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vendredi, 21 décembre 2012

303. Amandine aux pommes

Pour 6 personnes, il faut :

- 1 pâte sablée

- 3 belles pommes

- 120g de poudre d’amandes

- 80g de sucre en poudre (cassonade)

- 80g de beurre mou

- 10cl de crème liquide

- 1 œuf entier

- quelques amandes effilées

- 2c/s de confiture d’abricot

- sucre glace

 

1. Mélangez le beurre ramolli avec le sucre. Ajoutez l’œuf, la poudre d’amandes puis la crème.

 

2. Étalez la pâte sablée au fond du moule et piquez-la avec une fourchette. Préchauffez le four th 7.

 

3. Pelez les pommes puis coupez-les en 2.  Coupez chaque moitié en lamelles en gardant la forme.

 

4. Étalez la crème d’amandes sur la pâte, puis disposez les pommes. Mettre à cuire environ 35mn.

 

5. Sortez l’amandine, laissez-la refroidir puis badigeonnez la surface avec la confiture d’abricot que vous aurez fait ramollir au préalable sur le feu. Saupoudrez de sucre glace et d’amandes effilées. 

Et voilà le résultat :

Maison 002.JPG

Ne cherchez pas les amandes effilées, je n’en avais pas ! 

302. Nous sommes toujours là !

On pourrait dire : Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! 

Mais avez-vous imaginé ce que deviendrait  la Terre si l'homme venait à disparaître brusquement ?

Eh bien, ceci :

mercredi, 19 décembre 2012

301. Promesse tenue !

La Maison Flammarion a tenu promesse : ce matin, j'ai reçu à titre gratuit le dernier livre de Pierre Bellemare dans ma boîte à lettres. Et, page 360, voici donc Ma photo - à savoir la tombe de Yul Brynner-.

Maison 001a.jpg

Ça n'est pas grand chose, mais ça me fait plaisir. Tout comme la bonne femme qui crie à qui veut l'entendre dans une pub à la télé : "C'est ma Twingo", je m'imagine bien, dans les rayons de la FNAC, en train de m'exclamer :

Ah mais, c'est Ma photo !

Bon, je ne le ferai pas quand même. 

300. Affiches de propagande -6-

Titre : Le complot juif contre l'Europe !

 

af5.jpg

Le premier voyage de Churchill à Moscou coïncide avec le début des persécutions des Juifs à Paris. La propagande allemande, confondant à son habitude Bolchéviques, Juifs et Anglo-Saxons, tire argument de l'entrevue pour justifier les entraves apportées à la liberté individuelle des Israélites de France.

Cette image sinistre, interprétant l'évènement selon les directives de l'occupant, est répandue à profusion dans les rues et dans le métro de la capitale.

mardi, 18 décembre 2012

299. Étrange découverte

Délaissant pour un temps le Cambodge, je lisais ce matin toutes les réactions  suscitées par le départ de Gérard Depardieu en Belgique. Personnellement, je pense que cette affaire est totalement grotesque et qu’il y a d’autres sujets plus importants actuellement que la fortune de Mr. Depardieu. C’est un crime de posséder un appartement de 1800m2 dans le centre de Paris ? Ce n’est pas pour autant qu’il est un homme heureux ; il suffit de le voir et de l’entendre pour se rendre compte qu’il est bien fatigué par la vie, notre pauvre Gégé national, alors foutons-lui la paix.

En parcourant sa biographie sur Google, je découvre qu’il a eu une liaison amoureuse avec Hélène Bizot.

Hélène Bizot ? Mon front se plisse soudain. Y aurait-il un rapport avec la fille de François Bizot, l’auteur des deux livres sur le génocide des Khmers rouges ? Dans son livre, Le portail, il évoque en effet sa compagne, Cambodgienne, et sa fille, Hélène, née en 1968.

En 1974, sentant que la situation dégénérait, il avait envoyé Hélène dans sa famille en France. Lors de l’évacuation de Phnom Penh en 1975, sa compagne ne peut quitter le territoire cambodgien. Dès la chute des Khmers en 1979, François Bizot part alors à sa recherche et la fait venir en France, dans les Ardennes, où elle vit toujours actuellement.

 Quant à sa fille, Hélène, c’est bien elle qui croise le chemin de Depardieu en 2001. De cette relation naîtra un petit Jean –prénom choisi en hommage à Jean Carmet-. en 2006.

En 2008, Depardieu reconnait l’enfant.

François Bizot, pour sa part, est retourné vivre en Thaïlande. Il demeure au nord-est du pays, à Chiang Maï.

Étrange tout de même que ces deux êtres-là venant d’horizons si différents se soient rencontrés !

Quant au petit Jean, quelle singulière ascendance : d’un côté une famille de prolétaires de Châteauroux, René dit Dédé, tolier-formeur et sa femme Alice, dite Lilette, mère au foyer.

De l’autre François Bizot, anthropologue, spécialiste du bouddhisme de l'Asie du sud-est à l'École française d'Extrême Orient  et sa compagne d’alors, Cambodgienne.