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vendredi, 30 janvier 2015

9. Découverte de la Birmanie -3-


podcast

Mercredi 14 janvier : Yangon, suite.

Nous quittons l’hôtel à 8h30. Comme nous redormons ici ce soir, il n’y a pas besoin de faire la valise. Ma chambre donne sur une petite rue latérale à la route et on ne peut pas dire que la vue depuis la fenêtre soit géniale :

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En attendant l’arrivée du bus, nous regardons un des jardiniers grimper en haut du palmier pour récupérer le jus qui sert ensuite à la fabrication de sucre de palme. Ces morceaux ressemblent à des bonbons de couleur marron.

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Oma nous indique le programme de la journée :

— Mais auparavant, je vais vous montrer deux éléphants blancs. Chez nous, cet animal est sacré car il incarne le pouvoir et la chance.

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Elle ne s’attendait probablement pas à ce que cette visite provoque un tel tollé dans le groupe lorsque nous avons vu dans quelles conditions misérables ils sont détenus : entravées à la patte par une chaîne ne mesurant pas plus de quatre mètres de long, ces pauvres bêtes semblent totalement stressées.

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— Quel scandale ! C’est une honte ! A-t-on jamais vu pareil supplice !

C’est vrai que cela fait mal au cœur de les voir se dandiner de gauche à droite, dans des mouvements caractéristiques d’une profonde névrose. Mais chez nous, ce n’est guère mieux si l’on pense au sort  réservé aux éléphants des cirques que l’on ridiculise en leur faisant prendre des attitudes grotesques. 

Oma semble mal à l’aise et je ne sais pas si elle comprend très bien notre réaction. Elle se réfugie alors dans un rire gêné.

Nous laissons là ces malheureux animaux … Le train nous attend !

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Nous arrivons dans une petite gare terminus pour grimper dans ce train qui fonctionne comme une ligne de métro et qui permet aux locaux de se déplacer dans la ville pour une somme modique. Faut-il encore pouvoir y accéder !

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Comme nous montons du mauvais côté, il n’y a pas de marchepied et il faut alors se hisser à la force des bras. Opération délicate pour Nicole, bien en chair, qui n’arrive pas à décoller son quintal du sol. Elle est accompagnée d’Alain, son « fiancé », qui n’ose pas lui mettre les mains aux fesses. Sur le quai les gens sont pliés de rire.

Quand arrive mon tour, je dois avouer que je m’y suis aussi reprise à deux ou trois fois avant de me hisser dans le train. Ouf, ça y est ! On peut démarrer.

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Au départ, le train est pratiquement vide, mais au fur et à mesure des arrêts il se remplit très vite et s’anime :

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Le petit marchand de journaux, les vendeuses de fruits, etc.

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Le train traverse de nombreux quartiers insalubres que l’on ne soupçonne pas de la rue. Tout le long de la voie ferrée, il y a des marchands de légumes et de fruits.

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Je ne peux bientôt plus photographier car il y a trop de monde maintenant dans le train. Nous descendons au quinzième arrêt.

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Oma nous emmène maintenant découvrir le grand marché Bogyote, appelé aussi Scott Market – du nom de son fondateur britannique-. C’est un vaste marché couvert de style colonial où l’on trouve de tout. Mais l’artère principale est surtout envahie par les bijouteries. On reste environ une heure à se balader dans les allées regroupées par spécialités :

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 Pour le déjeuner, Oma nous fait découvrir cette belle villa coloniale de plus d’une centaine d’années transformée en restaurant et qui appartint à Dina Nath, le leader de l’Indian Independance Army for Burma, puis fut le quartier général d’Aung San (le père d’Aung San Suu Kyi).

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La chaleur se fait sentir à la sortie ; en route maintenant pour la visite du joyau de la ville !

 

À suivre 

09:24 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : voyage, birmanie, yangon

jeudi, 29 janvier 2015

8. Découverte de la Birmanie -2-

Mardi 12 janvier : Yangon, suite.

 Nous quittons bientôt le parc et nous dirigeons à pied jusqu’à la pagode Sule, située un peu plus loin, au beau milieu d’un rond-point fort animé.

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Très ancienne, cette pagode est le point central, le kilomètre zéro à partir duquel sont calculées toutes les distances dans le pays. Sa base n’est pas carrée mais octogonale et, une fois franchie une des portes d’accès et s’être déchaussé, on peut circuler tout autour du stupa central d’une cinquantaine de mètres de hauteur.

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C’est plutôt kitsch, il y a des représentations de Bouddha un peu partout, on ne sait plus où donner de la tête, ça clignote, ça brille …

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Quelques photos prises à la sortie de la pagode :

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Nous reprenons le bus pour aller maintenant nous balader dans les rues grouillantes de monde du quartier chinois et faire un tour de marché :

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Le soleil commence à décliner peu à peu dans le ciel - il fait nuit à 18h30 - ; aussi regagnons-nous le bus et allons à l’hôtel. Les embouteillages sont très importants, la ville  grossissant plus vite que ses infrastructures.

 Mes premières impressions sur ce pays sont positives ; les gens ne semblent pas stressés, ils sont souriants et vaquent tranquillement à leurs occupations. Ils se laissent volontiers prendre en photo.

Le dîner est servi à 19h, mais je le zappe, préférant aller me doucher, boire un cappuccino et dormir.

Demain nous continuons la visite de Yangon.  

 

À suivre

03:09 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : voyage, birmanie, yangon

mercredi, 28 janvier 2015

7. Découverte de la Birmanie -1-


podcast

Dimanche 11 janvier 2015 :

Alors qu'une partie de la France  est rassemblée dans les rues pour dénoncer les actes de barbarie commis par trois jeunes fanatiques, je fais le pied de grue sur le quai de la gare de Saint-Pierre-des-Corps au moment du coucher de soleil. Je pars en Birmanie. Pourquoi la Birmanie ? À bien y réfléchir, rien ne m’attire spécialement dans ce pays. En lisant le programme du circuit, j’ai constaté que nous allions avoir pas mal de visites de pagodes, stupas et temples. Cette optique est loin de m’emballer, les lieux de culte de quelque religion que ce soit m’ont toujours paru particulièrement énigmatiques, moi qui ne crois plus en rien depuis si longtemps. Alors, jusqu’au dernier moment, j’ai hésité à partir, je l’avoue. Et même quelques heures avant de quitter la maison j’ai eu l’envie de renoncer à ce voyage …

Il est 16h50, je viens de boucler la valise et je charge mon sac à dos. Pfff, qu’il est lourd, je vais encore avoir l’épaule en compote ce soir.

Une petite voix intérieure me susurre à l’oreille :

— Allez ma fille, secoue-toi un peu ! Pense à tous ces gens qui rêvent de voyages lointains dans des pays où ils ne pourront jamais aller. Songe à la chance que tu as … Et puis la Birmanie ne se limite pas aux pagodes ; Tu vas découvrir un peuple avec une façon de vivre différente, de nouveaux paysages …

La petite voix se tait soudain à l’arrivée du taxi. Allez, c’est parti pour quinze jours d’aventure.

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18h, le train entre en gare de Saint-Pierre-des-Corps au moment où le soleil hivernal s’apprête à se coucher dans des lueurs de feu.

20h, je suis à Roissy. Je prends l’ascenseur qui mène directement au 5e étage pour les navettes des hôtels. Cela fait maintenant plus de 20 minutes que j’attends celle de mon hôtel et toujours rien en vue. C’est alors que je m’aperçois qu’il y a désormais deux arrêts différents et que j’attendais au mauvais endroit…Ça commence bien !

La faim me tenaille car je n’ai pas mangé depuis la veille et, pour me consoler, je pense avec délectation au dîner que je vais engloutir en arrivant à l’hôtel. Ah oui, je me souviens qu’ils ont un buffet particulièrement fourni. J’hésite entre des entrées froides et un dessert ou alors un plat chaud et un dessert lorsque la navette arrive. Nous sommes cinq à grimper à l’intérieur. Je pense que je vais plutôt prendre un plat chaud …

Arrivée à l’hôtel et mauvaise surprise : le restaurant est fermé ce week-end ! 

— Rassurez-vous, me dit la réceptionniste, nous pouvons vous faire livrer un menu.

Et elle me tend une carte sur laquelle figure tout ce dont je n’ai pas envie ( Hamburger, pizzas, poulet froid avec de la salade, etc). Finalement je me rabats sur des pâtes.

21h30, je téléphone à Peggy, envie d’entendre sa voix une dernière fois avant le grand silence car les communications entre la Birmanie et la France ne passent pas sur les portables.

 

Lundi 12 janvier : de Paris à Yangon.

Je quitte l’hôtel à 9h45. L’enregistrement ne débute qu’à 11h30 mais je veux profiter du temps qu’il me reste pour pouvoir vapoter à mon aise.

Le départ est situé au Terminal 1 et, lorsque j’arrive, je m'aperçois que l’enregistrement a déjà débuté. Une queue d’environ deux cents personnes est déjà agglutinée aux comptoirs. Le vol s’effectue sur un A-380 qui peut contenir jusqu’à plus de cinq cents personnes. Alors, vite, je m’insère dans la file. Je n’obtiens pas la place que m’avait communiquée l’agence (58H) mais j’ai la 63H. L’important pour moi était d’avoir une place côté couloir et c’est fait ! Ouf …

L’avion décolle de Roissy à 14h. Il est plein comme un œuf. Les sièges me semblent plus larges et l’on a plus de place pour allonger les jambes. Je suis à côté d’un couple qui fait partie du même groupe que moi et nous commençons à papoter. Pour m’occuper, j’ai emporté des mots croisés et deux livres que Peggy m’a passés en me certifiant que cela me plairait. Mais je n’ai pas la tête à lire et je finis par me rabattre sur l’écran pour regarder deux films : d’abord Lucy de Luc Besson que je n’arrive pas à mettre en français. Je le visionne en allemand ! Ensuite je tombe sur un vieux film de Woody Allen,  Annie Hall, en version française. Le pied ! À plusieurs reprises je n’ai pu m’empêcher de rire aux éclats. Ah, ça fait du bien … Et pendant ce temps, les heures s’écoulent.

Voyons voir ce que donne la cigarette électronique : pas de problème dans les toilettes. Tentons maintenant sous la couverture. Je préviens ma voisine :

— Je vais vapoter ; dites-moi si vous voyez de la vapeur s’échapper de la couverture.

— Non, on ne voit rien.

— Ah, génial !

Environ dix heures plus tard l’avion atterrit sur l’aéroport de Bangkok. Il est 6h23, heure locale (minuit 23 à Paris).

Nous restons tous les trois groupés à la recherche du vol pour Yangon. Une petite attente d’environ une heure et nous revoici dans un autre avion. Nous changeons une fois de plus l’heure de nos montres (1/2h de moins qu’à Bangkok).

Il est à peu près 10h du matin lorsque l’avion atterrit à Yangon. Après avoir récupéré les valises, nous nous dirigeons vers la sortie où nous attend le guide qui va nous accompagner durant tout le circuit. En l’occurrence il s’agit d’une guide, une jeune femme d’une quarantaine d’années, très souriante et qui répond au joli nom d’Ohn.mar.oo

— Mais appelez-moi Oma, c’est plus simple, dit-elle en riant.

La première surprise de taille est le nombre de participants à ce voyage : 28 ! C’est beaucoup. Mais bon, on fera avec.

Nos valises sont étiquetées au fur et à mesure, j’ai le numéro 2 et le temps que les porteurs chargent le tout nous allons changer de l’argent. La monnaie du pays est le kyat (prononcez tchiatte).Un euro équivaut à environ 1000 kyats. Pour vous donner un ordre d’idée, un timbre  coûte environ 500 kyats et un coca 2000 kyats. Une fois le change effectué, nous nous engouffrons dans le car et je squatte aussitôt les places du fond pour être tranquille.

On n’a perdu personne en cours de route et le car démarre donc en direction de l’hôtel. Premières photos prises à la sortie de l’aéroport :

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Comme beaucoup de pays en voie de développement, les alentours sont en chantier.

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L’hôtel n’est pas très loin de l’aéroport et, une fois arrivés, Oma nous laisse juste le temps de nous changer avant de repartir pour visiter la capitale birmane.

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Nous débutons les visites par la pagode Chauk Htat Gyi. Sous un vaste hangar au toit métallique se trouve un Bouddha couché, long de 65m et haut de 17m.

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La plante des pieds porte les 108 marques distinctives du Bouddha (lakshanas).

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Sa couronne est incrustée de pierres précieuses. Construit en 1907, il fut allongé et restauré en 1980. Il est, bien sûr, recouvert de feuilles d’or. Impressionnant !

De retour dans le car, je prends quelques scènes de rue.

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Après le déjeuner dont je n’ai strictement aucun souvenir, nous voici maintenant au centre de la ville dans un vaste parc où se dresse l’obélisque de l’indépendance et, un peu plus loin, l’hôtel de ville datant de 1926. Je profite de la présence des petits marchands de cartes postales pour faire le plein afin d’envoyer au plus vite les lettres de Thierry.

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Nous traversons le parc en direction de la pagode Sule. C’est à cet instant précis que débutent mes ennuis intestinaux (déjà ?). Exactement comme en Inde … Mon seul objectif est de trouver des toilettes au plus vite ! Un vrai calvaire … Et ceci jusqu’au soir ! Le lendemain matin j’en parle à Jocelyne, une dame du groupe qui m’explique que cela est certainement dû à la Malarone qui provoque ces effets indésirables. Je décide donc de stopper immédiatement le traitement. Le reste du voyage se passera parfaitement. Ouf !

La journée est loin d’être terminée, mais je fais une pause dans le récit.

À suivre

 Pour en savoir davantage :

— Yangon

—Le bouddhisme theravada

— La pagode Chauk Htat Gyi

 

 

07:22 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : voyage, birmanie, yangon

mardi, 27 janvier 2015

6. Birmanie, le retour


podcast

Coucou, je suis rentrée hier de mon périple en Birmanie avec le plein de photos et de choses à raconter. Mais pour l'instant, je vous propose juste un aperçu au travers de quelques vues diverses. Je commencerai le carnet de voyage demain !

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À suivre

05:43 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : voyage, birmanie

jeudi, 18 décembre 2014

226. Marchés de Noël -5-


podcast

Jeudi 11 décembre 

Aujourd’hui, nous quittons l’hôtel à 8h15. Premier arrêt à Dornbirn pour visiter le musée des crèches situé au fond d’un vallon. Dans ce lieu sont regroupées environ 180 crèches provenant du monde entier.

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Il y a également un chemin de croix très saisissant de réalisme.

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De l’autre côté de la route se tient le musée des voitures Rolls-Royce.

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Après cette visite, nous reprenons le car et passons la frontière allemande en direction de Bregenz et Ulm.

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La ville d’Ulm fut bombardée et détruite presque totalement à la fin de la deuxième guerre mondiale.

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Le marché de Noël s’étale tout autour de la cathédrale qui possède le plus haut clocher d’Allemagne. C’est le plus beau marché que nous ayons fait depuis le début de ce voyage.

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Les petites cabanes en bois sont joliment décorées et il règne une atmosphère de fête malgré le vent cinglant qui glace les oreilles (flûte, j’aurais dû mettre mon bonnet !). 

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La guide nous emmène ensuite voir le quartier des pêcheurs avec ses anciennes maisons  ...

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Et nous allons déjeuner dans un Gasthaus tout ce qu’il y a de plus gemütlich ! Ce n'est pas celui que l'on voit sur la photo ci-dessus.

L’après midi nous allons visiter Ravensburg, situé un peu plus au sud. Malheureusement le temps est particulièrement gris et quand nous arrivons, vers 16h30, la luminosité est particulièrement faible.

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On perd encore plus d’un quart d’heure pour la pause technique de certaines personnes du groupe. C’est foutu pour les photos !

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Retour à Feldkirch pour un dîner dansant à l’hôtel. Je m’éclipse discrètement à la fin du repas.

 

Vendredi 12 décembre 

Départ de l’hôtel à 7h30. C’est la fin de l’escapade et nous rentrons à présent sur Tours. Au niveau de Bâle nous sommes pris dans les embouteillages dus à un violent accident sur l’autoroute. La route défile, monotone, et je sommeille …

Nous déjeunons au même endroit qu’au départ puis le voyage se poursuit. Peggy et Thierry ont prévu de venir me chercher à la gare. À 21h30 j’envoie un texto à Peggy :

 — On traverse la Loire, j’éteins mon portable.

Dix minutes plus tard je l’aperçois adossée à un arbre. Elle a pris son grand parapluie multicolore car le temps est pluvieux.

 

— Guten Abend  Mutti !

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06:42 Publié dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : allemagne, ulm, ravensburg