins de l’île.

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À 10h nous rejoignons le bateau qui reprend la navigation en direction d’Hô-Chi-Minh-Ville, plus couramment appelé Saïgon pour désigner le centre-ville par les habitants eux-mêmes.  

Oh, mince, déjà ?

 

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En début d’après-midi, nous quittons le Mékong pour emprunter le canal de Cho Gao, long d’environ 25km et qui rejoint la capitale où nous arrivons vers 16h.

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Il reste suffisamment de temps avant la tombée de la nuit pour aller faire un tour. Le bateau est amarré non loin du centre (15mn à pieds environ), tout près du musée consacré à Hô-Chi-Minh.

Les guides nous donnent quelques conseils qui s’avèreront utiles :

— Ne prenez pas d’argent, ni d’appareils photos trop voyants car il y a des risques de vol.

Effectivement, au retour, alors que l’attention est un peu retombée, un des membres du groupe s’est fait voler son petit sac à dos à l’arrachée. Par chance, il n’avait qu’une bouteille d’eau à l’intérieur !

Pour le coup, j’avais pris mon petit appareil de poche, mais je n’arrive pas encore à bien m’en servir car il n’a pas de viseur, il faut cadrer à partir de l’écran. Ça n’est pas ma tasse de thé.

 

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Ce qui frappe en premier à la descente du bateau, c’est le bruit infernal de la circulation, l’odeur des pots d’échappement. Nous longeons l’artère en rang d’oignons et nous arrivons peu après dans le centre de la ville :

L’opéra, toujours aussi beau, le mythique Continental, refuge des journalistes durant la guerre, et la statue d’Hô-Chi-Minh devant l’hôtel de ville.

Il y a eu beaucoup de changements depuis mon passage en 2007 et je découvre  avec stupéfaction que la ville n’a plus rien à envier aux autres grandes villes du monde :

 

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Toutes les marques de luxe sont là, avec leurs vitrines prestigieuses, sous le nez de papa Hô-Chi-Minh ! Et comme nous sommes le week-end, ça défile dans les boutiques…

Je me suis amusée à faire un montage de quelques devantures :

 

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Les rues sont toutes décorées de fleurs rose, mauve, jaunes en prévision du Nouvel An qui aura lieu en février prochain.

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Nous rentrons bientôt au bateau totalement abrutis par le déferlement des décibels. Voici un exemple de trafic :

Après le dîner, séance de cinéma avec l’odeur de la papaye verte, film de Tran Anh Hung.

Complément d’informations :

Quelques fruits en dessert ?