vendredi, 08 février 2019
Cousins célèbres -5-
En mars 2018, j'avais retrouvé 5000 ascendants et collatéraux. Je n'ai pas chômé depuis car, à ce jour, j'en compte exactement 28.488 !
Parmi tous ces nouveaux venus dans mon arbre, il y a plusieurs personnalités avec lesquelles, moi ou mon mari, partageons des ancêtres communs.
Aujourd'hui, je vous présente un écrivain, Julien GRACQ, de son vrai nom Louis POIRIER. Mon mari et lui ont pour ancêtres communs Pierre JOLIVET, tanneur, né vers 1635, marié avec Jacquine MARCHAY vers 1654 en Anjou. Ce couple eut au moins deux enfants :
- René, marchand tanneur, né vers 1659, marié à La Poitevinière (Maine-et-Loire) avec Julienne GENDRON le 23 octobre 1679 ( ancêtres de Julien GRACQ).
- Jean, marchand tanneur, né le 1.10.1655, décédé le 16.09.1728 à Saint-Laurent-de-la-Plaine, Maine-et-Loire. Il avait épousé Jeanne RIVIÈRE le 12 février 1681. Ce sont les ancêtres de mon mari.
Les deux branches sont restées en Anjou.
Louis POIRIER -Julien GRACQ de son nom de plume- est né le 27 juillet 1910 à Saint-Florent-le-Vieil dans le Maine-et-Loire. Je vous renvoie à sa biographie en bas de page.
En 1951, son refus de l'obtention du prix Goncourt pour son roman Le rivage des Syrtes créa une vive polémique.
Il est un des rares écrivains à être entré dans l'illustre collection de la Pléiade de son vivant.
Il se retira dans son village natal en bord de Loire. Il décéda à Angers le 22 décembre 2007.
Pour en savoir un peu plus :
Sur les traces de Julien GRACQ à Saint-Florent-le-Vieil :
11:01 Publié dans Cousins célèbres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : julien gracq, ecrivain, anjou
jeudi, 07 février 2019
La colline des croix
Je vous emmène aujourd'hui à la découverte d'un lieu insolite situé au nord de la Lituanie, près de la ville de Siauliai.
Là se dresse une colline entièrement recouverte de croix.
Les premières croix furent déposées au XIVe siècle. Pour les Lituaniens catholiques, cet endroit s'identifia très tôt à un lieu de résistance pacifique face aux menaces auxquelles ils durent faire face à travers leur histoire.
Durant l'occupation soviétique (1944-1990), ils continuèrent à venir déposer des croix et des offrandes malgré l'interdiction.
Par trois fois le site fut rasé par les bulldozers mais, à chaque fois, il était reconstruit.
De guerre lasse, les Soviétiques renoncèrent à retirer les croix en 1985.
J'ai visité ce lieu en septembre 2015. En voici quelques extraits :
16:55 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lituanie, siauiai, colline des croix
lundi, 04 février 2019
Et si on prenait le train ou le bateau ?
Le voyage dans le Transsibérien -que j'ai effectué en 2010- reste incontestablement un de mes meilleurs souvenirs. Traverser une grande partie de cet immense pays permet de découvrir ce qu'on n'a pas l'occasion de voir dans tous les reportages proposés, à savoir la Russie profonde.
En ce moment je cherche justement un voyage hors des sentiers battus, non pas que la croisière proposée entre Saint-Pétersbourg et Moscou ne m'intéresse pas, mais c'est devenu une destination trop fréquentée.
Je viens de trouver un voyage intéressant ; c'est une croisière de 13 jours sur la Volga reliant Astrakhan à Moscou. On s'arrête successivement à Volgograd (l'ancienne Stalingrad), Saratov, Samara, Kazan, Tcheboksary, Nijni Novgorad, Vladimir et enfin on rejoint Moscou en car.
Dès ce matin je téléphone pour avoir plus d'informations.
En attendant, montez dans le train, le départ est imminent !
09:28 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : transsibérien, russie
samedi, 02 février 2019
Peuples en danger
Il m'arrive bien souvent de repenser à ces hommes et ces femmes que j'avais rencontrés lors de mon voyage au sud de l'Ethiopie, dans la vallée de l'Omo. Ils sont aujourd'hui environ 200 000 à vivre de manière ancestrale sur ces terres irriguées par les crues du fleuve.
J'avais croisé des femmes fières, des hommes vaillants et volontiers bagarreurs, des enfants souriants. Leur mode de vie était très archaïque mais ils y étaient accoutumés, n'ayant jamais connu autre chose.
Lors de mon voyage en 2014, le guide nous avait dit que le gouvernement souhaitait les voir s'intégrer ( dans le but de pouvoir récupérer toutes les terres) et il était alors question de les embaucher dans les usines de canne à sucre.
Dans cette région, en effet, la construction d'un énorme barrage hydroélectrique financé par les Italiens avait commencé sans prendre en compte le danger qu'il causerait à ces populations très dépendantes du fleuve.
D'autre part, bon nombre de leurs terres a déjà été réquisitionné pour pratiquer la culture intensive des palmiers à huile - oh la bonne huile !- et la canne à sucre.
On comprend alors pourquoi ces gens dérangent, ils ne rentrent pas dans le moule que l'on impose maintenant dans tous les pays du monde, ils font tache.
Le droit à la différence est un droit qui n'existe plus maintenant dans le monde actuel et c'est bien dommage ! Aujourd'hui, on doit tous être habillés de la même façon, bouffer des produits de merde et -surtout- fermer sa gueule.
Pour en savoir davantage :
05:25 Publié dans Coups de gueule | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ethiopie, vallée de l'omo, tribus
vendredi, 01 février 2019
Des gestes qui sauvent
Voici une vidéo qui explique de façon simple et claire quels sont les signes précurseurs d'un AVC.
Donc , rappelez-vous :
1. SOURIRE
2. RÉPÉTER UNE PHRASE SIMPLE
3. LEVER LES BRAS
4. TIRER LA LANGUE
01:52 Publié dans Coups de cœur | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : avc, symptomes