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lundi, 20 août 2007

Pendant ce temps...

... Il y en a qui s'envoient en l'air, oui, oui, je dis bien " qui s'envoient en l'air ". En voici d'ailleurs la preuve en photos :

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Après un envol sans problème , survol de la Loire, passage au-dessus du château de Chaumont.686019548c81a1da4b09f4393b6d4d6d.jpg

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Mais qui sont donc ces veinards qui vont ainsi se balader dans le ciel ? Vous reconnaitrez Juju et Olivier.c2a1f040c761a85afdd382648ff8b70e.jpg

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Tu as bien raison d'être songeuse Julie, on le serait tout autant devant ce magnifique coucher de soleil ! 

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Manquait plus que ça !

Il y a des jours comme ça où l'on ferait peut-être mieux de rester au lit...

Ce matin vers 11h30, je mets la machine à laver en route, un peu anxieuse. Au dernier lavage, j'avais eu la désagréable surprise de voir apparaître une petite mare d'eau sous la machine.Bon, ça ne loupe pas, l'eau réapparait bientôt, pas en flots monstrueux mais suffisamment pour m'angoisser. J'ai vite fait d'imaginer la cuisine transformée en piscine...

 Je me précipite dans le garage à la recherche de serpillières, puis je les place sous la machine. Je ne sais pas comment je m'y prends mais je ressors avec le majeur de la main gauche en sang ! La mare d'eau se transforme en flaque rouge, le sang pisse , j'en suis couverte très vite, mon pyjama uni ( oui, j'étais encore en pyjama !) devient vite un pyjama à gros pois rouges. Je me précipite dans la salle de bains, alccol à 90, le sang continue de couler. Un kleenex, deux, puis trois... ça coule toujours, je mets alors du mercurochrome en spray, le doigt toujours en l'air et j'attends.... J'attends.....J'attends ....Je retourne dans la cuisine, le doigt toujours levé, pour voir comment évolue la situation de ce côté-là. Bon apparemment, ça n'est pas méchant, c'est une petite fuite sans grande conséquence pour l'instant.

Alors, le doigt toujours en l'air, je retourne dans la salle de bain me faire un pansement, pas trop serré, et j'ai entrepris une toilette sommaire avec la main droite. C'est là que je me suis rendue compte, une fois de plus, que j'étais une gauchère contrariée. Me brosser les dents,  me peigner, c'est avec la main gauche habituellement.

Le saignement du doigt a cessé mais je sais que je dois faire très attention à ne pas appuyer dessus sinon, c'est reparti. Sale journée... 

13H20 : j'ai baissé le doigt. Et la machine a fini son essorage. Et les serpillières ne sont même pas mouillées.Quand je pense que j'ai failli perdre un doigt pour rien ! Sur ces bonne paroles, je vais aller manger un morceau du bout des doigts !

samedi, 18 août 2007

On est bien peu de chose...


podcast
 

Cinq jours absente de ce blog, et voici ma boite à lettres submergée de mails  s'inquiétant de ce silence... Non, la vérité est que tout le monde ou presque s'en fout totalement. Remarquez, je ne suis pas surprise. On est si peu de chose, on amuse la galerie un temps, et puis si on disparait, il y les autres qui sont là pour prendre le relais Ce ne sont pas les blogs qui manquent ! Il n'y a bien que moi à être assez naïve pour croire qu'un blog permet des échanges pouvant déboucher sur des amitiés.

Et puis, l'idée m'est venue de faire durer ce silence, histoire de voir la réaction des lecteurs. Le résultat n'a rien pour m'étonner. Pessimiste la Tinou ? Non, simplement réaliste. J'en profite pour remercier Peggy, Juju et Chloé d'avoir pris de mes nouvelles. J'étais à la maison, mais je n'avais rien à dire, ça peut arriver...

Cela me fait repenser à un blog qui est dans mes favoris. Je vais raconter cette anecdote pour ceux qui ne connaitraient pas l'histoire :

Parmi mes lecteurs, j'avais un assidu qui se faisait appeler Lidoire. Un Tourangeau, comme moi, sensiblement dans mes âges - enfin je le suppose. Nous avions très vite sympathisé, il aimait me taquiner et de mon côté, j'aimais beaucoup ce qu'il proposait sur son blog. Lidoire m'avait vue, il m'avait même photographiée à mon insu lors du Carnaval alors que je m'agitais avec mon chocalho... On échangeait par mails, il m'envoyait des airs de musique pour alimenter mon blog, il m'avait encouragé pour écrire des nouvelles. Nous avions convenu de nous rencontrer pour prendre un pot ensemble et faire plus ample connaissance en toute camaraderie.

En juin 2006, du jour au lendemain, il n'y eut plus de notes sur son blog. J'envoyai alors un mail pour avoir de ses nouvelles. Je n'eus aucune réponse. L'été passa et ce silence m'inquiétait. En octobre, je renvoyai alors un nouveau mail. Cette fois-ci, j'eus une réponse. Quelqu'un avait ouvert sa boite à lettres et répondu : c'est ainsi que j'appris que Lidoire était décédé en juin... 

Ainsi Lidoire est parti, emportant son secret avec lui. Je ne saurai jamais qui il était vraiment.

Je n'ai jamais pu effacer son blog qui est resté en ligne ICI. La mort de Lidoire m'avait beaucoup affectée et j'avais alors fait une note, ayant pour but d'en informer ses lecteurs tourangeaux qui étaient assez nombreux. Le silence qui en suivit me laissa effarée. On est si peu de chose aux yeux des autres... Ce n'est pas une découverte, une simple constatation. 

samedi, 11 août 2007

Ceux qui comptent pour du beurre

Une fois de plus, j'ai pu constater avec amertume que sur cette terre les hommes ne sont pas considérés de façon équivalente selon l'endroit où ils vivent.

« On ne choisit pas l'endroit où l'on nait », il faut bien s'en accommoder quand on ne peut vivre ailleurs.

Hier soir, j'ai regardé les informations ( je ne sais plus sur quelle chaîne, mais cela n'a pas beaucoup d'importance  à vrai dire), j'ai pu voir les dégâts causés par les brusques chutes de pluie dans le nord de la France, mais également en Suisse et en Alsace où le Rhin a atteint un niveau record. Beaucoup de dégâts matériels qui, par chance, seront à peu près couverts par les assurances même si cela prend du temps.

Ensuite on a longuement interviewé ces malheureux vacanciers français qui  voient leurs vacances gâchées par une météo capricieuse et qui ne savent pas comment occuper leurs journées. Pour un peu, on en aurait pleuré !

Le journal arrivait presque à son terme quand un reportage survient alors. Il s'agit des moussons dans le sud et l'ouest de l'Inde. Quelques cinq cents morts, plus de quatre mille sans-abris, des gens livrés à eux-mêmes, n'ayant plus de toit, plus à boire et à manger, qui croupissent dans des eaux porteuses de toutes les contagions possibles. Je m'attendais à voir apparaître un numéro de téléphone ou une éventuelle adresse d'un organisme humanitaire demandant l'aide nécessaire pour aider ces malheureux. Mais RIEN !

Alors là je ne comprends plus bien. Il y a peu, il me semble que le monde entier s'était mobilisé pour un tsunami dévastateur. Il est vrai que les circonstances étaient un peu différentes. Il y avait sur place beaucoup d'étrangers venus passer leurs vacances d'hiver au soleil. Aujourd'hui cela n'est pas le cas. Pas de clubs de vacances dans cette région...

La Croix Rouge cependant a lancé un appel, mais il est bien discret, il faut le chercher un moment avant de le trouver.

D'ailleurs, pour en revenir au tsunami, saviez-vous qu'une grande partie des fonds récoltés n'ont pas été employés, ou alors de façon irresponsable, comme par exemple la construction de bateaux pour les pêcheurs, bateaux absolument inadaptés à leur mode de pêche ! Les organisations humanitaires ont joué à une surenchère déplacée et honteuse.

Si dans cette région du monde il y avait eu une plétore de vacanciers occidentaux, l'information eût-elle été la même ?

vendredi, 10 août 2007

Code secrets et digicodes

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je trouve que nous sommes de plus en plus dépendants des codes secrets pour tout ce qui nous entoure. Avec les problèmes que cela peut provoquer quand, comme moi, on a parfois des trous de mémoire !

C'ets ce qui m'est arrivé ce matin. Depuis quelques temps mon portable était éteint. Afin de vérifier si j'avais reçu des messages ( aucun d'ailleurs), je m'apprête à entrer le code et là, brusquement, sans raison apparente c'est le trou de mémoire... Rien de rien, peut-être un 9 et un 8, mais encore je n'en suis pas certaine ! Au bout du troisième essai infructueux, l'entrée du téléphone est bloquée. Allons bon, me voilà bien ! A partir du fixe j'appelle donc SFR. Au bout d'un certain temps, une voix finit par me répondre. J'explique mon souci, elle me demande mon numéro de portable ainsi que mon nom et finit par me dire :

« Vous rappelez le numéro car je ne peux donner suite à votre demande, étant occupée à traiter un autre dossier.» Que ne l'a t -elle dit plus tôt !

Deuxième appel. Cette fois-ci, je tombe sur une jeune femme charmante et le problème est solutionné. Dans le coup, j'ai pu choisir un numéro plus facile à mémoriser.

Toujours en rapport avec les codes, un réparateur est enfin venu cet après midi pour réparer le digicode d'accès à la résidence où j"habite. Jusqu'à présent cela ne m'avait jamais posé de problème car je pouvais ouvrir avec une carte magnétique. C'était trop beau pour durer. Finie la carte, maintenant on doit obligatoirement taper un nombre à quatre chiffres. Non seulement il faut mémoriser ce code, mais en plus il change tous les deux ou trois mois !