jeudi, 28 février 2008
Retour de Paris
Coucou, me revoilou ! Je suis rentrée ce matin car le temps était pluvieux à Paris. J'aurais pu aller voir une exposition, mais il aurait fallu que je récupère ensuite ma valise à l'hôtel. Ce sera pour une prochaine fois...
Mais revenons à hier matin : shootée à l'opium, je suis partie de chez moi à 6h30. Arrivée à Austerlitz à 9h47. J'avais bien tout programmé et c'est donc tranquillement pedibus jambus que je me suis rendue à l'hôtel Kyriad, rue du Baron le Roy sur l'autre rive de la Seine.
Traversée du pont Charles de Gaulle, puis j'ai longé les quais jusqu'au nouveau jardin de Bercy. J'ai ensuite laissé mon sac à l'hôtel et je suis allée deux rues plus loin pou visiter le muséee des Arts forains. C'est un ensemble de grandes salles décorées d'anciens éléments forains et de vieux manèges dans les anciens locaux de la Halle au vin. Le lieu a gardé un côté rétro très agréable. Tout le quartier a été restauré de façon intelligente, il n'y a pas de grandes tours, mais plutôt des petits immeubles et des allées piétonnes.
La visite guidée était assez amusante, nous avons eu le droit de faire plusieurs tours sur de vieux manèges dantant de la fin du XIXe et début XXe. Il y avait en particulier un manège assez extraordinaire. Il fut créé au moment de l'invention des premiers vélos. Le manège avance à la force des mollets !
Un peu plus loin, c'était une loterie, "la course des garçons de café". Chaque joueur disposait d'une boule à lancer dans des trous. Chaque fois que la boule tombait dans un trou, un des serveurs sur la piste avançait. C'était très dôle à voir. Et les gens présents s'amusaient comme des petits fous. La guide eut beaucoup de mal à poursuivre la visite.
Il était 13h quand j'ai retrouvé Mimi. Nous avons déjeuné en terrasse Cour St Emilion.
A suivre...
IMPORTANT : actuellement je ne peux pas insérer les photos en milieu de note ( pas ma faute ! Haut et Fort prépare une surprise à ses utilisateurs, mais chut...)
Donc je mets les photos dans une autre note qui suit.
15:42 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 27 février 2008
Sueur froide
Depuis hier matin je ne peux plus ouvrir les blogs mis dans la catégorie " J'aime aller chez...". Seul le blog de Christophe - avec le sigle RSS- fonctionne. Je pense que cela doit avoir un rapport avec la maintenance opérée par Haut et Fort lundi matin. Il y a des choses nouvelles ( possibilité de rajouter un lieu etc). Pour les photos, j'ai également un souci : elles s'affichent toutes en début de notes. Impossible d'en insérer à l'endroit choisi. Tout ceci n'est cependant pas trop grave. je pense avoir des éclaircissements dans la journée.
Non, ce qui m'a donné des sueurs froides hier matin, c'est ÇA !
Quatre mois que je n'avais pas eu de problème dorsal et pof, ça tombe juste deux jours avant mon départ pour Paris. Par chance, il me reste une partie des médicaments que m'avait prescrits le toubib de SOS Médecins. Je n'ai donc pas attendu que la situation empire et j'ai passé toute la matinée au lit. Dans l'après-midi je suis sortie pour aller chercher mon billet de train.
Dans le coup j'ai arrêté le traitement de la bronchite. Il faut savoir gérer les priorités. Ce matin je me tiens droite et je ne souffre pas. C'est déjà ça de gagné. Je viens de reprendre deux comprimés. Je devrais pouvoir être tranquille pour la journée. Remarquez bien qu'il est normal que cela agisse rapidement : un des cachets contient de l'opium ! C'est comme si j'enfilais deux petites chaussures magiques ( ouvrez ICI, c'est très drôle).
Bon, je vais préparer mes petites affaires. Je vous souhaite une très bonne journée et je vous dis à jeudi soir ( ou vendredi matin ).
04:14 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (3)
lundi, 25 février 2008
Oh miracle !
Je me pince pour y croire, mais non, je ne rêve pas, ça y est, ça fonctionne !
Depuis ce matin, j'ai les pires soucis avec mes blogs. Tout d'abord, je ne pouvais pas mettre de photos ni de son. Bon, à la rigueur, j'aurais pu m'en accommoder. Seulement j'avais prévu d'écrire une note sur ce cher Fidel qui prend ENFIN sa retraite. Tout était prêt, les photos, la musique. Je me réjouissais à l'avance du résultat et c'est en écoutant BUENA VISTA SOCIAL CLUB que je m'installe devant mon ordinateur.
En réfléchissant un peu ( ça m'arrive parfois Dan !), j'ai pensé que j'avais dû atteindre mon cota de Mo et que désormais je ne pouvais plus que mettre du texte. Afin de m'en assurer, j'envoie donc un mail à Haut et Fort. En principe, je n'ai jamais reçu de réponses à mes demandes. Mais on peut toujours retenter le coup.
Une fois le mail envoyé, je retourne sur mon blog et là, surprise, on m'annonce que mon identifiant et mon code d'accès ne correspondent pas ! Certes il est de bonne heure, mais je suis bien éveillée et je sais quand même encore ce que je fais. Plusieurs tentatives suivies de plusieurs échecs.
Vers 6h30 je vais jeter un œil sur mon blog photo. J'avais pré-enregistré plusieurs photos pour aujourd'hui ( j'ai même prévu des photos jusqu'à mercredi au cas où j'aurais des ennuis avec l'ordinateur). Et là, seconde surprise : je vois apparaître "la plume sur l'eau", photo prévue pour mercredi.
Cela devient ubuesque et tragique à la fois. Imaginez que je meure demain, ou même ce soir. Eh bien il y aura quand même des photos le surlendemain, mise par Tinou la défunte.
Là-dessus arrive le dépanneur , oui, vous savez bien, pour la machine à laver que je n'ai pu me résoudre à défoncer à coups de masse malgré les conseils avisés de Manutara.
J'avais bien dégagé les abords de la machine afin que l'ouvrier puisse se mettre tout de suite au travail. Il ouvre le couvercle , met la main sur le tambour qui se met à tourner ! j'ai soudain eu une sueur froide : l'aurais-je fait venir pour rien, uniquement parce que je n'ai pas les bras assez musclés pour faire tourner le tambour. Je vous rassure, il ne s'est pas déplacé pour rien. Le résultat est catégorique : la courroie a lâché, le palier gauche est usé et le droit KAPUT. ( ou vice versa). Bref, il faut compter environ trois heures de main-d'œuvre sur une machine d eplus de dix ans d'âge qui a fait son temps. Il me dresse quand même un devis : au bas mot 380 euros.
Pour 385 euros je peux avoir une machine neuve garantie deux ans, livrée et montée. Chez qui ? Mais chez Darty bien sûr !
Le dépanneur repart donc au bout d'une heure avec un chèque de 84 euros dans la poche. Je n'ai quand même pas tout perdu : d'abord il y a le linge que j'ai pu récupérer, il n'a pas subi de dégâts. Et puis, derrière la machine, j'ai retrouvé un briquet Bic (à 1 euro) qui fonctionne. Ah pour sûr, j'étais sacrément heureuse !
Mais revenons plutôt à mes problèmes de blog. Il est environ 10h30 et je refais une tentative pour accéder à mon blog. Résultat nul. Je sens la crise monter doucement. Mais je ne baisse pas les bras pour autant.
Vous savez ce qu'elle fait, la Tinou ? Eh bien, elle téléphone directement au patron de Blogspirit à Paris. Mon père m'a appris que dans la vie, il valait toujours mieux avoir affaire à dieu qu'à ses saints. J'attends.... j'attends, je déjeune, je fais une heure de sieste.
15h : j'appelle, pas de réponse. 16h : je retéléphone. Ah , cette fois-ci, le directeur est là. J'explique mon problème.
16H30 : ME VOICI DE NOUVEAU PARMI VOUS !
Je n'ai pas vu la journée passer.
Quant à la machine à laver, elle a repris sa place dans la cuisine. L'option achat est reportée à une date ultérieure.
17:13 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (4)
samedi, 23 février 2008
Quand les nerfs lâchent
Quand les nerfs lâchent parce que je suis toujours obligée d'ouvrir mon ordinateur en passant par une restauration du système, parce que je ne reçois plus Arte pendant deux jours, parce que la machine à laver s'est soudain bloquée hier soir, remplie d'eau et avec le linge dedans. Impossible de retirer les vêtements car l'ouverture du tambour est bloquée en-dessous. Le dépanneur ne peut venir que lundi matin.
Alors c'est trop d'un coup, je suis fatiguée en ce moment et j'ai craqué. Il fallait que je me défoule sur quelqu'un et ce fut ma fille. Au bout du fil on entendait des voix, des rires. Cela ne fit qu'aggraver mon désarroi. J'ai toujours le chic pour décrire une situation apocalyptique. J'avais surtout besoin d'entendre quelqu'un qui m'aide à relativiser les choses.
« Tu es malade, certes, mais ce n'est rien, tu te soignes et ça va passer.
Oui, mais...
Ce ne sont que des soucis matériels. C'est ennuyeux mais pas dramatique.
Oui je sais, je sais, n'empêche que...
Allez, pense que la semaine prochaine tu vas passer deux jours à Paris, tu vas faire plein de photos !
Oh, je n'ai plus envie d'y aller. »
Bien sûr que je vais aller à Paris, à moins que ma santé s'aggrave d'un coup ou que la SNCF se mette subitement en grève. Et puis cela va me donner l'occasion de déjeuner avec Mimi. Et puis encore je vais rencontrer plein de nouvelles têtes lors de la réunion où j'ai été invitée.
Allez, cessons de geindre pour des broutilles. Demain je vais vider l'eau de la machine. Je ne m'attends pas à ce que le réparateur fasse des miracles, juste qu'il réussisse à l'ouvrir afin que je puisse récupérer le linge.
06:15 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (7)
vendredi, 22 février 2008
La soignante est la malade
Pas facile de jouer à la fois ces deux rôles, et pourtant je ne peux pas faire autrement ! Hier je me suis donc emmenée chez mon médecin. Un moment toujours pénible car elle habite à 17km et son cabinet de consultations est situé juste en face de mon ancienne demeure. Difficile de passer devant la maison sans repenser aux treize années vécues dans ces lieux !
Ah, les joies du jardin ! 2600m2 entretenus par mes soins. J'avais même fait un potager. Le jardin se prolongeait jusqu'à l'Indre. Il m'avait fallu beaucoup d'huile de coude pour réussir à débroussailler les bords de la rivière, laissés à l'abandon depuis plusieurs années.
Au début, il était impossible de passer la tondeuse. On se serait cru dans une forêt vierge. Mais cela valait bien quelques efforts et pas mal de piqûres d'insectes !
Je repars de chez mon médecin avec une ordonnance en prime pour passer une radio pulmonaire : « Rassurez-vous, ce n'est pas urgent, juste un contrôle ! » s'empresse t-elle de rajouter en voyant mon air méfiant.
Queue interminable chez le pharmacien. Je commençais à grelotter de tous les membres. Vite, en pyjama et au lit. Aujourd'hui je suis donc restée à la maison. De temps à autre, je vais jouer sur l'ordinateur à un jeu de lettres que ma fille m'a fait découvir, Word Link. En cinq minutes il faut former le plus de mots entre 3 et 10 lettres. Pour l'instant mon meilleur score est de 21 000 points.
17:35 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (0)