samedi, 02 mai 2009
146. Comment s'envoyer en l'air
J'entends d'ici vos commentaires :
Qu'elle est vulgaire cette Tinou ! Quel langage déplacé ! À son âge !
Je vous dis aussitôt : STOP !
Vous vous méprenez totalement. Je devrais plutôt dire : comment planer dans les airs, car il s'agit bien de cela ! Flotter dans le ciel...
C'est possible. Il faut pour cela vous rendre à la fête foraine et monter dans un nouveau manège qui s'appelle Twister. Effet garanti ! Enfin, je suppose car je n'y suis pas montée, je me suis contentée de photographier. C'est déjà pas mal ! Lever la tête si haut pour prendre une photo, j'en perds facilement l'équilibre. J'aurais eu 20 ans de moins et pas mal au dos, je pense que j'aurais fait un tour.
Allez, roulez jeunesse !...
Il y avait du monde, le temps était assez ensoleillé. Les années précédentes j'y suis allée avant l'ouverture de façon à éviter la foule, pas toujours très reluisante. Mais cette année j'ai loupé la date. Et puis, de toute façon, c'est toujours un peu la même chose.
En voyant les boissons glacées, j'ai pensé à Juju bien sûr (à Barcelone sous la canicule!).
Samedi prochain j'aurai l'occasion d'y revenir en compagnie justement de Juju et d'Olivier puisque nous avons projeté de visiter la foire exposition qui débute le 8 mai. Nous déjeunerons sur place.
17:29 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : fête foraine, manèges, foire, twister
145. Rien n'a profondément changé
depuis le temps où je jouais dans l'allée du jardin menant aux bords de l'Indre. C'était en août 1952.
En allant chez eux, je suis passée devant "la Pegriotte". La maison ne s'appelle pas ainsi mais elle aurait pu ! Mon père l'avait fait construire dans les années soixante-dix. Comme le portail était ouvert, j'ai ralenti pour jeter un coup d'oeil sur le jardin . Ça m'a fichu un terrible coup de bourdon... C'est là que maman est décédée en 1980 et plein de souvenirs me sont alors revenus en tête ce qui fait que je suis passée devant chez mes cousins sans m'arrêter, trop occupée dans mes pensées ! Ce n'est qu'en arrivant au stop au bout de la route que je me suis réveillée... Je n'aime pas emprunter cette route.
Peggy et René dans le jardin à Cormery
Ce fut une journée agréable, ensoleillée. Je leur avais apporté mes albums sur le Bénin car ils avaient déjà effectué un voyage dans ce pays dans les années soixante. En comparant nos photos nous avons pu constater que finalement là aussi rien n'avait réellement changé !
Ma cousine, qui est une excellente cuisinière, avait préparé une salade de raie tiède, puis du chevreuil. Un de leurs voisins est chasseur et elle a ainsi l'occasion d'avoir fréquemment du gibier. Quant à mon cousin, il se désole car il n'y a plus un seul poissons dans l'Indre.
Je suis rentrée à la maison vers 18 heures. Et toujours pas d'hirondelles !
06:33 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (3)
vendredi, 01 mai 2009
144. Aujourd'hui : repos !
En ce 1er mai, jour de la fête du travail, permettez-moi de vous offrir ce petit bouquet de muguet.
Il est en fait destiné à ma cousine Colette chez qui je vais déjeuner aujourd'hui.
Depuis un peu plus d'une semaine une chose m'inquiète fortement. Non, ce n'est pas la grippe, ça, on n'y peut pas grand chose, mais c'est l'arrivée des hirondelles ! Où diable sont-elles donc passées ? Je n'en ai encore aperçu aucune.
Et vous ?
05:12 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (5)
143. Il peut être dodu le père !
avec 62,8 millions de subventions versées par la commission européenne ! Et tout ça pour produire de la m... expédiée en Afrique, ne laissant aucune chance de survie aux quelques rares agriculteurs africains qui élèvent encore des volailles. Je comprends mieux pourquoi certaines sociétés sont plutôt gênées aux entournures de la publication de ce rapport !
Jusqu'à la reine d'Angleterre qui touche des subventions !
04:53 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (0)