lundi, 20 octobre 2008
Un peu de tout, en vrac
Vendredi, assez tard dans la soirée, je me suis retrouvée devant la télé. J’ai pris en cours de route l’émission littéraire « Café Picouly » sur France 5. Dans un sens, je n’ai pas regretté car cela m’a permis de faire la connaissance visuelle de François Bégaudeau, vous savez, ce jeune prof qui joue son propre rôle dans le film dont tout le monde parle en ce moment , à savoir Entre les mur.
Il écrit, parait-il. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il était présent sur le plateau, afin de faire de la pub pour son dernier livre dont je n’ai pas retenu le titre.
En face de lui se tenaient Michel Onfray et Pierre Assouline. Chapeau bas, messieurs ! Comment avez-vous fait pour garder votre sang-froid face à ce jeune coq présomptueux ? Le succès lui aurait-il fait perdre toute civilité et bonne conduite ? On n’entendait que lui, lui, toujours lui…
Je n’ai pas lu le livre, je n’ai pas vu le film, et cela m’a coupé toute envie de le faire.
La petite fille de Dan m’a écrit un petit mot touchant. Nous allons très certainement nous rencontrer.
Avant-hier, j’ai aperçu une grosse araignée noire sur le mur du salon. Elle ne bougeait pas , aussi en ai-je profité pour allumer l’aspirateur et la faire disparaître. Je n’aime pas tuer les animaux, exception faite pour les araignées.
Il a encore fait une très belle journée aujourd’hui et je suis allée faire des photos au jardin botanique. C’est fou le nombre d’hommes seuls à l’allure équivoque qui traînent dans ce jardin. La plupart du temps, ils sont assis sur un banc et lorsque j’arrive à leur hauteur, ils se mettent à fredonner ou bien je sens se poser sur moi leur regard libidineux. Ça me dégoute !
Hier matin, j’ai regardé le film adapté du livre d’Orwell, « 1984 ». Le livre, écrit en 1948 décrit une Europe anéantie par les guerres et dirigée par un gouvernement totalitaire. Mais je suppose que vous connaissez déjà l’histoire… La scène qui m’a le plus frappée, c’est celle où l’on voit les hélicoptères s’approcher des maisons afin de contrôler ce qui se passe à l’intérieur. Nous sommes en plein dedans ! De toute manière nous sommes déjà fichés partout, pour tout, bientôt à notre naissance on nous mettra une puce électronique sous la peau.
Je n’avais aucune envie de sortir hier après-midi. Aussi, après avoir fait un festin avec un morceau de roquefort et du bon pain, j’ai finalement décidé d’ouvrir le troisième livre de la trilogie des jumeaux, à savoir «Le troisième mensonge» :
Je suis en prison dans la petite ville de mon enfance. Ce n’est pas une vraie prison, c’est une cellule dans le bâtiment de la police locale, un bâtiment qui n’est qu’une maison comme les autres maisons de la ville, une maison à un seul étage. (…)
Je pense aussi que nous serons bientôt de nouveau tous les quatre réunis. Une fois que Mère sera morte, il ne me restera plus aucune raison de continuer.
Le train, c’est une bonne idée. »
En refermant le livre, je me suis dit que j’avais dû omettre certains passages. Je n’arrive pas à trouver un lien plausible entre ces trois livres. Le deuxième livre me pose problème. Je vais donc attendre que Peggy ait lu la trilogie et nous en parlerons ensemble.
Après cela, j’ai regardé « Le mariage de Maria Braun ». Mais dès les premières images, je me suis aussitôt aperçue que j’avais déjà vu ce film et d’ailleurs je me souvenais très bien de l’histoire, la fin étant assez brutale ! Je l’ai quand même visionné tout en commençant un nouveau patchwork, fait de carrés de tissus à carreaux que j’assemble sans motif particulier. C’est juste histoire de m’occuper devant la télé. J’écoute surtout, je regarde peu les images.
La Caisse d’Epargne vient d’engloutir dans des placements à risque la moitié de son profit annuel. Pas mal pour un écureuil réputé si près de ses sous, pardon, de nos sous…
17:52 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (2)
dimanche, 19 octobre 2008
Chose promise
chose dûe... Revoici donc le liseur dans une version allégée, où la marque des tronçonneuses n'est plus visible, où quelques personnes ont disparu. J'espère que cette fois-ci ce diaporama restera en ligne, non mais...
09:59 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : sculpture, bois, arbre, tronçonneuse
C'est un peu fort de café
Je me suis aperçue, tout à fait par hasard, que certains de mes diaporamas sont retirés par YouTube. C'est le cas, par exemple, pour "Paris chic et choc". Par contre ce diaporama est toujours visible sur Dailymotion. Bonne occasion de le découvrir si vous ne l'avez pas encore vu !
Ce matin, je ne sais plus pour quelle raison, je voulais repasser le diaporama "Les hommes à la tronçonneuse-6-", deuxième partie de la sculpture en direct faite par Thierry et ses copains devant la bibliothèque de St-Pierre-des-Corps. Il est toujours inscrit dans la liste mais, en ouvrant, un message m'informe que le diaporama n'est plus autorisé suite à une réclamation d'une tierce personne. Qui est donc cette tierce personne ?
J'ai donc repassé le diaporama que j'ai conservé en essayant de comprendre ce qui pouvait poser problème. On y voit les sculpteurs -c'est logique et ils étaient d'accord- puis un employé de la mairie et ma fille. Alors, où est le problème ? La musique peut-être ? Ou encore la mairie de St Pierre ? A moins que l'on considère que je fais trop de pub pour une marque de tronçonneuse ! Pourtant le premier diaporama avait été mis en ligne sur le site de la ville. Allez savoir !
Je vais refaire un autre diaporama en changeant la musique et en supprimant certaines photos. On verra bien...
Il y a parfois des choses surprenantes : ainsi quand j'ai voulu enregistrer un diaporama de fleurs sur Dailymotion, il a été refusé car considéré comme une atteinte aux bonnes mœurs ! J'ai d'abord cru à une blague, mais non... A chaque fois j'avais le même message !
Aux dernières nouvelles, le diaporama n'est plus présent dans la liste. Peut-être qu'en voulant l'ouvrir ce matin, j'ai été la cause de sa totale disparition.
07:34 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 16 octobre 2008
On voudrait jeter de l'huile sur le feu
qu’on ne s’y prendrait pas autrement ! Enfin quoi, la Marseillaise sifflée au stade de France, tout le monde s’y attendait. La chanteuse Laam avait même été prévenue et encouragée à tenir bon jusqu’au bout. Ce qu’elle a parfaitement réussi ; et maintenant on joue aux offusqués ? Offusqués par quoi d’ailleurs ? Que l’hymne national soit bafoué, ça n’est malheureusement pas la première ni la dernière fois… Un stade de foot n’a jamais été un endroit réputé pour sa civilité et ses bonnes manières. La plupart des gens viennent y défouler leur agressivité. Le « aux chiottes l’arbitre » est devenu tout à fait normalisé, le jet de divers projectiles également (pétards, canettes, etc.), ainsi que des banderoles insultantes envers certains joueurs. Ce n’est pas pour l’esthétisme que les stades sont cernés de grillage. Alors le sifflement de l’hymne national dans tout ça me parait aller de soi. Ça fait partie du decorum. Rappelez-vous que lors les précédents matchs amicaux ( France-Algérie, puis France-Maroc), la même situation s’était produite. On peut supposer que certains jeunes ont voulu montrer que la Tunisie pouvait également faire –sinon plus- du moins autant !
Je n’approuve pas, bien sûr, il y a des symboles qui ne sauraient tolérer de tels agissements. Encore faut-il en être conscient. J’aurai tendance à dire : « Pardonnez leur, car ils ne savent ce qu’ils font». Mais en fait ils savent très bien ce qu’ils font. Une façon comme une autre de se rappeler à notre bon souvenir ?
On voudrait relancer le problème de l’intégration qu’on ne s’y prendrait pas autrement !
Par ailleurs, de nombreux témoins du match ont affirmé que ce débordement était loin d’avoir l’ampleur que les médias veulent nous faire croire.
Alors, fallait-il monter cet incident en épingle, comme l’a fait le gouvernement ? Je ne le pense pas, et vous ?
07:15 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : sifflement, drapeau, football, stade de france
samedi, 11 octobre 2008
De retour !
Je me marre ! Oh, oui, vraiment ça me fait rigoler cette histoire... Partir faire un safari en plein cœur de l'Afrique durant le week-end, ça ne peut germer que dans les petites têtes de Juju et Tinou ! Et pour un peu, elles auraient bien failli terminer la journée au poste !
La suite demain !
23:04 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (2)