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vendredi, 15 octobre 2010

390. Escapade en terre bretonne, épilogue.

Samedi matin, je fais ma valise. Mon séjour sur l'île arrive à son terme. Quelques dernières photos, dont celle-ci pour mettre sur le diaporama :

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Le Melvan arrive vers 10h45.

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Débarquent alors plein de gens avec des cages dans lesquelles se trouvent des rapaces. Gare à vous petits lapins ! Restez bien planqués sous les fougères car le week-end ne sera pas de tout repos.

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Bientôt nous quittons l'île. C'est toujours très émouvant un départ en bateau même si l'on sait que l'on peut revenir.

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 La liaison est directe jusqu'à Quiberon avec une très légère houle. Derrière moi dans la cabine, une dame commençait à stresser et n'arrêtait pas de questionner son mari :

— T'as vu, le bateau  passe à gauche de la bouée ! Ce n'est pas normal, d'habitude il passe à droite ! ... Oh regarde, les rochers sont tout près ! D'habitude on ne les voit pas ! ...

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Elle aurait bien fini par me ficher la frousse.

Je quitte Quiberon à 12h30 et j'arrive à Tours vers 16h30. Je me fais inviter alors pour le café chez Thierry et nous dégustons un far aux pruneaux.  

jeudi, 14 octobre 2010

389. Escapade en terre bretonne -4-

Durant les deux jours qui suivirent, je parcourus l'île en long, en large et en travers, à la découverte de la flore et de la faune. Cependant le temps consacré à la marche diminua quelque peu. De six heures je passai bientôt à cinq, puis à quatre.

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Je fis également un tour dans le troquet du coin, La Trinquette. Difficile de passer inaperçue dans un lieu où tout le monde se connait. J'eus en plus l'idée saugrenue -qui me paraissait pourtant aller de soi- de réclamer un café. La jeune fille derrière le comptoir me regarda avec un air ahuri puis me rétorqua d'un ton navré :

— Bah, on n'en a pas !

J'aurais dû effectivement penser que sur une île comptant environ 90 habitants en hiver, elle n'avait sûrement pas l'occasion de servir beaucoup de café. C'est comme la boulangère avec ses croissants !

Bref, je repartis en vadrouille, allant jusqu'à me perdre au milieu de l'île. Par chance je trouvai un habitant qui, lorsque je lui demandai le chemin du bourg, me répondit :

— Bah, c'est tout droit, suivez le chemin ! 

 Évidemment, j'aurais dû songer que tous les chemins ramenaient au centre du village...

Eh bien, vous savez quoi ? J'ai eu l'impression de me retrouver à l'étranger. J'étais plus paumée qu'en plein milieu d'Istanbul ou bien encore dans les ruelles inextricables de Marrakech. Comme quoi, il n'y  a pas besoin d'aller bien loin pour trouver le dépaysement total !

mercredi, 13 octobre 2010

388. Escapade en terre bretonne -3-

Après la sieste, je reprends ma balade et j'entame la seconde moitié de l'île à partir du port. Et là, soudainement, je vois se profiler au loin, entre l'amer et la dune, un magnifique trois-mâts qui s'approche lentement de la côte. Regardez bien la photo, vous l'apercevez ?

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La couleur de sa coque -bleue et blanche- ne m'est pas inconnue. Et soudainement, comme le commissaire Bourrel dans "Les cinq dernières minutes" je m'exclame : Mais, c'est bien sûr !

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Il s'agit du Belem, le magnifique voilier de la flotte française. Je reste un long moment à le regarder. Il s'approche assez près de la côte, se fige, puis reprend sa course et disparait derrière la dune.

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Le soleil décline décline peu à peu quand je rejoins la maison trois heures plus tard.

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À suivre

 

02:35 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : mer, ile, hoedic, bretagne, morbihan

mardi, 12 octobre 2010

387. Kézako ?

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Eh bien ça, mesdames et messieurs, c'est la photo de l'hôtel où je viens tout juste de réserver une chambre pour deux nuits.

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J'ai eu soudainement l'envie de revoir le marché de Noël à Strasbourg. Hélas, il n'y a plus aucune place disponible dans les hôtels du centre. La dernière chambre venait d'être prise deux heures avant que je me connecte !

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(Vous noterez au passage les deux fautes d'orthographe sur la banderole blanche).

Comme je n'ai pas envie de me retrouver à plus de six kilomètres du centre, j'ai donc changé de lieu et me voici maintenant à Colmar !

Pour y aller, je vais prendre le TGV qui est direct de Saint-Pierre-des-Corps jusqu'à Strasbourg.

— Et tu comptes y rester combien de temps ?

— J'arrive le mardi en début d'après-midi et je repars le jeudi matin. Ça va être un peu le forcing, mais bon, j'aime bien ça .Ce n'est pas que je ne veux pas rester plus longtemps, mais les chambres sont quand même hors de prix à cette période.

— Et quand pars-tu ?

— Le mardi 14 décembre !

386. Le casse-cailloux

Autrefois on donnait le surnom de  "casse-cailloux" au  tailleur de pierre. À Tours, il existe un casse-cailloux, mais cela n'a plus rien à voir.

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