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vendredi, 12 août 2011

170. Bilan d'une décennie -22-


podcast
Et voici l’année 2004 !

 Elle débute sous la neige, puis se continue, les jours qui suivent, par du vent et des trombes d’eau.

 26 janvier 2004 : Peggy m’apprend qu’elle a rencontré un homme qu’elle semble apprécier. Je sais seulement son prénom, son âge et sa profession.

J’ai hâte de faire sa connaissance, mais je me garde bien de la brusquer ! 

 Mardi 27 janvier : j’ai rendez-vous avec une ancienne copine de lycée que j’ai retrouvée sur le site « Copains d’avant ». J’ai emporté avec moi les photos de classe et nous nous remémorons nos souvenirs.  En septembre prochain, notre ancien bahut, le lycée Balzac de Tours,  fête son 100e anniversaire.

 Lundi 9 février : Julie a réussi son examen d’aide-soignante. Pour fêter ça, on  va prendre un pot place Plumereau. Elle commence à travailler le 1er mars à l’hôpital Bretonneau, au bloc opératoire de gynécologie.

 Vendredi 13 février : au moment de retirer de l’argent à un distributeur, j’ai soudain une perte de mémoire. Impossible de me rappeler du code. La carte est bientôt avalée. Depuis j’ai trouvé un système ingénieux qui me permet de retrouver rapidement le code.

À la soirée, Peggy m’invite à prendre l’apéritif chez elle. Je vais enfin rencontrer l’homme mystérieux, que tout le monde connait sauf moi !

Je pense qu’elle devait appréhender ma réaction. Quand j’arrive chez elle, il n’est pas encore là. Ah, j’entends des pas dans l’escalier ! La porte s’ouvre … Un homme ébouriffé, blouson de cuir et casque de moto sous le bras, entre alors dans la pièce. Peggy fait les présentations et il s’avance vers moi. Au moment même où il s’approche pour m’embrasser, je lui tends la main !

— Ça commence plutôt mal ! grommelle-t-il dans sa barbe de deux jours. Oui, le premier contact fut assez difficile, je dois bien l’avouer. Nous parlons de chose et d’autre, je sens que chacun épie l’autre. Je ne m’éternise donc pas …

Le soir, je retrouve mes copines. Elles ont droit à une description détaillée du fameux Thierry !

— Alors, raconte, il est comment ?

— Bof, comment vous dire ?  Du genre brut de décoffrage, sur la défensive. En réaction, j’ai été bêtement  très superficielle. Il faudra du temps pour que nous apprenions à mieux nous connaître !

(Effectivement, il fallut un certain temps. Lui –tout  comme moi d’ailleurs-  ne se livre pas facilement. Mais, une fois que la confiance est là, les relations deviennent alors beaucoup plus faciles et aujourd’hui je pense que nous nous apprécions mutuellement, avec nos différences.

 Et puis, dans cette histoire, mon avis n’a que peu d’intérêt, le principal étant que tous deux soient heureux ensemble.)

 Lundi 23 février 2004 : j’ai pris rendez-vous chez un psy que ma collègue, la psychologue scolaire, m’a recommandé. Elle pense que cela pourra m’aider à mieux gérer mes périodes de pessimisme. En fait, au bout de la troisième séance, je n’avais plus rien à lui dire et d’un commun accord nous arrêtons les séances. Qu’ai-je appris de nouveau ? Eh bien que mes problèmes de vertige sont la faute de mon père qui avait sur moi une trop grande  emprise. Mais je le savais déjà, c’est d’ailleurs sans doute pour cela qu’en 1986 j’avais coupé les ponts. Oh, cela ne s’était pas fait sans mal ! Sans doute devais-je culpabiliser car le lendemain de la rupture, je me rasais les cheveux ! Je fus obligée de porter une perruque pendant trois mois.

J’avais quarante ans à l’époque et j’avais ENFIN coupé le cordon ombilical …Mieux vaut tard que jamais, non ?

Mais voici les vacances d’hiver qui arrivent : Julie et moi allons à Paris.

Mercredi 25 février 2004 :

Exposition Sophie Calle à Beaubourg, visite du musée d’art contemporain, balade dans le quartier du Marais et le soir, séance cinéma pour voir « Les rivières pourpres ».

 Jeudi 26 février 2004 :

 

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Il fait un froid de canard ! Nous nous baladons à Montmartre, visite du musée Grévin  et retour boulevard Saint-Michel. Le soir, nous assistons au spectacle de Michel Galabru au théâtre Marigny et nous finissons la journée en remontant les Champs Élysées jusqu’à l’Arc de Triomphe.

 

Vendredi 27 février 2004 : nous écourtons notre séjour car je suis prise d’un violent mal au dos et Julie est enrhumée. Dans le train je suis obligée de faire tout le parcours debout car je ne peux pas m’asseoir au risque de ne plus pouvoir me relever !

 

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Mercredi 3 mars 2004 : je déjeune avec Claude, le meilleur copain de mon mari. On ne s’était pas vu depuis plusieurs mois. Ces rencontres sont toujours très nostalgiques car on évoque bien sûr nos souvenirs communs. Et Dieu sait s’il y en a, nous nous connaissons depuis plus de trente ans ! Il y en a toujours un des deux, quand ce n’est pas tous les deux ensemble, qui laisse couler quelques larmes. (Ce sera la dernière rencontre. Claude est mort en novembre 2010).

  Vacances de Pâques, du 16 avril au 2 mai :

« En avril, ne te découvre pas d’un fil ! »

Effectivement, le temps de ce printemps est pourri : froid, bourrasques de vent et pluie ! Tout le monde – ou presque - est parti : Maria s’en est allée au Portugal, Peggy va en Savoie avec Thierry

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Et moi … Eh bien je pars aussi ! Où ? Je pars  … Oh, et puis, flûte, je vous le dirai la prochaine fois !

À suivre

jeudi, 11 août 2011

169. Bilan d'une décennie -21-


podcast

Vous vous souvenez peut-être de la chanson de Sheila : c’est ma première surprise- partie, c’est ma première surprise- partie …

Eh bien, en ce début septembre 2003, je me plais à chantonner sur le même air : c’est ma dernière rentrée scolaire, c’est ma dernière rentrée scolaire !

Je vais enfin quitter les bancs de l’école. Si l’on récapitule, en supprimant les deux années de fac, j’aurai passé près de quarante ans à l’école. Ça laisse obligatoirement des séquelles sur la personnalité. Mon mari me faisait souvent remarquer que j’avais une fâcheuse tendance à prendre les gens pour des élèves.

— Tu n’as pas besoin de m’expliquer, je ne suis pas un de tes élèves !

C’est l’année dernière que j’ai eu ma décision à prendre : soit je continuais afin d’obtenir une pension de retraite complète (soit 75% du salaire des dix dernières années), soit je m’arrêtais l’année de mes 55 ans, c'est-à-dire en juin 2004 et dans ce cas-là, je touchais 71% du salaire.

La décision fut vite prise : je m’arrête ! 

Au final, j’ai exercé ma profession durant 35 années, j’ai eu le privilège de faire un métier qui m’a toujours plu et je n’ai pas fait de dépression nerveuse, maladie fréquente chez les enseignants. Je m’en tire donc plutôt bien !

Mais revenons aux évènements de ma vie.

 

Vendredi 31 octobre 2003 : ce sont les vacances de la Toussaint et je vais à Paris avec Peggy voir l’exposition Gauguin qui se tient au Grand Palais. Ces grandes expos parisiennes attirent toujours un monde fou et la visite n’est pas toujours aisée. Nous allons ensuite à l’Institut du Monde Arabe pour voir une autre exposition de tableaux de peintres orientalistes. Déjeuner au Buffalo, situé juste à côté. L’après-midi, nous avons rendez-vous devant l’opéra avec une cousine par alliance que nous n’avons encore jamais rencontrée. À la soirée, Peggy rejoint son amie Nathalie et moi je retrouve Michel. Nous passons la soirée au cinéma puis nous dînons dans un restaurant marocain, boulevard Saint-Marcel.

 

Novembre 2003 :

Si en novembre il tonne, l’année sera bonne (Anjou)

Quand en novembre il a tonné, l’hiver est avorté (Calvados)

À la Saint Montan, l’olive va descendant.

 

Samedi 1er novembre 2003 : Balade dans Paris. Michel m’emmène voir le Forum des Halles. Je ne pensais pas que c’était si grand, il y a même une piscine. Il faut dire que j’en étais restée aux Halles d’avant la démolition.

 

Dimanche 2 novembre :

Opération balance ! J’ai commencé un régime en avril dernier, ayant quelques kilos à perdre. Je pesais en effet 72,5k et il était temps de prendre les choses en mains. Pour cela j’étais allée voir une gastro-entérologue qui m’avait déjà prescrit un régime quelques années auparavant. Je suis motivée et j’applique ses consignes à la lettre. Aussi suis-je ravie quand je constate que la balance indique 64 kilos !

(Depuis cette date, mon poids s’est stabilisé et oscille entre 63 et 65 kilos. Je ne suis pas une obsédée de la balance –comme une amie qui se pèse tous les jours et pousse des cris d’horreur quand elle constate qu’elle a pris 100 grammes !- mais je vérifie une fois par semaine afin d’éviter d’avoir à reprendre un régime. L’idéal, vue ma taille,  serait sans doute d’être à 58 kilos, mais bon …)

Et puis, les vacances de Noël arrivent :

Vendredi 19 décembre :

Juste après la classe, un taxi vient me prendre à la maison et me conduire à la gare de Saint-Pierre-des-Corps. Je retrouve Michel qui m’attend à la gare Montparnasse et nous filons gare de l’Est. Vers minuit, nous arrivons à Strasbourg ! J’ai réservé une chambre pour deux nuits.

 

Samedi 20 et dimanche 21 décembre 2003 :

 

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Nous passons deux jours à Strasbourg durant le marché de Noël. C’est une véritable féerie ! Les boutiques sont merveilleusement décorées, il règne une ambiance magique à cette période de l’année. Durant ces deux jours, nous n’avons pas chômé : balade en bateau sur l’Ill, flânerie dans les ruelles de la Petite France, le vieux quartier de Strasbourg, visite du musée alsacien, exposition de livres à la Chambre de Commerce. J’en profite pour acheter « Mon village », de Jean-Jacques Waltz (alias Hansi) et « À la guerre comme à la guerre », de Tomi Ungerer, tous deux dessinateurs et alsaciens.

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Nous dinons au restaurant Zum Strissel.. Ai-je besoin de vous dire le menu ? Choucroute évidemment !

C’est presque à regret que nous quittons Strasbourg en début d’après-midi, le dimanche.

(Cette année, j’ai eu envie d’y retourner, mais je m’y suis prise trop tard pour la réservation d’une chambre. Tout était complet).

 Mercredi 24 décembre 2003 :

Réveillon de Noël à la maison avec Peggy. Après le dîner, nous regardons une vidéo des Muppetts.

 Et l’année 2003 se termine en douceur. Comme d’habitude, je réveillonne avec mes chats, devant une compote de pommes et des petits fours ! Quand sonnent les douze coups de minuit, il y a belle lurette que je suis couchée et que je dors à poings fermés.

 À suivre

168. Incroyable, mais vrai !

Le site Facebook propose de nombreux jeux virtuels et -sans doute pour avoir plus d'audience- il a converti certains jeux en français (entre autres, Cityville). Rien à redire jusqu'à présent.

Mais, il y a environ dix minutes, je découvre un nouveau jeu. Il m'a fallu quand même un certain temps pour arriver à comprendre le sens. Voici le texte :

" Choysis tom Chevauchie ! De nombreur chevauchies tentissent de conquérer ton cuer de princée ! "

Diable, où vont-ils chercher leurs traducteurs ?

Je traduis, au cas où vous ne comprendriez pas totalement :

Choisis ton chevalier ! De nombreux chevaliers tentent de conquérir ton cœur de princesse !

Le pire dans cette affaire, c'est que je suis certaine que beaucoup de gens ne vont même pas s'apercevoir que c'est bourré de fautes !

Comment a-t-on pu en arriver à un tel niveau orthographique ? Ma grand-mère, qui pourtant n'a pas fréquenté régulièrement l'école primaire et en est partie à douze ans, doit se retourner dans sa tombe.

mercredi, 10 août 2011

167. Bilan d'une décennie -20-


podcast

Août 2003 :

Michel a pris quelques jours de vacances et nous allons dans le sud. Il a  un ami qui nous prête sa maison à Figanières, près de Draguignan. Nous effectuons le trajet en TGV et une fois sur place, nous louons une voiture. C’est la première fois que je vais en Provence et c’est une découverte. Nous arrivons le 4 août, il fait déjà très chaud ! La maison de son ami est tout en hauteur (quatre niveaux) avec une ou deux pièces à chaque étage. Figanières est un village de Provence, tel que je me les représentais, avec sa fontaine sur la place… Son ami est parti s’installer dans une bergerie qu’il possède dans l’arrière pays. C’est d’ailleurs là que nous dînons le soir :  la bergerie ne possède ni l’électricité ni l’eau courante. Heureusement qu’une source se trouve juste à proximité et qu’il a une réserve d’eau. Pour y accéder, il faut quitter la route goudronnée et s’enfoncer dans la pinède sur plusieurs kilomètres en empruntant un chemin de terre. L’endroit est à haut risque d’incendie ! À la nuit tombée, de la terrasse on peut apercevoir au loin les lumières de Cannes et des autres villes.  Néanmoins, ce n’est pas un endroit où j’aimerais habiter.

Mardi 5 août :

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Nous allons à Grasse visiter le musée de la parfumerie, puis petit détour par Saint-Paul de Vence pour une visite de la fondation Maeght. Là, nous pouvons admirer – entre autres -de belles  sculptures signées Miro, Giacometti etc.

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Nous rejoignons ensuite la côte à Cannes et nous dînons sur le port de Saint-Raphaël.

 

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Mercredi 6 août : au programme, les gorges du Verdon puis Moustiers Sainte Marie. Le temps est de plus en plus chaud et un violent orage éclate au moment où nous arrivons au lac de Sainte Croix.

 

 

voyage,provence,prague

 

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 Jeudi 7 août : balade à Fréjus et visite des arènes romaines. Il fait horriblement chaud et nous rentrons en début d’après-midi pour nous mettre à l’ombre !

Le soir, nous invitons l’ami de Michel et sa famille au restaurant.

Vendredi 8 août : départ de Draguignan à midi. Arrivés gare de Lyon, il ne nous reste plus qu’à traverser la Seine pour reprendre un train à Austerlitz. Et tout ça au pas de course car on a seulement une dizaine de minutes avant le départ du train !

Le train est bondé et la climatisation en panne. Les gens sont au bord de l’asphyxie. Michel descend à Orléans et je continue cet horrible voyage en train jusqu’à Tours où j’arrive vers 23h. Au-dehors, il fait une chaleur incroyable, on est largement au-dessus des 30°…

Ce n’est que quelques jours plus tard que les médias  parleront de la mortalité due à la canicule …

 Jeudi 14 août : me voici de nouveau à l’aéroport de Roissy. Je pars à la découverte de la ville de Prague, en république tchèque. Cette fois-ci, je me suis débrouillé toute seule pour organiser mon voyage. Via Internet, j’ai retenu une chambre dans une pension située non loin du centre, tout près du château. Ce que je ne savais pas, c’est que ça grimpe !  

Je reste à Prague jusqu’au 22 août, il y a tant de choses à voir et à faire dans cette ville magnifique, si riche historiquement et culturellement.  Je n’ai pas tenu de carnet de voyage car je quittais l’hôtel tôt le matin et ne rentrais que le soir, totalement exténuée par la marche à pied. Munie du guide du routard, j’arpente donc Prague en long et en large, m’accordant des pauses musicales dans les nombreuses églises.

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Et puis je fais la connaissance de Vera ! Nous avions échangé quelques mails lorsque je cherchais une chambre à louer. Nous avions alors sympathisé et convenu de nous rencontrer durant mon séjour. Ce fut chose faite et elle m’invite à  déjeuner dans un bon restaurant (le restaurant Pivovar ?).

On ne peut évoquer Prague sans faire référence à l’écrivain Kafka, au peintre Alfons Mucha ou encore au musicien Antonin  Dvorak. Durant cette semaine praguoise je suis donc plongée dans un bain de culture et je n’ai vraiment pas le temps de m’ennuyer. Je m’inscris également à une excursion pour aller visiter la ville forteresse de Terezin (l’ancienne Theresienstadt) qui fut transformée en camp de concentration durant la seconde guerre mondiale. La visite débute par la forteresse puis se termine dans la ville. Il règne une ambiance étrange dans cette ville, on a l’impression que des fantômes la hantent. Je me sens soudainement très mal à l’aise.

Je reviens enchantée de ce périple dans la capitale tchèque. Finalement, une semaine ne fut pas de trop. Seul bémol : l’affluence considérable des touristes qui transforment  la traversée du pont Charles en un véritable parcours du combattant. 

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 Le dernier week-end d’août, Linda –que j’ai connue durant mon séjour en Tunisie-  vient à la maison. Je l’emmène le lendemain à Chinon, puis au château du Rivau. Nous avons correspondu pendant près de trois ans, puis, peu à peu, les lettres se sont espacées. Lors des récents évènements en Tunisie, j’ai repensé à elle et en fouillant dans mon bric-à-brac, j’ai retrouvé son numéro de téléphone. Je l’ai aussitôt appelée pour avoir de ses nouvelles. Elle n’a toujours pas d’ordinateur et j’ai perdu l’habitude d’écrire, alors …

 Septembre 2003 : qu’y a-t-il de spécial tous les ans en septembre ? Les vendanges, oui, mais encore ?

Vous le saurez au prochain numéro !

08:46 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : voyage, provence, prague

mardi, 09 août 2011

166. Bilan d'une décennie -19-


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Jeudi 17 avril 2003 : je me suis inscrite pour une excursion d’une journée. Nous partons tôt le matin pour Tunis. Le temps est malheureusement gris et il pleut un peu. Nous faisons un tour de ville en bus (dont je n’ai aucun souvenir), puis le guide nous emmène dans la Médina. Elle est vaste  et je suis surprise de voir qu’il y a un plan affiché à l’une des entrées.

Le chapelier :

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Nous déjeunons dans le quartier de la Goulette puis en route pour Carthage et ses ruines. Les ruines étant disséminées ça et là, nous ne visitons qu’une petite partie du site, à savoir le tophet de Salammbô (cimetière où furent enterrés des enfants) et le parc des thermes d’Antonin. Ce parc jouxtant la demeure présidentielle, il nous est interdit de photographier !

La journée se termine par une promenade dans la très jolie petite ville de Sidi-Bou-Saïd où les maisons aux murs crêpis ont toutes – ou presque- des ouvertures peintes en bleu. Il paraît que le chanteur Patrick Bruel y possède une maison.

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Vendredi 18 avril 2003 :

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Excursion à Nabeul et Hammamet. Linda s’est inscrite également à cette sortie. Le soleil est revenu et ce fut une très agréable journée !

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Dans l’ensemble, ce voyage fut très agréable et je projette de faire le sud tunisien un jour ou l'autre.

Samedi 19 avril 2003 : c’est le jour du retour, lever à 4h du matin. J’ai réussi à caser le tapis dans ma valise, mais par contre je dois acheter un immense sac de sport pour mettre le reste des vêtements. Dans le coup, comme ça me fait deux bagages, Linda enregistre  la valise à son nom.

Nous arrivons à Orly vers 10h. Michel est venu me chercher et me raccompagne en voiture jusqu’à Tours.

 Mardi 29 avril : Peggy revient de la Martinique où elle était allée pour le mariage d’une amie.  Encore une chance qu’elle ait été prévenue de la cérémonie un an avant, cela lui a permis de trouver un vol relativement bon marché ! Vous imaginez si la copine s’était mariée en Australie ?

Et les vacances d’été arrivent bientôt…

 Vendredi 18 juillet 2003 : j’emmène Maria et Roseline passer une journée à La Rochelle. Roseline connait une situation financière catastrophique, suite à son récent divorce, et pour arranger les choses, sa voiture est bonne pour la casse. Avec une autre copine, on lui avance l’argent pour l’achat d’une voiture d’occasion, une petite Ford Fiesta qui a déjà un kilométrage important mais qui a toujours été bien entretenue. Je crois d’ailleurs qu’elle roule encore !

Vendredi 25 juillet 2003 : petite virée à Paris en compagnie de Michel. Au programme : visite de Montmartre, puis balade sur les quais de la Seine et l’exposition Lartigue à Beaubourg. Le lendemain, il pleut des cordes. Nous allons visiter le musée de l’Air au Bourget.

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Fin juillet, Michel m’emmène à Rochefort pour visiter la Corderie Royale et voir le chantier de la caravelle l’Hermione. Le soir nous dormons à Brouage. Étonnante cette petite ville de Brouage qui autrefois donnait directement sur la mer, alors qu’aujourd’hui elle se trouve en plein milieu des terres.

(Je suis retournée à Rochefort en 2007 pour voir où en était la construction de la caravelle. Sa mise à l’eau est prévue pour juin 2012).

 À suivre