41. Une petite touche rabelaisienne

Pour agrémenter vos plats, que diriez-vous d'y incorporer une petite note de saveur ?

Allez jeter un œil curieux chez Catherine pour en savoir davantage.

Pour ma part, je ne connaissais pas ce produit qui existe depuis près de 130 ans quand même !

J'espère que ma cuisinière préférée va avoir l'obligeance de nous donner l'adresse où l'on peut se procurer ce produit à Tours ! 

 

40. Ah mais quel chantier !

Le peintre était là à huit heures. Durant le week-end, j'ai vidé au mieux le salon afin qu'il puisse travailler plus facilement. Je m'attendais bien à un certain chamboulement, mais pas à ce point !

 

 

 

 

Dans le coup, je me suis retranchée dans mon bureau en attendant que ça se passe. Il y en a pour trois jours ...

Quant à Théo, il squatte la chambre d'amis.

39. Dans la rue Georges Courteline

Pour en revenir à l'énigme posée dans la note précédente - à savoir découvrir le nom de la rue où passe le trolleybus- il s'agissait de la rue Georges Courteline.

En effet, si vous regardez attentivement la photo, vous apercevez en arrière plan une statue en haut d'un bâtiment.

Il s'agit de la loge maçonnique Les Démophiles appartenant au Grand Orient de France.

Plus d'informations ICI. 

38. Je me souviens

C'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai consulté le catalogue consacré à l'exposition de photos sur Tours.

Quelle étrange sensation de revoir les lieux où j'ai grandi ; ce sont des endroits qui, aujourd'hui, ne laissent plus rien paraître du passé. Et pourtant :

Tout d'abord l'usine à gaz qui se situait entre la rue du général Renault et la rue Fromentel, tout au bout du boulevard Tonnellé. De ma chambre je ne voyais pratiquement que cet édifice tant il était imposant. Je m'imaginais alors être à New York, face à un de ces buildings que l'on voyait dans les magazines. (On rêve comme on peut). Il fut question, un temps, de transformer l'édifice en musée. Mais le projet n'aboutit pas. Dommage !

De l'autre côté, à l'ouest,ma maison donnait sur l'abattoir. Autre lieu assez lugubre où l'on entendait les cris des animaux sentant leur fin prochaine. Rien n'avait changé depuis les années trente, date de la photo. Ce n'est qu'au début des années soixante-dix qu'il fut démoli pour laisser place à des logements. Le nouvel abattoir fut construit à la sortie de Tours-nord et les rats ne tardèrent pas à arriver, parait-il .

Décidément, ce quartier était sinistre, je ne suis pas loin de penser qu'il m'a profondément marquée de son empreinte. 

Autre souvenir,  le trolleybus :

Avez-vous trouvé dans quelle rue a été prise la photo ? (il y a plusieurs indices).

 

La fête foraine qui, après avoir été longtemps sur les quais de la Loire, s'est transportée à l'emplacement de l'ancien canal en haut du boulevard Heurteloup avant la construction de l'autoroute. Aujourd'hui, elle se tient à Rochepinard.

Il y eut aussi la construction du premier supermarché à Tours-nord. Le second verra le jour peu après à Chambray-les-Tours. Ce fut un évènement considérable qui annonça bientôt la disparition des petites épiceries de quartiers. On y revient aujourd'hui, tant mieux !

J'ai fait un plongeon dans le passé -pas si lointain d'ailleurs- mais que de changements !

37. Un franc succès

Je ne peux que me réjouir devant le succès obtenu par l'exposition des photos en noir et blanc sur la ville de Tours parce que, tout d'abord, c'est ma copine Catherine, scanneriste de profession, qui a mis en valeur ces vieux clichés, et ensuite parce que c'est mon éditeur, Nicolas, qui a fait éditer le catalogue de cette expo. Quand je pense que je ne l'ai pas encore acheté !

Bravo à toute l'équipe de chez Sutton !

Plus d'informations ICI.