lundi, 30 avril 2007
Avis de recherche
Cela fait plusieurs années que j'essaie de retrouver mon ancienne amie de lycée , Nicole, dont les parents étaient pharmaciens rue d'Entraigues. Nous nous sommes perdues de vue à la sortie du lycée. Il y eut bien quelques courriers dans les années qui suivirent, mais peu à peu ils se firent rares jusqu'à ne plus exister.
Juin 1963, Tours, place Jean Jaurès. Nicole pose avec la pile de livres qu'elle vient de recevoir pour les prix au lycée ! Tiens, une Traction en arrière plan...
Et voilà, presque quarante ans se sont écoulés ( un bail quand même !). De temps en temps, je lance une recherche sur Google, on ne sait jamais et auhourd'hui... miracle ! - enfin je l'espère - je viens de découvrir en tapant son nom et son prénom qu'elle a écrit un livre en collaboration avec un chercheur.
Elle serait donc à l'hopital d'Argenteuil où elle exercerait la profession de biologiste. Le métier serait en rapport avec ses études puisqu'elle est entrée à la faculté de pharmacie à Tours. Et comme c'était une brillante élève, je ne doute pas un instant qu'elle ait fait un parcours remarquable !
1966, lors d'une journée passée avec ses parents à Ermenonville.
En plus des détails livresques fournis par Google, j'ai pu avoir aussi un e-mail. Je viens donc d'envoyer un petit mot ainsi que mon numéro de téléphone. Et maintenant j'attends, je souhaite, j'espère une réponse !
Affaire à suivre
18:25 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (6)
dimanche, 29 avril 2007
Et je m'en vais, de-ci, de-là...
...cahin-caha ! Après toutes ces larmes inutiles versées tôt ce matin, il est utile que j'aille m'aérer un peu les neurones. Alors je me rends ICI. Et je vous dis bon appétit ! A plus tard....
08:50 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (2)
vendredi, 27 avril 2007
Classement fortement recommandé
C'est toujours un grand plaisir de découvrir des livres parlant de la Touraine. Et pour un peu que vous soyez dans un cadre enchanteur... Elle n'est pas belle la vie comme dirait Rosy ?
Bon, revenons à la maison. Hier je me suis achetée un disque dur externe, histoire de sauvegarder les dossiers et les photos. Il a une capacité de 320 Go, ce qui me laisse de la marge. Gégé est venu me l'installer et m'expliquer comment recopier les dossiers. Et pour le coup, j'ai tout compris ( enfin presque tout !).
C'est donc l'occasion de faire un peu de tri. Je m'aperçois en effet que certaines photos sont en 10 exemplaires ( allez savoir pourquoi ). D'autres se baladent à droite, à gauche.... Bon, je dois avouer que c'est le Bor....
De son côté, mon amie Maria essaie d'installer internet sur son ordinateur. Elle vient de prendre la totale ( j'entends par là télé + téléphone + internet ). Elle a la version Windows 98, mais parait-il que ça DOIT fonctionner ! ( dixit le fournisseur d'accès). Seulement le hic, c'est que ça n'a pas l'air au point ! Heureusement que le " p'tit Breton " n'est pas loin !
ON A TOUJOURS BESOIN D'UN P'TIT BRETON CHEZ SOI ... Cela pourrait être la devise du jour. Notre petit breton s'appelle Olivier et c'est le monsieur SOS Dépannage en informatique !
Bon, je retourne à mon classement...
05:25 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (12)
samedi, 21 avril 2007
Un p'tit coin de paradis
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais des fois en visitant certains lieux je m'exclame : " C'est un vrai paradis ! " parce que je m'y sens bien, la beauté de la nature me remplit d'aise. Ce matin, avant de partir, je vous convie donc à pénétrer dans un de ces endroits paradisiaques. Tiens, justement voilà ma fille qui y va :
« Psitt ! Peggy ! Attends-nous... On vient avec toi, tu vas nous servir de guide ! » ENTREE.
Bonne visite et à demain !
09:51 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (5)
jeudi, 19 avril 2007
Commentaire
Suite aux notes sur l'évolution de l'enseignement, Manutara a écrit un commentaire très intéressant que malheureusement il ne réussit pas à mettre sur mon blog. Aussi je vous le propose en lecture.
« Puisque je suis arrivé à ouvrir les commentaires chez moi, chose que je ne suis pas arrivé à faire sur ta page, j'en profite pour dire qu'en matière d'éducation, en dehors du libellé des problèmes de mathématiques, il y a un changement important qui s'amorce, à moins qu'il ne soit déjà achevé: le remplacement du cahier et du stylo par l'ordinateur portable. Il me semble que cela consacre, définitivement, la prééminence du matériel sur l'humain. On a vu que les marques s’étaient déjà invitées dans les cours de récréation en matière vestimentaire, à présent c’est le cœur même du système qui est gangrené. Puisqu’il s’agit de conquérir de plus en plus de parts de marchés, autant commencer le plus tôt possible en formatant la pensée des chers bambins. J’ai pris conscience que nous étions gouvernés, totalement gouvernés, par les ordinateurs en découvrant le plan de restructuration d’Airbus industries. En apprenant que la construction de l’A380 avait pris du retard et que les carnets de commandes étaient pleins, je me suis dit, chic, ils vont embaucher. Eh bien, non ! Contre toute logique économique, dix mille personnes vont perdre leur travail. J’imagine fort bien des polytechniciens entrant des milliers de données dans des ordinateurs hyper-méga-puissants et attendant, en se rongeant les ongles, qu’une réponse s’affiche sur les écrans. Ils ont bien du être un peu étonnés, juste un peu, par la réponse…VIREZ DIX MILLE HUMAINS…Mais, bon, ce qu’ordinateur veut….Cela me rappelle une anecdote. Je faisais de la randonnée dans le Sud du Chili. A ma gauche un volcan. A ma droite un lac. Impossible de se perdre. Je marchais depuis plusieurs heures, quand je devinai une silhouette, au loin. En m’approchant, je constatai qu’elle appartenait à un homme. Son comportement était étrange. Il semblait tourner en rond. En m’approchant encore je remarquai que non seulement il avait un comportement erratique mais, qu’en outre, il ne regardait pas le paysage mais marchait tête baissée en fixant sa main droite. Cent mètres encore et je me retrouvai à sa hauteur. Ce n’était pas sa main qu’il regardait, mais un appareil, un GPS. Il prit alors conscience de ma présence, sembla soulagé. C’était un gringo. Un gringo perdu. Ou plutôt, il ne comprenait rien aux indications de son GPS. Il aurait voulu comparer avec le mien. Le mien ? Oui, mon GPS. Mais je n’avais pas de GPS ! Juste une carte, mais avec de tels points de repère, il n’y avait même pas besoin de carte. Là, le gars me regarda comme si je venais de lui dire que Bush et Chirac couchaient ensemble. Horrifié, qu’il était. Quoi ! Vous partez sans GPS ? J’aurais pu lui dire que j’avais su trouver ma route sur les océans, sans GPS, alors sur terre, entre un volcan et un lac…mais cela aurait semblé prétentieux et je n’avais pas envie de lui raconter ma vie. Je me suis contenté de lui montrer le volcan et le lac sur la carte, puis le volcan et le lac tels qu’ils apparaissaient à nos yeux. Mais visiblement, il ne faisait pas confiance à ses yeux. Nous n’avions plus rien à nous dire. C’était deux conceptions du monde qui s’affrontaient. J’ai continué mon chemin, entre le lac et le volcan. Il a continué à tourner en rond en fixant son GPS. Tout ça pour dire, que la réalité n’a pas changé. Un sac de patate reste un sac de patates. Par contre les ordinateurs ont rendu cette réalité à peu près incompréhensible pour une intelligence non préalablement formatée par les ordinateurs. »
Oui Manutara, la réalité ne change pas, ce sont les hommes qui la déforment !
10:20 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (7)