vendredi, 15 février 2013
31. Et vive le Carnaval !
Je vous rappelle -si des fois vous aviez oublié- que dimanche a lieu le CELEBRE Carnaval de Manthelan !
À toutes fins utiles, voici ce qu'annonce la météo pour dimanche vers 13h :
Temps dégagé, voire même ensoleillé (youpie !)
Température : 8°.
L'année dernière, le classement des chars avait été le suivant :
1er : la loco du Far West
2e : le secret de la forêt (bof)
3e : le château bio (wouai !)
Enfin, pour vous mettre dans l'ambiance, voici un résumé de 2012. Quelques conseils utiles avant le visionnage :
— METTEZ LE SON, ainsi vous pourrez ré-entendre Césaria Évora.
— APPUYEZ SUR LA TOUCHE GRAND FORMAT POUR MIEUX VOIR LES PHOTOS.
Oh, après tout, faites donc comme bon vous semble, ce que j'en dis, n'est-ce pas ...
18:28 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : carnaval, chars
mardi, 12 février 2013
30. Tout vient à point
... à qui sait attendre, dit-on ! Et ça, pour attendre, j'ai attendu. Voilà maintenant huit mois que s'est produit un dégât des eaux dans mon salon ; lors d'une violente bourrasque de vent mêlée de trombes d'eau, des infiltrations se sont produites et l'eau s'est mise à ruisseler le long du mur sur une largeur d'environ un mètre cinquante.
J'ai bien sûr prévenu qui de droit. Déjà ce fut le parcours du combattant pour obtenir enfin une réponse au bout d'un mois. Ensuite, divers experts se sont ramenés, ont pris des mesures, sont montés sur la terrasse au dessus-du salon pour vérifier l'origine de la fuite, sont revenus encore une fois (dès fois que ça aurait disparu !). Six mois se sont encore écoulés.
De mon côté, j'avais prévenu mon assurance qui m'avait envoyé un peintre pour la restauration du mur. J'ai même choisi le nouveau papier peint. Mais, tant que les travaux sur le toit ne sont pas effectués, cela ne sert à rien de remettre à neuf. Alors depuis, il ne se passe pas une semaine sans que le peintre me téléphone.
Dans le courant de janvier, alors que je dormais profondément dans ma cabine, sur le bateau, je suis réveillée par un appel téléphonique. Je n'aime pas ça car j'ai toujours peur que ce soit une mauvaise nouvelle. Mais non, c'était le peintre qui, une fois de plus, venait aux nouvelles. Ah ! il a été bien reçu :
— Écoutez, je suis à l'étranger, je ne rentre qu'à la fin du mois. Cessez donc de m'appeler, je vous ferai signe quand les travaux auront été réalisés !
Bon, ça y est, ils sont passés ce matin, les techniciens de l'étanchéité. Seulement voilà, je ne suis pas très pressée d'appeler le peintre car le chantier qui s'annonce ne me réjouit pas du tout. Tout d'abord, pour le panneau en papier, je dois retirer tous les cadres, masques, miroir etc, puis déplacer les meubles d'environ un mètre. Ensuite, il est prévu qu'il repeigne tout le plafond !
Et j'ai oublié de vour dire que ce sera idem pour la chambre !
Pff ... Si j'avais su, j'aurais rien dit !
Dans le coup, je me demande si je ne vais pas vendre mes meubles de salle à manger. Ils sont très sombres et puis tous les étains suspendus sont de véritables nids à poussière. Je vais me renseigner auprès de la salle des ventes.
16:48 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (6)
vendredi, 08 février 2013
29. Promenade insolite
Tout à fait fortuitement, je viens de redécouvrir un ancien diaporama que j'avais fait sur le château du Rivau en m'attardant non pas sur le château en lui-même mais plutôt sur la décoration originale du jardin.
Alors, si ça vous dit :
07:49 Publié dans Balades tourangelles | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : chateau, rivau, jardin, lemere
jeudi, 07 février 2013
28. Rêve ou réalité ?
Il avançait lentement et langoureusement dans la moiteur de la nuit tropicale. Tout autour, ce n'étaient que bruits étranges et envoutants émanant de toute une faune nocturne qui, chaque nuit, reprenait possession de son territoire et s'en donnait à cœur-joie.
Il arriva bientôt sur la terrasse d'une large demeure et s'engouffra en silence dans une pièce dont la porte était restée entrouverte.
Je m'étais endormie sitôt couchée et j'avais le sommeil agité de rêves des plus saugrenus dont je vous passerai les détails -bien que croustillants !-.
Soudain je me réveillai en sursaut avec une étrange sensation : je sentais une présence tout près de moi.
Voulant en avoir le cœur net, je soulevai alors l'oreiller pour saisir ma lampe torche, puis, l'ayant allumée, je dirigeai le faisceau lumineux tout autour du lit.
Ce que je vis me glaça d'effroi et je poussai un hurlement qui résonna probablement jusqu'au plus profond de la forêt : à moins d'un mètre de mon visage, sur le lit, il y avait, il y avait ...
Oh, et puis flûte, allez voir par vous-mêmes ICI.
16:01 Publié dans Petites nouvelles de rien du tout | Lien permanent | Commentaires (3)
dimanche, 03 février 2013
27. Croisière sur le Mékong -14-
Lundi 14 et mardi 15 janvier : le retour en France.
Et voilà, c’est fini. Nous avons fait nos adieux à Minh et maintenant nous changeons de tenue vestimentaire avant l’enregistrement de la valise.
Première bonne surprise : il n’y a personne à côté de moi sur le vol Saigon-Bangkok ! J’en profite donc pour faire un petit somme.
Deuxième très bonne surprise : je suis également seule sur le vol Bangkok-Paris ! C’est bien la première fois que ça m’arrive. Naturellement ça fait des envieux, mais très vite j’occupe les trois places et je finis par m’endormir pendant 9h … C’est génial, si seulement ça pouvait être comme ça à chaque voyage. Je me réveille juste au moment où l’hôtesse apporte le petit déjeuner.
L’avion atterrit vers 7h du matin à Roissy … sous la neige ! Pendant ces treize jours, j’avais complètement oublié que nous étions en hiver ici, le contraste est dur à supporter. Maintenant, il ne me reste plus qu’à attendre le TGV prévu –en principe- à 14h.
Sur le panneau d’affichage des départs, les retards s’accumulent bientôt. Trois flocons et la machine s’enraye !
Il fait froid dans le hall de gare car les portes sont souvent ouvertes et il n’y a aucune place disponible dans la salle d’attente, remplie de gens qui râlent après les retards.
Mon train n’a pas de retard. À l’annonce du quai, je m’empresse de descendre et de me poster sous le repère indiqué pour la voiture. Tout à coup le tableau d’affichage s’éteint pour se rallumer en indiquant un changement de repère. Me voilà donc, tirant péniblement mes deux valises, à courir sous le nouveau repère … Et rebelote ! Un nouveau changement s’affiche.
Flûte, me revoici au point de départ au moment où le train entre en gare. Et là, surprise, la voiture ne correspond pas du tout à ce qui était indiqué. Je me retrouve en bout de train alors que ma voiture était au tout début. Tant pis, je grimpe, on verra ensuite.
Trois minutes plus tard le train s’ébranle. Le contrôleur me dit alors :
— Il y a un arrêt de 10 minutes à Massy. Vous aurez le temps de descendre du train et de vous diriger jusqu’à votre voiture.
— Vous plaisantez j’espère ! Vous ne pensez tout de même pas que je vais me coltiner mes bagages tout le long du quai. J’ai déjà eu assez de mal à les hisser jusqu’ici ! Je reste là.
Je le sens, j’ai le dos en compote. Dans la précipitation, j’ai un peu trop forcé et me voici pliée en deux.
Je téléphone à Christine pour lui indiquer le numéro de la voiture.
— Je vais avoir besoin de ton aide, je suis incapable de soulever quoi que ce soit !
Il y a maintenant plus de quinze jours que je suis rentrée, quinze jours renfermée, couchée la plupart du temps, en attendant que ça se passe. La douleur a fini par disparaître et je peux de nouveau me tenir à peu près droite.
Mon voyage me parait déjà si loin … J’ai beaucoup aimé le Cambodge qui est encore authentique. Les gens y sont chaleureux, accueillants, toujours souriants malgré une vie bien rude souvent. Quant au Vietnam, il est en pleine mutation économique.
Je ferme donc ce carnet de voyage, il va rejoindre les autres dans mes souvenirs.
Prochain rendez-vous en mai pour un départ au pays des Cosaques !
02:22 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : voyage, croisiere, mekong, cambodge, vietnam