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samedi, 29 octobre 2011

234. Bilan d'une décennie -59-

Revenons maintenant au déroulement de l’année 2007 :

En avril, durant les vacances de Pâques, Thierry rejoint ses copains pour une semaine de sculpture à Congrier.

Samedi 21 avril 2007 : Je vais rejoindre les tronçonneurs en compagnie de Maria. J’ai réservé une chambre d’hôtel pour le soir à Renazé.

Résumé en images de cette semaine de sculpture à la tronçonneuse :

 

Juin 2007 :

Mon amie Huguette, que j’ai connue lors de mon voyage au Vietnam, m’invite à passer quelques jours chez elle, à Noirmoutier. Je ne connais pas du tout cette région, hormis un lointain souvenir d’un passage rapide aux Sables d’Olonnes étant enfant.

Durant mon séjour, je visite la serre aux papillons :

J'apprends que Roseline vend sa Peugeot 206 décapotable. Bien tentant tout ça ! J'ai brusquement des envies de retrouver la joie de la conduite décapotée. Est-ce bien raisonnable ? Sans doute pas, mais après tout, on ne vit qu'une fois  ...

Sitôt rentrée à la maison, je me mets alors à chercher sur le Net tous les modèles existant. Et c'est là que je découvre : 


Je saisis immédiatement le téléphone et j'appelle mon concessionnaire Ford :

— Dites-moi, vous pouvez me trouver une Street- Ka d'occasion ?

— C'est à voir, je vous tiens au courant.

 Et trois semaines plus tard, elle était là !

 

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Août 2007 :

Je vais à Rochefort visiter la maison de Pierre Loti. Je profite de mon passage dans la ville pour retourner voir à l’arsenal où en est la construction de l’Hermione.

Le soir, je m’arrête à Noirmoutier chez Huguette et je rentre à Tours le lendemain dans la journée.

 Durant les vacances d’été, je visite plusieurs châteaux de la région. En août, je vais visiter le château de Guédelon, dans l’Yonne, en compagnie de Jean-Louis.

Je reçois régulièrement des nouvelles de Michel. Je sais qu’il a acheté un petit voilier qui est amarré à Piriac.

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En septembre je pars donc un matin très tôt de la maison pour aller le retrouver. Son bateau doit être retiré et mis à l’abri pour l’hiver. J’arrive à Piriac avant le lever du soleil et  avec les croissants !

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Au retour, je passe par Le Croisic, je déjeune sur la plage de La Baule

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puis je vais à Saint-Nazaire pour visiter le musée maritime ainsi que les chantiers navals ( de l’extérieur). Le MSC Poesia est toujours en construction :

 

L’automne arrive bientôt. Mais je suis déjà prête pour un prochain départ en décembre !

233. Grand format à Pussigny

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— C'est où, Pussigny ?

Bonne question ! Rares en effet sont les personnes qui sauront vous situer cette commune du département d'Indre et Loire. Les raisons en sont simples : il n'y a rien de particulier à voir dans ce village de moins de deux cents habitants. Certes, il y a encore l'église, en bon état, mais ne comptez pas y trouver un commerce ! Bref un village qui se meurt peu à peu.

Pussigny 073.JPG

Pourtant la région est belle : La Creuse a rejoint la Vienne quelques kilomètres en amont et dans le village on découvre une rue du port- un chemin dans les champs qui mène jusqu'au bord de la rivière-.

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Faire venir des touristes relève donc de l'exploit. Pourtant, il y a quatre ans, une animation a vu le jour : les "Pussyfolies". Durant une journée des peintres réalisent une œuvre grand format sur un panneau de 2m/4m. Ces grands panneaux sont fixés sur les vieux murs du village et y restent durant tout l'été.

J'y étais déjà allée en 2009 :


Pussigny par cheztinou

J'y suis retournée en août dernier :

 


Pussigny 2011 par cheztinou

jeudi, 27 octobre 2011

232. Détour par Chaumont-sur-Loire

debut.jpgCourant juin, je suis allée à Chaumont pour voir le festival international des jardins.  Le thème choisi pour cette vingtième édition était : Jardins d'avenir ou l'art de la biodiversité heureuse. Tout un programme !

À l'entrée de chaque jardin se trouve une petite pancarte sur laquelle se trouvent inscrits le titre donné au jardin, les noms des réalisateurs et leur objectif en rapport avec le thème de départ. Il faut bien avouer que, quelquefois, le contenu explicatif est un peu pompeux, voire totalement hermétique ! Mais bon, ça donne une apparence de sérieux. Ça me rappelle un peu les fiches préparatives que l'on nous demandait de faire à l'école afin d'expliquer en long, en large et en travers le déroulement des leçons proposées aux élèves.

Vingt-quatre jardins étaient donc présentés avec chacun leur propre spécificité. Il y en a pour tous les goûts . Cette année un jardin a retenu mon attention :

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Lucy in the sky, qui représente un jardin situé en haut d'une tour en pleine ville. Dans ce jardin on aurait sans doute pu rajouter quelques ruches puisque cela devient de plus en plus tendance !

Voici donc un résumé de cette édition 2011 : 


Chaumont 2011 par cheztinou

mercredi, 26 octobre 2011

231. Overdose atteinte

Ça m'a pris soudainement hier matin au lever : il était temps que je réagisse face à l'ampleur que le jeu Cityville avait pris sur mon temps. Depuis dix mois maintenant je passe le tiers de mes journées sur mes 7 villes (eh oui, pas 1, ni 2, mais 7 !).

Je n'avais brusquement plus envie de jouer, j'avais atteint l'overdose. J'ai passé la journée à ne rien faire -ou si peu- et hier soir je me suis décidée : j'ai supprimé 5 de mes villes.

Montage2.jpg

Adieu donc Marceline Crampon, Léon Crampon, Adèle Dupont, Martine Dubois et Célestine Chardon ! En un clic, tous les efforts fournis depuis tous ces derniers mois sont partis dans le néant. 

Je garde quand même deux villes (Dan-city et Tinou-city) pour le plaisir de jouer de temps en temps.

Bon, maintenant je vais pouvoir reprendre un peu plus sérieusement mes activités bloguesques qui, je l'avoue, ont beaucoup pâti de cet engouement virtuel.

J'ai quelques diaporamas à faire sur des visites estivales. Ce sera le sujet des prochaines notes. Je vais également reprendre le bilan de la dernière décennie. 

lundi, 24 octobre 2011

230. Révolution capillaire

« — J’ai un nouveau produit à vous proposer, c’est absolument extraordinaire. Voulez-vous l’essayer ?

— De quoi s’agit-il ?

— Je ne vous le dis pas, mais vous serez absolument enthousiasmée par le résultat, faites-moi confiance !

— Bon d’accord, je vous laisse faire.

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Ma petite coiffeuse, Sacha, saisit alors deux ampoules médicales dont elle casse les bouts et m’applique le contenu des ampoules sur la tête. Ensuite, à l’aide de son peigne, elle prend les cheveux mèche par mèche et les allonge d’une bonne dizaine de centimètres à chaque fois. Je me retrouve bientôt avec une superbe coiffure au carré !

— Vous aviez raison, c’est époustouflant. Oh mais, regardez, mes cheveux sont devenus tout blonds !

— Rassurez-vous, c’est l’effet du produit, cela ne va pas durer.

Effectivement au bout de quelques minutes, les cheveux avaient repris leur couleur initiale.

— Alors, n'avais-je pas raison ! Seulement, ce traitement n'est appliquable qu'une fois tous les six ans.

En sortant de la galerie marchande où se situe le salon de coiffure, je m’aperçois que le ciel est bien sombre et que la pluie ne devrait pas tarder. Je pars à la recherche de ma voiture sur le parking. Ah, ça y est, je la vois !

Lors du retour vers la maison, je constate que mon niveau d’essence est au plus bas. Je ne suis même pas certaine de pouvoir arriver chez moi. Effectivement, en grimpant la petite côte de la route de Beaulieu, la voiture commence à ralentir ; j’ai beau appuyer sur l’accélérateur, elle s’essouffle, puis finit bientôt par s’arrêter.

Bon, il ne me reste plus qu’à continuer le chemin à pied. Je sors donc de la voiture, je la dégonfle ( !?!), je la plie soigneusement en évitant les faux plis, puis je la mets sous mon bras. Elle a maintenant la dimension d’une feuille de format 21-29,7. C’est tout de même bien pratique !

En cherchant un raccourci, me voici d’un coup sur un chemin particulièrement étroit, bordé à droite par une rivière, et à gauche par un impressionnant rocher. Ce passage contourne le rocher. Vais-je arriver à passer ?  Je m’aperçois que devant moi  le chemin se perd dans l’eau. Je fais donc demi-tour pour reprendre la route normale …»

 

Vous aurez compris –enfin je l’espère- que tout ceci n’est qu’un des nombreux rêves que je fais en ce moment, rêves tous plus farfelus les uns que les autres.

Le dernier en date (ce matin) montrait des poulets élevés par mon ancien voisin à Esvres. Ils avaient la particularité d’avoir une tête de la couleur  des citrouilles. Quand je lui demandai quelle était l’espèce de ces poulets, il m’expliqua alors que c’était un croisement entre une poule et un cochon !

Là, c’en était vraiment trop … Je me suis réveillée et je suis allée prendre un cachet car j’avais très mal à la tête !

 

09:03 Publié dans Onirisme | Lien permanent | Commentaires (6)