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lundi, 21 mai 2007

La sieste

Chez les animaux aussi, l'heure de la sieste c'est sacré. Voyez plutôt :

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12a3336feafabd878b602cc8eef22ada.jpgEt pendant que tout ce petit monde dormait paisiblement, je photographiais. Un total d'environ 400 photos pour un résulat final d'une petite cinquantaine de photos moyennement réussies. C'est terrriblement difficile de prendre les animaux en photo! 

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« Allez, circulez, il n'y a plus rien à voir ! » 

19:37 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (2)

dimanche, 20 mai 2007

Le calendrier républicain, quel casse-tête !

medium_calendrier.2.jpgHier, j'ai retrouvé un petit livret bien utile quand on fait des recherches généalogiques. Il s'agit de la correspondance des dates entre le calendrier républicain et le calendrier grégorien.

Le calendrier républicain a été institué le 24 novembre 1793 et faisait commencer l'année le 22 septembre, date de l'équinoxe d'automne et jour anniversaire de proclamation de la Première République.

Les douze mois de l'année prirent alors des noms poétiques ( floréal, vendémiaire, pluviôse messidor etc). Ils chevauchaient les anciens mois et comptaient tous 30 jours. Les 5 ou 6 jours complémentaires s'appelèrent les " sans-culottides".

La semaine de sept jours fut remplacée par la décade. L'ancien repos du dimanche, le décadi,  était ainsi reporté tous les dix jours. 

Ce calendrier fut employé pendant 13 ans, du 22 septembre 1792 ( 1er Vendémiaire de l'An I) jusqu'au 1er janvier 1806 ( 11 Nivôse de l'An XIV). On peut dire merci à Napoléon de l'avoir supprimé!

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Ainsi, par exemple, en étudiant l'acte de mariage suivant qui a eu lieu le 2 Nivôse de l'An III, je peux tout de suite trouver qu'il s'agit du 22 décembre 1794. 

Bon, je vous laisse, je retourne au Congrès !

samedi, 19 mai 2007

Chédigny-les-roses

medium_ch1.jpgLe soleil n'était pas au rendez-vous en ce jeudi après-midi. Qu'importe, cela ne nous a pas empêchées d'admirer les vieilles maisons dans la rue principale. La municipalité a fait planter des rosiers grimpants devant chacune d'entre elles et ils étaient tous en fleurs.

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Dans ce joli village, même les chiens ont des bonnes têtes !

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J'ai revu ma copine de l'année dernière, Lucette, toujours vaillante et attendant les touristes pour pouvoir parler un peu, histoire de passer le temps.

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Le peintre Gérard Marchand habite en dehors de Chédigny, dans une maison moderne mais très bien conçue, avec de grandes baies vitrées. Ses œuvres étaient exposées dans quelques pièces de sa maison, en particulier dans la salle de bain, tout bleue avec de grandes ouvertures donnant sur un splendide jardin. J'ai pu discuter avec lui et il m'a expliqué sa technique pour les fonds de ses tableaux.

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Au retour on a eu beaucoup de mal à trouver un bistrot ouvert pour boire un café. Il a fallu aller jusqu'à Cormery. Là, j'aurais bien voulu acheter des macarons mais, hélas, les deux boulangeries étaient également fermées... Cormery ressemble de plus en plus à un village fantôme.

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Recherches fructueuses

Hier matin s'ouvrait donc le XIXe congrès national de généalogie à Tours. J'y suis allée vers 11 heures et il y avait déjà beaucoup de monde. Voici quelques images prises par Christophe qui se trouve au stand de Généanet.

J'étais partie avec quelques fiches familiales incomplètes mais je n'espérais pas tellement trouver des renseignements complémentaires. Grossière erreur de ma part ! Au stand de l'Hérault, j'ai trouvé quelques dates de mariage, de nouveaux patronymes ( ROUCAIROL, PUISSARGUES, RIVASSERIE, CALAGES...) demeurant à Lunel. Des noms chantant comme la langue d'oc.

Je n'ai malheureusement pas trouvé de renseignements sur le département des Landes. Mes familles landaises sont originaires de Mugron.

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Un peu plus loin, je me suis arrêtée au stand du Nivernais, région d'origine de mes ancêtres. Après une attente relativement longue, j'ai pu enfin obtenir les registres de dépouillement d'une commune ( Teigny) dans laquelle j'ai retrouvé trois générations supplémentaires.

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Au stand de la Meuse, j'ai obtenu la date de mariage de François LIGIER avec Anne MOREL, le 12 juillet 1633 à Fain-les-Sources.On ne peut remonter au-delà de cette date. Cette commune s'appelle désormais Fains-Véel et elle est située dans la proche banlieue de Bar-le-Duc.  Ainsi donc, cela fait 11 générations de LEGER. Le patronyme est passé de LIGIER à LEGIER puis enfin LEGER. J'ai eu beaucoup de difficultés à retrouver la trace de ces ancêtres car ils se sont beaucoup déplacés en raison sans doute de leurs professions. L'ancêtre le plus éloigné est dit " substitut".A la fin du XVIIIe on les retrouve à Paris. Puis au début du XIXe, je découvre une naissance en Touraine, à Beaumont-la-Ronce, où l'ancêtre Leger est instituteur. On repart à Angers pour finalement revenir à Chinon et à Ligré. Aujourd'hui encore une cousine LEGER vit à Chinon. Le reste de la famille ( enfin ceux que je connais), vit à Paris et dans la proche banlieue. Une autre branche s'est installée en Normandie. Il m'aura fallu quand même plus de vingt ans pour achever cette recherche.  Maintenant il serait intéressant de retrouver d'autres cousins...

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 Mes recherches m'ont ensuite emmenée dans le Bas-Berry où, là aussi j'ai retrouvé des ancêtres à Montipouret, village dont je n'avais jamais entendu parler auparavant. 

Une fois de retour à la maison, j'ai mis à jour toutes mes fiches et repertorié les nouveaux patronymes. J'en suis maintenant à un total d'environ 1000 patronymes différents repartis dans toute la France.

Ce matin je vais retourner à la pêche. Mes fiches sont prêtes ! Cette fois-ci je vais tâcher de remonter les branches dans les départements du Gard, du Maine et Loire, de l'Indre et de la Seine et Oise.

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Sur une carte de France, j'ai coloré les différents départements d'où sont originaires nos ancêtres ( en rouge de mon côté et en bleu du côté de mon mari). Jusqu'à présent, je n'ai pas trouvé d'ancêtres venus d'un autre pays. Je suis donc ce que l'on appelle " une Française de souche ", espèce en voie de disparition...

jeudi, 17 mai 2007

Catastrophes en série

« Je grimpe à pied la montée vers le Menneton. Arrivée en haut, je m’aperçois avec frayeur que le Cher ( rivière ) arrive au ras de la levée ! Moins d’un centimètre manque avant qu’il ne sorte de son lit et déferle sur tout le quartier.

Je redescends en courant le chemin, criant à tue-tête « Au secours ! Le Cher va déborder, au secours !» Mais les premiers immeubles sont assez loin et les gens que je vois ne m’entendent pas. Je reviens sur mes pas et j’entre alors dans la maison de la garde-barrière. Je lui explique la situation et lui demande d’activer la sirène pour prévenir la population. Elle reste complètement indifférente et c’est moi qui appuie sur le bouton. Un son semblable à celui d’une sonnette de vélo se met alors à retentir deux ou trois fois de suite. Je ressors et là, je vois un filet d’eau qui commence à dévaler la pente. Au loin, des enfants quittent leur maison tranquillement pour se rendre au jardin botanique juste en face. Personne ne semble se douter du drame qui va se produire.

Changement brutal de décor : j’ai bifurqué sur la gauche, et je suis entrée dans un entrepôt qui stocke du bois. Je ne suis plus seule, il me semble que c’est une copine d'école qui m’accompagne, mais je ne vois pas son visage. Deux hommes s’affairent à l’intérieur. Le premier, un blond,  travaille sur une grande plaque de bois, tandis que le second, plus âgé est en train de pousser d’énormes tas de bois qu’un camion, ayant relevé sa benne, vide dans l’entrepôt. La porte de sortie est ainsi totalement bloquée par ce camion et pour sortir il faut que j’escalade tout le camion. Epreuve difficile ! Mais je réussis à émerger comme si je sortais d’une bouche d’égout… Me voici donc de nouveau sur la route. De l’autre côté passe un train. On voit très distinctement le conducteur qui est ivre et qui semble faire n’importe quoi. Quand il nous aperçoit il dévie le train et fonce dans notre direction ! ( ce que j’aime dans les rêves c’est le côté irrationnel qui s’en dégage, apparemment les rails ici ne servent à rien ). Afin de l’éviter, nous retournons dans l’entrepôt ( l’entrée est à présent dégagée, le camion ayant pénétré à l’intérieur). Mais le train nous suit toujours, le voici maintenant  à l’intérieur, le chauffeur ne nous quitte pas des yeux… Nous obliquons alors par une petite porte au fond, en courant à toutes jambes, attendant le bruit - je devrais dire l’explosion - qui  va immanquablement se produire lorsque le train heurtera le camion. Nous voici de nouveau dehors et aucun bruit… Etrange !

Changement de décor, nous sommes maintenant au bord de la mer, là où je passais mes vacances lorsque j’étais plus jeune. En passant devant une maison dont la porte est ouverte, j’aperçois à l’intérieur des amies de ma vieille tante. ( Ma tante est décédée en 1974 à l’âge de 84 ans). Je suis étonnée de voir qu’elles sont toujours en vie et je rentre pour leur dire bonjour. Mon père est là aussi. Je lui raconte alors nos péripéties…

Changement de décor : je suis maintenant dans un wagon sur une voie ferrée avec des hommes qui semblent être des policiers en civil et qui font une enquête. Il y a plusieurs autres voies de chaque côté de notre wagon. Les hommes parlent entre eux et je jette un œil par la fenêtre située à l’arrière du wagon. Ce que je vois à cet instant précis me laisse sans voix !

Sur la voie de droite arrive une «  Micheline » à très vive allure. Son passage si près du wagon va obligatoirement nous secouer violemment. Mais ce n’est rien par rapport à ce que je vois maintenant. Un énorme boeing 747 est en train de vouloir atterrir sur la voie de droite. L’image est très nette, les roues sont déjà sorties…. Avec son aile gauche, il coupe tous les poteaux électriques, les uns après les autres. S’en suit une série de sons terribles, d’images floues qui se superposent faisant penser à un ciel d’orage. Je suis ballottée de tous côtés. Je me réveille alors.»

Voilà ce que je viens de rêver. Un beau lot de catastrophes en série ! 

11:20 Publié dans Onirisme | Lien permanent | Commentaires (8)