lundi, 17 septembre 2007
Transat 6.50
Eole, d'après Joëlle Deroubaix.
Eole n'était pas au rendez-vous hier pour le prologue ! Ce n'est que partie remise...
A suivre
07:40 Publié dans Evènementiels | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : voile, transat
Une journée bien remplie (fin)
Après cette simili-croisière, j’ai repris la voiture et me suis dirigée de l’autre côté du chenal. Sous un autre blockhaus se trouve amarré l’ancien sous-marin français, « Espadon ».
Là encore les photos ne sont pas permises. La visite s’effectue librement avec un audio-guide. J’étais seule à bord et pour un peu, j’aurais bien eu la pétoche !
Claustrophobes, évitez cet endroit.
En ressortant, j’ai continué sur la droite et là, je me suis retrouvée en plein dans les chantiers navals. Actuellement les ouvriers travaillent sur un paquebot de croisière, le MSC-Poésia qui devrait être mis à l’eau en 2008. Je me suis arrêtée pour prendre quelques photos de ce monstre. C’est très impressionnant ! Je compte bien revenir pour faire une visite plus détaillée. Cela est possible sur réservation auprès de l’office de tourisme.
Ensuite ? Je suis rentrée tranquillement sur Tours où je suis arrivée vers 20h.
Vendredi après midi, Juju est venue me voir et nous sommes allées visiter la réserve de gibiers située à Autrèche. Une visite écourtée car nous n’avions pas assez de temps, mais nous devons y retourner prochainement.
Samedi, à l’occasion des Journées du patrimoine, l’arboretum de la Martinière à Veigné ouvrait ses portes pour une visite guidée. J’ai ainsi fait la connaissance du propriétaire du site, Michel Davo. Grâce à lui, je vais pouvoir reprendre la peinture car il m’a indiqué une adresse.
Enfin, hier après midi, j’ai emmené mon amie Roseline visiter le château du Rivau à Lémeré. Ce fut l’occasion de photographier des cucurbitacées et des coloquintes de toutes couleurs et de toutes formes.
Ce matin enfin, j’ai rendez-vous chez le dentiste qui doit m’arracher une molaire. Ça, c’est déjà beaucoup moins réjouissant et je vais m’y rendre à reculons. Vivement midi que ce soit fini !
07:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 16 septembre 2007
Une journée bien remplie (3)
Je n’étais pas venue à Saint-Nazaire depuis 1971, c’est dire que je n’ai rien reconnu, occupée surtout à bien suivre le fléchage pour aller directement à la base sous-marine. Cette base fut construite par les Allemands durant la guerre afin de mettre les sous-marins à l’abri. Il y a une trentaine d’années c’était une zone plus ou moins à l’abandon. Depuis 2000 un gros effort a été fait pour revaloriser l’endroit, faute de pouvoir démolir les blockhaus.
Rénovation en cours pour cette ancienne bâtisse. Tout autour c’est un vaste chantier de constructions.
J'embarque pour l' Extrême-Orient à bord d’un paquebot. Monter la passerelle me prit un certain temps, mais me voici enfin à bord.
Accueil chaleureux des membres d’équipage. On s’y croirait vraiment ! La jeune femme me rassure en me précisant que mes bagages sont déjà dans la cabine. Ouf…
Bientôt le paquebot quitte le quai sous les regards émus des gens restés à quai et qui agitent leur mouchoir.
Durant le voyage qui nous emmène au Japon, nous faisons escale à Port-Saïd, puis nous empruntons le canal de Suez, ensuite escale en Inde, puis à Colombo,et en Indochine…
Nous sommes une petite dizaine de personnes à participer à cette reconstitution et très vite je prends de l’avance dans la visite afin d’être tranquille et de pouvoir rêver en paix.
Ce qui m’a le plus impressionnée est la traversée du pont, de nuit, par un temps extrêmement venteux et froid. J’étais tellement prise dans l’action que j’ai dû me cramponner et m’éloigner du bord par crainte de passer par-dessus.
Enfin me voilà au bar : c’est la réplique fidèle du bar du « France » et je me suis perchée sur un des hauts tabourets pour déguster un moka d’Ethiopie. J’ai eu le temps de discuter avec l’employé qui « joue »le rôle du barman avant que les autres n’arrivent.
La visite se termine par la projection d’un film, quand soudain les sirènes retentissent, des lumières rouges clignotent, le navire coule ! Un marin vient nous chercher précipitamment et nous fait embarquer dans des chaloupes qui descendent le long de la coque.
Fin du voyage !
J’avoue que j’ai été emballée par cette visite. Une très belle collection de cartes postales retrace la vie à bord de ses paquebots de rêve, ainsi que des vues des différents pays traversés. J’ai regretté l’absence de Juju… Il faudra qu’on y retourne ensemble ! Chaque année, le thème proposé sera différent. Mais j’avoue que cette traversée vers l’Asie m’a passionnée.
8 février 1946 : escale à Port-Saïd. J’ai repensé à mon père qui avait fait le même trajet, mais dans d’autres circonstances.
Je n’ai malheureusement pu prendre aucune photo car c’est interdit. J’ai juste une carte postale de la salle à manger. Le bar se situe tout en haut de l’escalier.
Mais le temps passe et j’ai encore d’autres choses à découvrir.
A suivre…
10:25 Publié dans C'est en France | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : port, paquebot, croisiere
Rien de tel qu'un bon bain...
08:35 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sanglier, cochon
samedi, 15 septembre 2007
Une journée bien remplie (2)
C’est le jour du marché. En cette belle journée de septembre il y a encore beaucoup de touristes qui flânent sur le port.
On peut apercevoir les (belles) Croisicaises à leur fenêtre.
Les souvenirs ressurgissent… Je connais bien Le Croisic pour y avoir passé de nombreuses vacances d’été chez ma tante qui avait un appartement à Port Lin.
Elle habitait le rez-de-chaussée de cette grande maison qui est face à la mer. A l’époque la maison était recouverte de vigne vierge. Aujourd’hui la façade a été ravalée et la végétation a disparu.
Le port est toujours aussi animé, l’ancienne poissonnerie est en cours de restauration et juste en face se dresse toujours l’ancien grand hôtel dont j’ai oublié le nom de l’époque.
Les amours de jeunesse reviennent à la surface. Et si je croisais Yann ? Je venais de lire « Pêcheur d’Islande » et avec ma fougue romantique, j’étais tombée amoureuse d’un marin pêcheur, un grand gaillard au visage couvert de taches de rousseur et dont la peau avait un goût de sel… Mais je m’égare.
Je quitte Le Croisic après avoir fait le tour de la côte sauvage. Je suis quand même surprise de voir que là aussi les promoteurs n’y ont pas été de main morte. Par contre, un chemin bien balisé a été mis en place du côté de la mer.
Me voici maintenant à La Baule. Le ciel est radieux, il est bientôt midi. Je trouve une place pour garer la voiture en bord de mer et finalement je décide de m’arrêter.
La plage de la Baule est la plus grande d’Europe, enfin il me semble. Une plage de sable fin qui s’étend sur plus de neuf kilomètres et qui pénètre en douceur dans la mer.
L’architecture mélange l’ancien et le moderne. J’ai souvent râlé après les constructions modernes qui, à mon avis, dénaturaient le site. Mais tout compte fait, en y regardant de plus près, l’ensemble est quand même assez esthétique. L’avenue qui longe la plage a été réaménagée pour laisser de la place aux piétons et aux cyclistes.
Je suis garée dans la partie extrême de la baie, tout près du Pouliguen. C’est l’endroit que je préfère. C’est là aussi que se trouvent les plus beaux « vieux » hôtels, l’Hermitage, le Majestic ou encore le castel Marie-Louise.
La marée est basse et les ramasseurs de coques sont nombreux.
Je déjeune dans ce petit restaurant situé sur la plage, face à la mer.
Et maintenant ?
Prochaine escale à Saint-Nazaire…
A suivre
D'autres photos vous attendent ICI
05:25 Publié dans C'est en France | Lien permanent | Commentaires (2)