97. Le vieux Tours en photos

On ne peut pas parler du vieux Tours sans évoquer l'architecte Pierre Boille qui fut à l'origine de la restauration de ce quartier en bien piteux état avant 1960. Mais j'en ai pourtant de très bons souvenirs : les vieilles boutiques de la rue du Grand Marché, le restaurant "Chez Ali", le brocanteur Bettina etc...

Je viens de terminer mon diaporama et je m'aperçois que j'ai oublié quelques photos. Les voici donc :

Si vous observez bien la photo suivante, vous devriez apercevoir une date inscrite dans les briques : 1962. Il s'agit de la date à laquelle cette maison -située place Plumereau- fut restaurée.

Enfin, pour répondre à la question de Dadavidov, la bigoudène se cache ICI.

Voici donc le diaporama. Afin d'éviter les ennuis avec YouTube, j'ai mis en fond musical un morceau composé par Peggy. Bon, ce n'est pas le tout, mais j'ai du ménage à faire !

96. Déambulation dans le vieux Tours

Avais-je besoin de m'inscrire à une sortie organisée dont le thème était « visite du vieux Tours » avec pour objectif la photographie ? Certainement pas depuis le temps que j'arpente la ville en long et en large. Mais justement, je pensais assez naïvement que c'était l'occasion d'observer avec un œil nouveau.

Nous étions 13 à cette sortie. Nous avions rendez-vous sur la place du Grand Marché, aux pieds de l'affreux monstre qui dénature le lieu. Très vite, chacun est parti à l'assaut ... chacun de son côté sans aucun échange. Bon, pas grave ! Je me suis alors recentrée sur mes points d'intérêt, à savoir :

Les gens. À part le groupe habituel de clochards qui squatte la place Plumereau,  je suis restée sur ma faim.

Les portes et fenêtres :

Les ferronneries :

Quelques magasins :

Quelques sculptures (pierre et bois) sur les maisons :

Quelques photos insolites :

Nous avons terminé la journée devant un pot au Bureau et comme personne n'avait rien à se dire, j'ai regardé un peu le match de rugby sur l'écran géant situé dans la salle puis je me suis éclipsée discrètement au bout d'une demi-heure.

Je prépare un diaporama que je mettrai en ligne dans la journée.

94. À la rencontre des oiseaux migrateurs

Ce matin je vous propose une balade sur les bords des étangs du Louroux. J'y suis allée hier faire quelques photos en compagnie de Christine et d'autres membres d'OVS. Un guide nous accompagnait pour nous montrer les différents oiseaux présents sur l'étang et nous donner diverses explications. Il est encore un peu tôt dans la saison, cependant nous avons pu observer de belles aigrettes blanches, quelques foulques, des hérons cendrés qui se cachaient dans les roseaux, des cygnes en vol, des canards bien sûr et puis aussi des ... et des ... (trou de mémoire !). C'est frustrant de voir de si beaux oiseaux et de ne pouvoir les photographier de près. Enfin j'ai tout de même réussi à faire un montage. La balade a duré près de trois heures et au retour Christine et moi avions un léger coup de pompe ! Pour ma part, je me suis allongée en arrivant à la maison et je ne me suis réveillée qu'à 19 heures. Inutile de vous dire qu'après je n'avais plus envie de dormir.

Aujourd'hui je vais faire des photos dans le vieux Tours. C'est la fin de l'hibernation.

404. Le café gourmand

Ce matin à 11h, coup de téléphone :

Allo, Danielle ? Je suis avec Jeanne d'Arc et je t'attends !

Jocelyne ! Nous avions dit à midi trente ! Bon, tu as de la chance, je suis prête, je pars tout de suite !

Quelques trente minutes plus tard, je retrouvais donc mon amie Jocelyne sur la place Jeanne d'Arc à Chinon. Nous ne nous étions pas revues depuis le mois d'août. J'ai profité de cette rencontre pour lui remettre le livre sur Arcachon que Catherine m'avait confié.

Puis nous sommes allées déjeuner. Vous connaissez le café gourmand ? Un délice...

J'avais ensuite rendez-vous à la Devinière pour une visite organisée par Christine. Jocelyne m'a donc accompagnée. Et là bas j'ai eu la surprise de retrouver Maryse, une ancienne collègue de travail, et puis il y avait aussi M..., que je n'avais pas vu depuis deux ans. Décidément le monde est parfois bien petit !

Je me suis discrètement éclipsée vers 16h30 parce que j'étais fatiguée et je me lasse très vite des bavardages.

Si vous passez sur ce blog par hasard, je précise que La Devinière est la maison où François Rabelais passa toute son enfance. C'est à Seuilly, près de Chinon :

391. Éclaircie et belles voitures

C'était hier matin à Montbazon :