124. Un retour mouvementé

Coucou, me revoilou ! Je dois vous dire que, sur ce coup-ci, je n'ai pas été à la hauteur du tout ; je dirais même que j'ai été en-dessous de tout ! Bon, il fallait bien que ça se produise un jour ou l'autre.

Après un voyage sans aucun problème, nous quittons Budapest hier matin à 11h30, direction l'aéroport.

Embarquement et décollage à 14h30 ... Arrivée à Strasbourg  à 16h. Jusque là,  pas de problème. Je quitte le groupe pour prendre le train en direction de Strasbourg. Arrivée à la gare, je prends un billet pour Paris-est. Première déception : le train est parti depuis deux minutes. Bon, tant pis je vais prendre le suivant et je retire mon billet à une borne. Flûte, je me suis trompée d'heure, je dois donc aller échanger le billet. Surtaxe de 10 euros, plus 15 euros supplémentaires car je me retrouve en période normale.

Mais, c'est lorsque je demande ensuite un billet Paris(Montparnasse)- Tours que j'ai une terrible surprise. Le dernier train part à 20h30 ce qui ne me laisse pas suffisament de temps pour changer de gare ...

Il me faut trouver un recours : je téléphone alors à Peggy pour qu'elle me réserve une chambre à Paris. Ça parait facile comme ça, sauf que ... tous les hôtels sont complets ! Finalement, au bout d'une heure de recherche, elle finit par trouver une chambre au Novotel de la porte d'Italie (226 euros la nuit avec le petit déjeuner- quand même !-).  

J'ai quitté Paris ce matin en prenant un train à Austerlitz et je suis arrivée à Tours pour midi. Fin du voyage.

Je vous donne rendez-vous demain pour le début du carnet de voyage. En attendant, quelques photos diverses :

À demain - si vous le voulez bien - !

Voici la preuve que le Danube est bien bleu :

Bon, je vous l'accorde, j'ai joué un peu avec les couleurs. Voici la véritable teinte :

123. Petits rouge-gorges deviendront grands

s'ils échappent aux chats de Nico !

Surprise de Thierry découvrant cette nichée de rouge-gorges en soulevant la bâche qui recouvre le tas de bois.

122. Et vogue la galère

Ce matin, j’ai été réveillée par l’orage accompagné de violentes trombes d’eau qui se sont abattues durant une petite heure. J’ai eu du nez hier en tondant la pelouse !

Samedi j’ai récupéré les enveloppes timbrées chez Thierry. Il a réalisé deux timbres - l’un pour l’Autriche et l’autre pour la Hongrie – que voici :

 

Je pars donc demain matin à 9h. J’ai prévu de passer l’après-midi dans Strasbourg à faire des photos. Le départ pour la croisière est fixé mardi matin à 4h30. Nous rejoignons en car la ville de Passau - via Munich- où nous serons aux alentours de midi. Le bateau lève l’ancre en milieu d’après-midi.

 

Voici le trajet prévu : quatre pays traversés (Allemagne, Autriche, Slovaquie, Hongrie) avec plusieurs haltes pour des visites. Retour en avion de Budapest à Strasbourg.

Je vous donne donc rendez-vous mardi 26 juin en fin de journée. D’ici là, portez-vous bien !

121. Le timbre de juin

On oublie parfois que l'oblitération manuelle est toujours en vigueur !

120. Après l'effort, le réconfort

C'est un peu à reculons que je suis allée hier chez le dentiste, mais je n'avais guère le choix. 

Il ausculte ma dentition, puis me dit :

— Nous allons nous occuper aujourd'hui des canines !

— AH NON !  Vous allez m'arracher cette pré-molaire dont il ne reste que la racine d'ailleurs. Cela fait deux jours que je me prépare psychologiquement, il est hors de question de reporter à une date ultérieure !

— Ah oui, c'est vrai, je l'avais oubliée ! Bon, au travail !

Après m'avoir sanglée sur le siège, il sort ses tenailles  et ... STOP !  Je dis n'importe quoi.

Bref, un quart d'heure plus tard, je ressors la mine réjouie bien qu'ayant un peu mal. Et pour me réconforter, je suis allée m'acheter une tablette de chocolat L. à la pistache. Hum ...

Quant aux autres dents, ça va attendre, il n'y a pas péril en la demeure. 

J'ai mis en ligne la dernière série de photos sur le vieux Tours, ICI. Il y en aura sûrement d'autres à venir. La maquette du livre est en cours de montage. Il devrait paraître dans le courant de décembre.

Mardi matin, je pars pour Strasbourg où je vais passer la nuit avant le départ pour la croisière sur le Danube. Ce matin donc, je passe chez Thierry récupérer des séries d'enveloppes à poster au cours du voyage.

— Toc, toc ! Il y a quelqu'un dans cette maison ?