Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 30 octobre 2011

235. Bilan d'une décennie -60-

Ce matin, en recherchant de nouvelles vidéos pour alimenter mes notes, je suis tombée sur un petit bijou qui préfigure ce départ effectué en décembre 2007.

J'ai été d'autant plus émotionnée que j'ai retrouvé sur cette vidéo des gens que j'ai eu l'occasion de cotoyer : Baba qui tient le gouvernail, le cuistot qui nous faisait de si bons plats de cuisine locale, Sophie en train de faire les crêpes, le berger et  son troupeau de moutons, le serveur derrière son comptoir qui nous concoctait des cocktails à tomber à genoux. 

On retrouve également Bohringer, toujours aussi exalté et devenu tellement amoureux de l'Afrique qu'il a pris la nationalité sénégalaise.

Et enfin, celui sans qui rien de tout cela n'aurait pu se faire, Jean-Jacques Bancal, le propriétaire de l'hôtel de la Résidence à Saint-Louis.

Voici donc un avant-goût de ce que je vais bientôt vous proposer :

jeudi, 23 avril 2009

133. Le bateau de Saint-Louis du Sénégal

bou.jpg

Demain soir sur France 3, Thalassa propose un reportage sur le "Bou-el-Mogdad", le bateau que j'ai emprunté en décembre 2007 pour rejoindre Podor à Saint-Louis. Vous pensez bien que je ne vais pas rater l'émission !

Dans le lien qui suit, cliquez sur la photo du bateau pour voir un extrait du reportage.

bou1.jpg

Je garde un souvenir très fort de ce voyage sur le fleuve Sénégal : le calme, la beauté des couchers de soleil, la cordialité des matelots à bord. Je sens que je vais devoir prendre mon paquet de Kleenex avec moi !

Quant à Jean Jacques Bancal à qui l'on doit le retour de ce bateau mythique à Saint-Louis, je l'avais rencontré à l'hôtel dont il est le propriétaire, l'hôtel de La Résidence.  D'ailleurs dans la salle du restaurant, il y a sa caricature !

residence.jpg

J'en profite pour vous remettre le diaporama de ce bateau plein de charme :

Le Bou-el-Mogdad. 

samedi, 21 février 2009

56. Les enfants perdus de M'bour

Lors de mon séjour au Sénégal, j'avais été frappée par le nombre important d'enfants mendiant dans les rues. Au regard de l'émission "Thalassa" d'hier soir, je comprends mieux maintenant.enfantsenegal.jpg

Le sujet du documentaire s'intitule Les enfants perdus de M'bour. Vous pouvez voir un extrait ICI. (cliquez ensuite  sur l'image du bateau).

L'émission repasse dans la nuit de dimanche à lundi, à 2h15, sur France 3. À ne pas manquer !

La souffrance des enfants est ce qu'il y a de plus intolérable dans notre monde.

mardi, 30 décembre 2008

Un chat heureux !

chatguetndar.jpg

Voici probablement un des chats les plus heureux au monde. C’est un chat de Guet N’dar. Ce n’est pas le nom de l’espèce mais plutôt le nom du lieu où il habite.

Guet N’dar, quel nom étrange n’est-ce pas ?

Si vous êtes attentifs à ce que j’écris, vous devriez vous souvenir de cet endroit car j’en ai déjà parlé.

Mais si vous êtes comme moi, cela vous est rentré par une oreille et ressorti presque aussitôt par l’autre !

Alors pour les plus curieux d’entre vous, je fais un petit rappel, en musique et photos. En même temps, cela vous permettra de découvrir mon autre blog !

Voici donc GUET N’DAR.

jeudi, 07 août 2008

Le berger et son troupeau

goumel12.jpgdans la forêt de Goumel au Sénégal. Belle image bucolique que ce nomade et son troupeau de moutons, loin des gesticulations des grandes villes, de la course effrénée à la consommation. Le mode de vie de ces nomades n'a pas changé depuis des lustres. C'est la nature qui règle leur façon de vivre. Et s'ils étaient dans le vrai ? Sommes-nous plus heureux ? C'est à y réfléchir à deux fois...usine.jpg

Un peu plus en aval, nous voici à Richard Toll, ville industrielle qui possède une grande usine de raffinerie de sucre. La production fournit la quantité suffisante de sucre pour tout le pays. Ici la récolte n'est pas automatisée. C'est la méthode du brûlage qui est employée.toll15.jpg

 Quand la canne est arrivée à maturité, le feu est mis dans la parcelle. Les feuilles, les fleurs, les animaux nuisibles sont détruits, il ne reste que la canne. Cette méthode a l'avantage de donner du travail à la population locale. Pourtant elle serait productrice d'un dégagement important de CO2 dans l'atmosphère. toll17.jpgAlors, quelle solution choisir : fournir du travail en polluant  un peu plus la terre ou bien mécaniser et mettre au chomage des centaines de personnes qui n'ont pas d'autres ressources ?

En attendant, voici la suite du voyage sur le fleuve Sénégal :

Le fleuve Sénégal-3-

07:20 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : sénégal, nomades, canne, sucre