mardi, 26 février 2013
40. Ah mais quel chantier !
Le peintre était là à huit heures. Durant le week-end, j'ai vidé au mieux le salon afin qu'il puisse travailler plus facilement. Je m'attendais bien à un certain chamboulement, mais pas à ce point !
Dans le coup, je me suis retranchée dans mon bureau en attendant que ça se passe. Il y en a pour trois jours ...
Quant à Théo, il squatte la chambre d'amis.
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mardi, 12 février 2013
30. Tout vient à point
... à qui sait attendre, dit-on ! Et ça, pour attendre, j'ai attendu. Voilà maintenant huit mois que s'est produit un dégât des eaux dans mon salon ; lors d'une violente bourrasque de vent mêlée de trombes d'eau, des infiltrations se sont produites et l'eau s'est mise à ruisseler le long du mur sur une largeur d'environ un mètre cinquante.
J'ai bien sûr prévenu qui de droit. Déjà ce fut le parcours du combattant pour obtenir enfin une réponse au bout d'un mois. Ensuite, divers experts se sont ramenés, ont pris des mesures, sont montés sur la terrasse au dessus-du salon pour vérifier l'origine de la fuite, sont revenus encore une fois (dès fois que ça aurait disparu !). Six mois se sont encore écoulés.
De mon côté, j'avais prévenu mon assurance qui m'avait envoyé un peintre pour la restauration du mur. J'ai même choisi le nouveau papier peint. Mais, tant que les travaux sur le toit ne sont pas effectués, cela ne sert à rien de remettre à neuf. Alors depuis, il ne se passe pas une semaine sans que le peintre me téléphone.
Dans le courant de janvier, alors que je dormais profondément dans ma cabine, sur le bateau, je suis réveillée par un appel téléphonique. Je n'aime pas ça car j'ai toujours peur que ce soit une mauvaise nouvelle. Mais non, c'était le peintre qui, une fois de plus, venait aux nouvelles. Ah ! il a été bien reçu :
— Écoutez, je suis à l'étranger, je ne rentre qu'à la fin du mois. Cessez donc de m'appeler, je vous ferai signe quand les travaux auront été réalisés !
Bon, ça y est, ils sont passés ce matin, les techniciens de l'étanchéité. Seulement voilà, je ne suis pas très pressée d'appeler le peintre car le chantier qui s'annonce ne me réjouit pas du tout. Tout d'abord, pour le panneau en papier, je dois retirer tous les cadres, masques, miroir etc, puis déplacer les meubles d'environ un mètre. Ensuite, il est prévu qu'il repeigne tout le plafond !
Et j'ai oublié de vour dire que ce sera idem pour la chambre !
Pff ... Si j'avais su, j'aurais rien dit !
Dans le coup, je me demande si je ne vais pas vendre mes meubles de salle à manger. Ils sont très sombres et puis tous les étains suspendus sont de véritables nids à poussière. Je vais me renseigner auprès de la salle des ventes.
16:48 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (6)
mercredi, 02 janvier 2013
2. Au revoir
Je pars à Roissy dans la soirée. Demain matin mon avion s'envole pour Siem Reap, au Cambodge, avec un changement à Bangkok.
Vendredi matin je serai donc là :
Nous restons deux jours à cet endroit, le temps de visiter le site d'Angkor. Puis vient l'embarcation à bord du RV Indochine :
Le bateau compte 24 cabines. Le séjour se poursuit par la descente du Mékong avec des haltes à : Kampong Chhnang, Koh Chen, Phnom Penh, Chau Doc, Sa Dec, Caï Be, My Tho et enfin Saïgon.
Si j'en ai la possibilité, je vous enverrai des informations, mais rien n'est moins sûr !
Alors, je vous donne rendez-vous au 15 janvier.
D'ici-là, portez-vous bien !
01:20 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : voyage, cambodge, vietnam
lundi, 31 décembre 2012
313. En attendant minuit
Je parle pour vous, pas pour moi car il y aura déjà belle lurette que j'aurai sombré dans un profond sommeil. Il n'est que 18h30 et je suis déjà en pyjama, c'est tout dire !
Au menu : coquille de fruits de mer, fromage et compote de pommes.
Pour ceux qui auraient un petit moment à passer avant les festivités, voici donc un condensé d'extraits de films amusants :
J'en profite pour vous souhaiter une bonne soirée !
18:26 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (2)
312. L'heure du bilan
Nous voici donc arrivés au dernier jour de l’année 2012. Il est temps pour moi d’en faire le bilan.
Tout avait pourtant bien mal commencé ; dans les premiers jours de l’année, j’avais reçu un appel de mes locataires m’informant de l’urgence d’entreprendre des travaux importants dans la maison avant une catastrophe imminente –selon eux-. Me voilà prise le couteau sous la gorge. Devant l’urgence, je prends contact avec ma banque afin d’obtenir un prêt et les travaux sont mis en route aussitôt.
Toutefois, je sais que ce n’est pas la bonne solution : après ces travaux d’assainissement, il y aura la grille, puis la toiture, sans oublier l’état du réseau électrique –hors d’âge-. Dès que le vent vient à souffler un peu fort, je m’angoisse aussitôt en songeant à la toiture. Je décide donc de mettre en vente la maison, en ayant pris soin de demander l’avis de ma fille.
Je me souviens encore de ce coup de fil que je lui avais passé sur le parking de la supérette située près de ma maison. J’étais en larmes suite à l’entrevue avec mon locataire qui venait de me faire une offre d’achat si ridicule que je n’avais même pas de quoi acheter un vélo avec ! Les tractations durèrent un certain temps, j’étais dopée par ma notaire et mon attachée de presse qui savaient que je ne faisais pas le poids devant quelqu’un habitué aux transactions et finalement nous tombâmes d’accord sur une somme. La vente se fit en juillet. OUF !
Mars 2012 :
Mes photos d’enfants sont exposées à Tours.
Je pars au Cameroun, à la découverte des Pygmées Baka. Je ne savais pas ce qui m’attendait, ceux qui m’accompagnaient non plus d’ailleurs !
Les marches en forêt équatoriale avec la sueur qui dégouline sur tout le visage, les piqûres d’insectes divers, les écorchures sur les bras, les nuits sous la petite tente.
Le pire fut quand même d’aller au petit coin toilette aménagé à une cinquantaine de mètres du camp en pleine nuit : traverser le petit ruisseau sur des troncs d’arbres, s’enfoncer dans la forêt remplie de bruits inquiétants, éviter de regarder tout autour, foncer droit devant. Pour me donner du courage, je parlais à haute voix en éclairant le chemin avec ma lampe torche ! Cela reste pour moi le moment le plus fort parmi tous les voyages que j’ai effectués à ce jour.
Les Pygmées par cheztinou
Juin 2012 :
Je pars en croisière sur le Danube. Je descends le fleuve de Passau à Budapest. J’espère pouvoir faire la suite prochainement (de Budapest jusqu’à la mer Noire).
Août 2012 :
Je reprends le bateau avec Christine et nous voyageons sur le Rhin, de Strasbourg jusqu’à Amsterdam.
Septembre 2012 :
La première quinzaine de septembre, je découvre le Brésil. Petite incursion en forêt amazonienne où nous avons failli nous perdre.
À la fin du mois, c’est la parution du livre « l’âme du vieux Tours » avec les photos de Paul Martinaud.
Octobre 2012 : ma fille fête ses quarante ans.
D’octobre à décembre 2012 :
C’est la période d’hibernation.
Bon, c'est maintenant le moment de fermer le livre de l’année 2012 avec de la musique tzigane pour avoir la pêche !
18:05 Publié dans Croque mots | Lien permanent | Commentaires (2)